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L'élection se fait au suffrage universel parmi les citoyens néo-calédoniens, le corps électoral étant alors composé, de par la loi constitutionnelle du modifiant l’article 77 de la Constitution, sont les personnes résidant en Nouvelle-Calédonie depuis le au minimum et leurs enfants une fois atteints l'âge de la majorité. On parle de « corps électoral gelé »[1],[2].
Il y avait alors 152 457 inscrits sur cette liste électorale spéciale, dont 96 347 dans le Sud, 35 697 dans le Nord et 20 413 dans la province des îles Loyauté[3].
Le scrutin, à un seul tour, se déroulait à la proportionnelle plurinominale, selon la règle de la plus forte moyenne, dans chaque province, chaque liste devant dépasser la barre des 5 % des inscrits pour obtenir au moins un élu. Ensuite, proportionnellement au score, un certain nombre d'élus de chaque liste est choisi pour former le Congrès, l'institution délibérative et législative locale.
Les trois principales forces non indépendantistes obtiennent 29 sièges (deux de moins que lors de la précédente mandature) tandis que les indépendantistes progressent légèrement avec 25 élus au lieu de 23[4]. La participation est d'environ 64 %, nettement moins forte que lors des élections précédentes. C'étaient les dernières élections du Congrès avant le ou les référendums d'autodétermination prévus par le processus de l'accord de Nouméa (au plus tard en 2018). Les questions institutionnelles ont de ce fait largement dominé la campagne, avec une forte crispation entre indépendantistes et non-indépendantistes sur la définition du corps électoral et de là des contours juridiques de la citoyenneté néocalédonienne.
Dans la province Sud, c'est la liste de Calédonie ensemble menée par le député UDIPhilippe Gomès qui arrive en tête du scrutin avec 24 863 voix (36,44 %), soit 16 élus (sur 40). Après s'être présentée depuis 2011 comme la principale force d'opposition au Rassemblement-UMP et à ses alliés, lui permettant de s'affirmer comme la principale force électorale lors des élections législatives de (remportant les deux circonscriptions) et des municipales de , elle a milité principalement lors de la campagne en faveur de l'organisation d'un « référendum éclairé », consistant à proposer deux projets institutionnels détaillés, un indépendantiste et un maintenant la Nouvelle-Calédonie dans la France, aux électeurs néo-calédoniens lors de la consultation de sortie de l'accord de Nouméa. Elle a confirmé son statut de première force électorale non indépendantiste, arrivant en tête dans toutes les communes traditionnellement dominées par ce camp (la totalité de celles de la côte Ouest, y compris le Grand Nouméa). Elle devance dans le camp non indépendantiste la liste du Front pour l'unité (FPU), coalition formée en 2013 entre le Rassemblement-UMP du sénateur UMPPierre Frogier, L'Avenir ensemble du président sortant du gouvernementHarold Martin, le Mouvement de la diversité (LMD) de Simon Loueckhote, l'Union pour un destin calédonien (UDC) de Nathalie Brizard et l'élu du Mouvement démocrate (MoDem) Didier Leroux, qui constituait jusque-là la majorité provinciale. Cette liste, menée par Cynthia Ligeard (Rassemblement-UMP, présidente sortante de l'assemblée provinciale), qui a pour sa part milité pour la négociation avec les indépendantistes d'un troisième accord (après ceux de Matignon en 1988 et de Nouméa en 1998) afin d'éviter le référendum qui pour eux provoquerait des tensions, a obtenu 13 649 voix (20,00 %) et 9 élus. Elle a régressé électoralement partout, y compris dans les communes dont elle a remporté la mairie au scrutin municipal deux mois auparavant (celles de la banlieue nouméenne). Arrivé troisième parmi les anti-indépendantiste et quatrième du scrutin, avec 12 539 voix (18,38 %) et 8 élus, l'Union pour la Calédonie dans la France (UCF) menée par Sonia Backès, membre sortante du gouvernement et secrétaire générale du Mouvement populaire calédonien (MPC, né en 2013 d'une dissidence du Rassemblement-UMP et officiellement associé à l'UMP en 2014), est une alliance pour sa part entre le MPC de l'ancien député UMPGaël Yanno, du Rassemblement pour la Calédonie (RPC) d'Isabelle Lafleur et du Mouvement républicain calédonien (MRC) de Philippe Blaise. L'UCF a fait campagne sur la thématique du rassemblement de l'ensemble des non-indépendantistes afin de négocier en force face aux indépendantistes, et pour une sortie rapide de l'accord de Nouméa pour ne pas déstabiliser l'économie par une situation trop longtemps incertaine sur le plan institutionnel, quitte à organiser au plus tôt le référendum prévu par l'accord de Nouméa. Surtout implanté électoralement à Nouméa, cette coalition réalise un moins bon score qu'aux municipales, en raison en partie de la restriction du corps électoral par rapport à ce dernier scrutin. Les indépendantistes se sont pour leur part présenté sous une seule bannière pour la première fois depuis 1989, sous la conduite du président sortant du CongrèsRock Wamytan du Front de libération nationale kanak et socialiste (FLNKS) et de l'Union calédonienne (UC), dans le but d'optimiser leur score électoral dans cette province, gagner la majorité au Congrès et favoriser ainsi la marche vers une pleine souveraineté. Si cet objectif n'est pas atteint, ils progressent avec sept élus au lieu de quatre, pour 12 289 voix (18,01 %). Les indépendantistes ont aussi entamé une démarche de radiation d'électeurs qu'ils estimaient indument inscrits sur la liste électorale spéciale permettant de voter aux provinciales, provoquant de vives tensions politiques et juridiques avec l'ensemble des partis non indépendantistes. Deux listes non indépendantistes n'obtiennent aucun élu. La section locale du Front national (FN) menée par sa présidente Bianca Hénin ne retrouve pas la représentation qu'elle avait perdue en 2009, avec 2 706 voix (3,97 %). Le petit parti anti-indépendantiste et centriste Convergence Pays de Stéphane Hénocque, qui a fait campagne pour un renouvellement et un rajeunissement de la classe politique, arrive dernier avec 2 190 votes (3,21 %).
Dans la province Nord, l'Union nationale pour l'indépendance (UNI) du président sortant de l'assemblée provinciale Paul Néaoutyine (FLNKS-Palika) obtient 8 876 voix (37,93 %) et 9 élus, devance de peu l'Union calédonienne du vice-président sortant du gouvernementGilbert Tyuienon avec 8 274 voix (35,36 %) et le même nombre d'élus. L'UNI confirme son implantation électorale dans la zone Voh-Koné-Pouembout et plus généralement dans l'aire coutumière Paici-Camuki, au centre géographique de la province. Au contraire, l'UC renforce son assise dans les communes du sud et du nord du territoire provincial. Parmi les anti-indépendantistes, la liste Une province pour tous (UPPT) estampillée Calédonie ensemble et menée par l'ancien président du CongrèsGérard Poadja obtient 2 560 voix (10,94 %) et 3 élus, avec de bons scores à Koumac (seule commune majoritairement non indépendantiste du Nord, où il arrive en tête) ainsi qu'à Koné, Pouembout, Poya ou Poindimié. L'Entente provinciale Nord (EPN), unissant sous la conduite de Francis Euriboa (FPU-Rassemblement-UMP) le FPU, l'UCF et des dissidents de Calédonie ensemble, complète le résultat avec 2 192 voix (9,37 %) et un élu. La liste du Parti travailliste menée par le membre sortant du gouvernementGeorges Mandaoué est la seule à n'obtenir aucun élu, perdant les trois sièges qu'ils avaient obtenus en 2009, avec 1 497 votes (6,4 %).
Dans la province des îles Loyauté, toutes les listes indépendantistes hors UC obtiennent 2 élus chacune, le Parti travailliste de Louis Kotra Uregei 2 181 voix (16,00 %), le Palika de Charles Washetine 2 054 voix (15,07 %), la liste Dynamique autochtone du parti Libération kanak socialiste (LKS) de Basile Citré 1 565 voix (11,48 %) et l'Union pour construire les Loyautés (UCL) unissant sous la conduite de Jacques Lalié le parti Unir et construire dans le renouveau (UC Renouveau), des dissidents du Parti travailliste et des représentants associatifs, 1 563 voix (11,46 %). L'Union calédonienne du président sortant de l'assemblée provinciale Néko Hnepeune pour sa part conserve le contrôle de cette collectivité avec 5 331 voix (39,10 %) et six élus, tout en arrivant en tête dans les trois communes (ce qui n'était pas le cas en 2009). Les non-indépendantistes, pourtant unis dans la liste « L'autre voix(e) » de l'ancien sénateur RPR puis UMPSimon Loueckhote (FPU-LMD), ferment la marche et ne réussissent pas à retrouver la représentation qu'ils avaient perdu en 2009 dans cette assemblée provinciale, avec 939 votes (6,89 %), dont la moitié obtenue dans la seule île et commune d'Ouvéa.
Conseillère municipale, conseillère économique, sociale et environnementale de Nouvelle-Calédonie (personnalités qualifiées), ancienne co-présidente de la Fédération des industries de Nouvelle-Calédonie (FINC), P-DG de l'imprimerie Artypo
Directeur général de l'Association des parents et amis de personnes handicapées intellectuelles (APEI), ancien secrétaire général de la mairie de Lifou (1999-2012)
Secrétaire général du parti, président du groupe au Congrès et élu provincial sortant, ancien 2e vice-président de l'Assemblée de la Province Sud (2004-2011)
Responsable des « Jeunes ensemble » (mouvement de jeunesse du parti), membre fondateur du Collectif pour un drapeau commun, chef adjoint du service de l'agriculture de la Province Nord
Professeur de SVT au Lycée La Pérouse, chargée de mission d'inspection en SVT pour les collèges, présidente de l'association des professeurs de sciences expérimentales « Symbiose »
Gérante de stations-service, chef de l'opposition municipale, conseillère économique, sociale et environnementale de Nouvelle-Calédonie représentant la Confédération générale des petites et moyennes entreprises (CGPME), ancienne présidente de la CGPME
Conseiller municipal d'opposition, élu provincial et du Congrès sortant, ancien président du Congrès par intérim en , ancien universitaire en langues et culture kanak (Drehu)
Président du parti, chef de l'opposition municipale, ancien 1er adjoint au maire (2001-2014), ancien député UMP (2007-2012), ancien élu provincial et du Congrès (1989-1999)
Présidente du parti, conseillère municipale d'opposition, chef d'entreprise (groupe Lafleur), fille de l'ancien chef historique de la droite anti-indépendantiste Jacques Lafleur
Porte-parole du parti, conseiller municipal d'opposition, 3e vice-président sortant de l'Assemblée de la Province Sud, président du Syndicat mixte des transports urbains (SMTU) du Grand Nouméa
Présidente de l'Atelier des femmes de Nouvelle-Calédonie, ancienne déléguée aux droits des femmes de la Province Sud (1994-2004), ancienne élue provinciale (1999-2004)
Médecin, fondatrice de l'Espas Centre médical polyvalent (CMP) et en 1992 du premier centre polyvalent de prévention, de dépistage gratuit, d’accompagnement et de soins du SIDA et des MST de Nouvelle-Calédonie
Ancienne conseillère municipale (2001-2014), fleuriste, membre du Lions Club et du MEDEF de Nouvelle-Calédonie, ancienne présidente des Femmes chefs d'entreprise
Conseiller économique, social et environnemental de Nouvelle-Calédonie représentant l'association Amitiés antillaises, président de l'Amicale Antilles-Guyane-Réunion, président de la Fédération des cadres, responsable du service grand public d'Électricité et eau de Calédonie (EEC)
Présidente du réseau « Bienvenue à la ferme » en Nouvelle-Calédonie et du groupement de femmes d'agriculteurs (GFDA), 3e vice-présidente de la Chambre d'agriculture
Déléguée à la vie associative et à la condition féminine du parti, élue provinciale et du Congrès sortante, conseillère municipale, ancienne présidente de l'Association indonésienne de Nouvelle-Calédonie (2003-2007)
Déléguée à la vie associative et à la condition féminine du parti, élue provinciale et du Congrès sortante, conseillère municipale, ancienne 2e adjointe au maire chargée du logement et de la vie des quartiers (2008-2014)
Déléguée à l'agriculture et à la ruralité du parti, élue provinciale sortante, présidente sortante du conseil d'administration de l'Établissement de régulation des prix agricoles (ERPA), ancienne élue du Congrès (1999-2004)
Secrétaire général adjoint du parti chargé de la vie du mouvement, président de la ligue de basket-ball, ancien secrétaire général de la mairie de Dumbéa
Secrétaire général de l'Association calédonienne pour l'animation et la formation (ACAF), instituteur spécialisé, ancien trésorier de l'association politique « Ouverture citoyenne »
Co-porte-parole du FPU, déléguée à l'éducation, à l'enseignement et à la formation du parti, conseillère municipale, professeur de lettres au collège de Boulari
Conseil en état civil et affaires funéraires, ancienne chef de service à la mairie de Nouméa (liste électoral spéciale, élections, état civil ou services à la population)
Gérant de sociétés de travaux publics et logements, président de l'Association culturelle calédonienne, candidat en 2009 sur la liste de Calédonie ensemble
Déléguée à l'environnement et au développement durable du parti, ancienne conseillère municipale (2001-2014), biologiste, présidente fondatrice de l'association écologiste Mocamana
Président de la Région 203 Nouvelle-Calédonie/Vanuatu du Lions Club, conseiller économique, social et environnemental de Nouvelle-Calédonie (personnalités qualifiées), ancien conseiller municipal (1989-2008)
Membre du comité pour le projet institutionnel du parti, ancien conseiller municipal (2008-2014), chargé de mission auprès du président du Conseil économique, social et environnemental de Nouvelle-Calédonie
Déléguée aux sports du parti, ancienne conseillère municipale (2008-2014), responsable de la Croix-Rouge pour l'enseignement aux enfants et adolescents malades (CREAM) en Nouvelle-Calédonie, directrice de SEGPA
Chef de cabinet de la présidente sortante de l'Assemblée de la Province Sud, ancienne référente socio-éducative du service Vie des quartiers de la ville, membre de l'ACAF
Délégué à la solidarité, aux séniors et au logement du parti, conseiller spécial pour l'éducation de la présidente sortante de l'Assemblée de la Province Sud, ancien proviseur du lycée du Grand Nouméa
Déléguée aux fédérations professionnelles du parti, élue provinciale et du Congrès sortante, ancienne PD-G de La Restauration française, ancienne vice-présidente chargée du tourisme du MEDEF en Nouvelle-Calédonie (2003-2005)
Signataire de l'accord de Nouméa, président du Congrès et élu provincial sortant, grand-chef du district coutumier du Pont-des-Français et de la chefferie Wamytan de Saint-Louis, ancien président du FLNKS (1995-2001) et du parti (1999-2001), ancien chef de l'opposition municipale (1989-2001), ancien membre du gouvernement (1999-2001 et 2002-2004, Affaires coutumières, Relations avec le Sénat coutumier et les Conseils coutumiers)
Membre du bureau politique du parti, directeur général du groupe Sofinor, tête de la liste « Ouverture citoyenne » en 2009, ancien conseiller municipal d'opposition (1995-2001)
Dirigeant fondateur du parti, élu provincial et du Congrès sortant, président fondateur de l'Association pour le droit au logement décent pour tous (ADLD), membre du Conseil national des peuples autochtones en Kanaky Nouvelle-Calédonie (CNDPA-KNC) et du Comité 150 ans après, ancien tête de liste FLNKS-Palika aux municipales de Nouméa en 2008, ancien directeur de cabinet de la vice-présidente du gouvernementDéwé Gorodey (2004-2009)
Président fondateur du parti, faipule (chef coutumier) des ressortissants wallisiens du district de Hihifo en Nouvelle-Calédonie, ancien élu provincial et du Congrès (1999-2004), ancien policier
Chef de cabinet du vice-président du gouvernement sortant Gilbert Tyuienon, ancien président fondateur des partis « accordistes » Génération calédonienne (1995-2002), Mouvement pour réussir l'accord de Nouméa (2002-2003, Calédonie mon pays (2003-2009) et Génération destin commun (2009-2011), tête de la liste « Génération destin commun » en 2009, ancien conseiller municipal d'opposition (1995-2008)
Grand-chef coutumier du district de Couli et chef de la tribu de Petit-Couli, descendant autoproclamé d'Ataï, ancien sénateur coutumier de l'aire Xaracuu (2005-2010)
Membre de l'association politique « Ouverture citoyenne », employée du département Communication de l'ADCK, coordinatrice des journées consacrées à l'art culinaire kanak au Centre culturel Tjibaou
Commissaire général du parti, membre du bureau politique du FLNKS, conseiller municipal d'opposition, 1er vice-président du Conseil économique, social et environnemental de Nouvelle-Calédonie (personnalités qualifiées)
Secrétaire de l'Union des groupements de parents d'élèves (UGPE), secrétaire de la Fédération pour l'accompagnement et le soutien à l'enfance au Mont-Dore (FASEM), professeur d'anglais
Secrétaire fédérale du parti en Nouvelle-Calédonie, ancienne élue provinciale et du Congrès (1999-2009), ancienne conseillère municipale d'opposition (1995-1998)
Conseiller juridique en droit administratif, membre de l'Association des Français résidents en Nouvelle-Calédonie (AFRNC), ancien chef du Service de la coordination administrative et des affaires générales et juridiques de l'Université de la Nouvelle-Calédonie (UNC)
Chargé de missions aux Finances et au partenariat avec les Communes auprès du président de l'Assemblée provinciale, ancien directeur du Centre hospitalier du Nord (2000-2003)
Signataire de l'accord de Nouméa, président du parti, président du Groupe mélanésien Fer de lance (GMFL), membre du bureau politique du FLNKS dont il fut le porte-parole et le coordinateur (2001-2010), chef du groupe UNI à l'assemblée provinciale sortante
Biologiste, président de l'association de Gestion des aires marines protégées de Province Nord (GEMO-PN), ancien gardien de but de handball de l'Amicale Croix Bleue (ACB) Poya
Chef de l'opposition municipale, collaborateur du parti à l'assemblée provinciale, membre du conseil des anciens de la tribu de Nediouen, président de l'Amicale culturelle, religieuse et tribale de Nediouen
Conseillère municipale d'opposition, chef du service des affaires générales et de la sécurité civile de la Subdivision administrative Nord du haut-commissariat de la République
Membre du comité pour le projet institutionnel et ancienne vice-présidente (2006-2012) du parti, élue provinciale et du Congrès sortante, ancienne suppléante du député de la 2e circonscriptionPierre Frogier (2007-2011), ancienne conseillère municipale d'opposition (1995-2014), responsable de l'Association des femmes pour le développement économique en milieu rural
Chef de l'opposition municipale, élu provincial et du Congrès sortant, ancien président du Congrès (2012-2013), fils et frère de grands-chefs coutumiers du district de Poindah
Ancien conseiller municipal d'opposition (2008-2014), ancien chef du personnel à la Direction de l'enseignement, de la formation et de l'insertion des jeunes (DEFIJ) de la province, éleveur, membre de la Chambre d'agriculture de Nouvelle-Calédonie
Conseiller municipal d'opposition, agriculteur, membre de la Chambre d'agriculture de Nouvelle-Calédonie, président de l'Association des utilisateurs de l'eau agricole de Ouégoa (AUEAO)
Chef de l'opposition municipale, gérant de société minière sous-traitante de la SLN, ancien employé de la SLN, président de la Fédération des mineurs kanak
Chargé de mission pour l'association d'aide aux porteurs de projets économiques Initiative NC, fils de l'ancien chef historique du FLNKS et ancien président du parti Jean-Marie Tjibaou
Président du club de football de l'Association sportive (AS) Qanono, président de l'association religieuse Tronge i Fao e Wé, président de l'École du dimanche de la paroisse protestante de Qanono
Signataire des accords d'Oudinot et de Nouméa, président du parti, élu provincial du Sud et du Congrès sortant, conseiller municipal d'opposition, sénateur honoraire, ancien sénateur RPR puis UMP (1992-2011), ancien élu provincial (1989-2009), ancien président de la Région Îles Loyauté (1988-1989), ancien 2e vice-président de l'Assemblée provinciale (1995-1996), ancien 1er adjoint au maire (1983-1985), ancien membre du gouvernement (2009-2011, Fonction publique, Qualité du Service public, Simplifications administratives, Schéma d'aménagement et de développement)
Conseiller municipal d'opposition, fils de l'ancien maire (1971-1977 et 1977-1983) Robert Paouta Naxué, gestionnaire de l'internat provincial de Hnasse
Signataire des accords d'Oudinot, président fondateur du parti, ancien président et fondateur de l'USTKE (1981-2000), conseiller municipal d'opposition, élu provincial et du Congrès sortant
Secrétaire de la 2e section d'inspection (Industrie) de la Direction du travail et de l'emploi de Nouvelle-Calédonie (DTE-NC), déléguée syndicale de l'USTKE
Fille et sœur de grands-chefs Boula du district coutumier de Lössi, candidate en 2009 dans le Sud sur la liste Calédonie ensemble, employée de la direction de l'enseignement de la Province Sud, ancienne conseillère à l'enseignement des langues et de la culture kanak à la DENC
Membre du bureau politique du parti, 2e adjointe au maire, 3e vice-présidente de l'assemblée provinciale sortante, candidate en sur la liste « Union pour le Renouveau » (UNR) de Jacques Lalié
Président fondateur du parti, élu provincial et du Congrès sortant, ancien conseiller municipal (2008-2014), ancien conseiller territorialLKS (1984-1985)
Chargée d'accueil à l'antenne de Maré de l'Établissement provincial de l'emploi, de la formation et de l'insertion professionnelle pour les îles Loyauté (EPEFIP)