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Blason de France ancien : d'azur semé de fleurs de lys d'or.
Blason de la Seine-Saint-Denis : Coupé de France ancien, et de gueules à trois épis de blé mis en pal et chevron renversé, soutenus d'un vol d'argent ; une roue dentée du même brochant le tout en abîme.
Blason de Montmorency ancien : D'or à la croix de gueules cantonnée de quatre alérions d'azur.
Blason de Montmorency : D'or à la croix de gueules cantonnée de seize alérions d'azur.
Cette page dresse l'ensemble des armoiries connues (figures et blasonnements) des 40 communes de la Seine-Saint-Denis disposant d'un blason.
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D'or à l'aulne arraché au naturel[1], l'écu surmonté d'une couronne murale, soutenu de deux branches, chêne à dextre, laurier à senestre.
Antérieurement, et jusqu'en 1986, les armes étaient : D'azur à l'aune arraché de sinople posé sur une terrasse d'argent, au chef tiercé en pal, d'azur, d'argent et de gueules, l'argent chargé des lettres capitales RF, de sable.
Détails
Armes parlantes.
(aulne) Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D'azur à la croix engrêlée d'or cantonnée au premier d'un échiqueté d'argent et d'azur de quatre tires, au deuxième et au troisième d'une main dextre appaumée d'or, au quatrième d'un drageoir du même[3]
Détails
- Le damier dionysien (en haut à gauche) affirme l’appartenance du seigneur du Blanc-Mesnil à la suzeraineté de Saint-Denis.
- Le dextrochère en pointe dextre signifie “fidélité jurée au suzerain de Saint-Denis”, c'est-à-dire le fils du roi, duc de France et avoué royal de Saint-Denis.
- Le dextrochère en chef senestre signifie un second serment de fidélité, marque de confraternité vis-à-vis des orfèvres ou d’obédience à l’Église.
- Ciboire ou drageoir (en bas à droite), la coupe fermée symbolise la corporation des orfèvres de Paris, qui finança probablement la chapelle Notre-Dame pour le compte du roi Jean le Bon en 1353.
- La croix engrêlée est le symbole de la Bellicosa Crux (la Croix belliqueuse), qui indique que le tenant du blason s’engage à se battre pour la religion. Armoiries conçues en par M. Robert LOUIS, et adoptées la même année.
D'or au sautoir de gueules, à l'écusson d'azur à la corbeille emplie de fleurs et de fruits d'argent et sommée de sept épis de blé du même, brochant en abîme[4]
Détails
Le sautoir évoque Saint André, le saint-patron de la paroisse du lieu ; et l'écu central la vocation maraîchère de la ville. Armoiries conçues par M. l'Abbé MASSON, et adoptées en .
Parti de sinople et d'argent à la quintefeuille de l'un en l'autre brochant sur la partition, au chef de gueules chargé d'une croisette haussée d'argent vidée, accostée de deux grappes de raisin tigées et feuillées du même[7]
Ornements extérieurs
- une couronne de tiges d'or en timbre,
- deux genettes d'or tachetées de sable en supports.
- quatre longues feuilles de chêne en sautoir, enchâssées dans un cor de chasse d'or abaissé en pointe.
Détails
Le sinople (vert) et la quintefeuille rappellent la forêt de Bondy et les divers parcs municipaux. La croix évoque les Templiers. Le cor de chasse rappelle la fin des chasses du duc d'Orléans. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D'or à trois huchets (ou cors de chasse) de sable liés, enguichés et virolés d'azur (famille NESMOND) ; au chef de gueules chargé de trois roses d'argent (famille HOCQUART).
Détails
Armoiries conçues par M. Georges GUYONNET, et adoptées en
Écartelé : au 1er d'azur plain, au 2d de gueules à deux colombes essorantes d'argent affrontées en chef, au 3e de sinople à un orme terrassé d'argent brochant sur le 1er, au 4e d'azur au moulin du lieu d'or essoré de gueules, sur une terrasse du second chargée d'une fasce ondée du champ, à la roue de moulin du même brochant sur la partition en pointe, une cotice en barre d'argent abaissée en chef et haussée en pointe, chargée de trois canettes de sinople, brochant sur le tout ; à la champagne d'argent.
Devise
« droiture et tendresse »
Détails
Le blason a changé en 1954.
Conflit héraldique : la cotice ne présente que deux canettes. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Alias
Alias du blason de La CourneuveD'azur à un mur crénelé de cinq pièces d'argent maçonné de sable, ouvert du champ, l'ouverture étant chargée d'une roue de moulin d'or, elle-même soutenue d'ondes du second mouvant de la pointe[8]
D'azur au chevron d'or chargé en son sommet d'un D en lettres gothiques de sable, accompagné de deux étoiles d'or en chef et d'un mouton passant d'argent en pointe.
Écartelé d'azur à un clou d'argent accompagné de trois fleurs de lys d'or ; et de gueules à une anille d'argent accompagnée de neuf épis de blé d'or, formant trois fleurs de lys bien ordonnées [9]
Ornements extérieurs
Croix de guerre 1939-1945.
Détails
Le clou aux places d'honneur évoque le Clou de la Passion rapporté à Saint-Denis par Saint Louis en . Les armes aux 2d et 3e sont une composition récente évoquant le passé meunier de la ville. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Coupé d'or à la croix de gueules cantonnée de seize alérions d'azur (de MONTMORENCY) , et d'argent à un pin arraché de sinople accosté de deux étoiles de six rais de gueules (de LALIVE de BELLEGARDE et d'EPINAY) [10].
Détails
Armes parlantes.
(pin) Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Écartelé d'un bandé d'or et d'azur, et d'azur à la fleur de lys d'or ; sur le tout de gueules à trois roues d'automobile d'argent[11].
Devise
"Exierunt mille ad victoriam" (ils partirent mille vers la victoire)
Détails
Ce sont les armes des religieux de Saint-Faron avec, sur le tout, celles des HOCQUART, seigneurs de Monfermeil, dans lesquelles les trois roses d'argent ont été remplacées par des roues d'automobile, pour évoquer le rassemblement des « Taxis de la Marne » à Gagny. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D'azur à un pont de trois arches d'or sur une rivière d'argent chargée d'un poisson du champ, surmonté de deux fleurs de lys du second, à l'écusson du troisième à deux bandes du champ brochant sur le tout.
Devise
"Per fontem ad fortunam"
Détails
Les deux fleurs de lis évoquent le siège de l'ancienne prévôté royale et son appartenance à l’Ile de France ; l’écu posé en abîme est aux armes de Jacques PYLLE, l’un des seigneurs du lieu ; le pont évoque le célèbre pont de Gournay-sur-Marne, et le poisson concrétise cet affluent, très poissonneux. Armoiries composées par M. Lucien BOUCART, et adoptées le .
D'azur à une tour d'argent ajourée et maçonnée de sable, adextrée et senestrée d'un mur du second ouvert en ogive du champ ; au chef d'or chargé d'une croix de gueules cantonnée de quatre alérions d'azur (de MONTMORENCY ancien)[12].
Parti d'or à deux fasces de gueules, et d'azur à la bande d'argent accompagnée de trois glands d'or en chef mis en barre et posés en orle, et de deux serres d'aigle du même posées en barre et rangées en bande en pointe ; au chef de gueules chargé d'une grappe de raisin tigée et feuillée d'or accostée de deux quintefeuilles d'argent ; sur le tout écartelé de sable et d'argent[14].
D'azur à l'aigle éployée d'argent tenant dans sa serre dextre un rameau de laurier d'or (qui sont du RAGOIS DE BRETONVILLERS), chargée en cœur d'un écusson d'argent à la fasce ondée d'azur accompagnée en chef d'une croix latine de gueules accostée de deux croissants versés de sinople (qui sont de FOULQUES).
Détails
"L’aigle est fourni par les armes des RAGOIS DE BRETONVILLIERS, seigneurs du Plateau d’Avron au XIIe siècle. L’écusson en abîme reprend les armes de Foulques, curé de Neuilly, qui prêcha la 4e Croisade en 1198." (Site de la commune) Armoiries conçues par M. Robert LOUIS, et adoptées le .
D'argent à la fasce ondée d'azur accompagnée en chef d'une croix latine de gueules accostée de deux croissants versés de sinople (qui sont de l'Abbé Foulques), et en pointe d'un râteau en bande et d'une bêche en barre passés en sautoir, le tout de gueules.
Ornements extérieurs
L'écu timbré de la couronne murale d'or à trois tours crénelées, soutenu d'une branche de chêne à dextre, d'une de laurier à senestre.
Devise
Diex el volt (Dieu le veut)
Détails
Le râteau et la bêche furent rajoutés aux armes à la demande des maraîchers de la ville. Armoiries composées par Mme Mireille Louis, et adoptées en .
D'azur à deux épis en sautoir accompagné de trois noix, l'une en chef, et les deux autres aux flancs, et en pointe d'une grappe de raisin tigée et feuillée, le tout d'argent.
Détails
Armes parlantes. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
De gueules au chef cousu d'azur, à l'écu de dame d'or brochant sur la partition, bordé d'une couronne de laurier de sinople fruitée de gueules, enrubannée d'argent, l'écu chargé d'un chêne aussi de sinople, accosté de six arbres plus petits du même rangés trois à dextre et trois à senestre et de deux pavillons d'argent essorés de gueules mouvant des flancs, le tout posé sur une terrasse aussi de sinople.
Devise
« en avant toujours »
Détails
Armes parlantes. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
De gueules à trois rochers d'argent mouvant de la pointe, celui du centre plus élevé et sommé d'un pinson d'or ; au chef cousu d'azur chargé d'un clou d'argent accosté de deux fleurs de lis d'or.
Détails
Armoiries conçues par M. Robert LOUIS et attribuées à la ville par arrêté préfectoral du .
D'or au chêne arraché de sinople, à la fasce de vair brochante, accompagnée en pointe à dextre d'un croissant de gueules et à senestre d'une fleur de lys d'azur, à la bordure aussi de gueules.
Devise
'heri nemus urbs hodie (hier forêt, aujourd'hui ville)
« monstrant regibus astra viam » (les astres montrent la route au roi).
Détails
C'est au cœur du Moyen-Âge que sont nées les armoiries de la ville. Elles symbolisaient alors l'ordre de l'Étoile, qui institua le roi Jean le Bon pour la compagnie des "Chevaliers de Notre-Dame de la Noble Maison de Saint-Ouen-les-Saint-Denis" ; la "Noble Maison" faisant référence à la résidence favorite des Mérovingiens puis des Valois. Armoiries conçues par M. Robert LOUIS sur la base des armes originelles de , et adoptées en .
D'azur à la bande d'argent accompagnée en chef de trois glands d'or mis en barre et posés en orle et en pointe de deux pattes d'aigle du même posées en barre et rangées en bande, au chef d'azur chargé de trois fleurs de lis d'or et brisé d'un lambel d'argent.
Détails
Le chef aux armes d'ORLEANS, préfigure un passé commun avec Livry de terres de chasse du Duc du nom. Le statut officiel du blason reste à déterminer.
D'azur au tau d'or accosté de deux feuilles de tremble d'argent posées l'une en bande et l'autre en barre et mouvant du pied du tau; au chef d'or chargé d'un lion issant de gueules[19].
Détails
Armes parlantes. Armoiries conçues par Mme Mireille LOUIS, et adoptées à une date inconnue.
D'azur au clou de la Passion d'argent accompagné de trois fleurs de lys d'or (de l'Abbaye Royale de Saint-Denis) ; chaussé du même chargé de deux socs de charrue de sable la pointe en haut.