Le territoire se situe en limite est des Baronnies orientales, sur des formations calcaires provençales du Jurassique supérieur et du Crétacé inférieur (roches sédimentaires issues d'un ancien océan alpin), entre trois formations géologiques majeures des Alpes[2] :
la nappe de Digne à l'est[3], au niveau du lobe de Valavoire[4] : il s'agit d'une nappe de charriage, c'est-à-dire d'une dalle épaisse de près de 5 000 m qui s'est déplacée vers le sud-ouest durant l'Oligocène et la fin de la formation des Alpes. Les lobes (ou écailles) correspondent à la bordure découpée à l'ouest de la nappe ;
la faille de la Durance au sud-ouest, dans la vallée ;
Lors de la glaciation de Riss, la commune est entièrement recouverte par le glacier de la Durance. Lors de la glaciation de Würm, le glacier n’en recouvre qu’à peu près la moitié. Ses moraines latérales sont visibles[5].
Relief
Le territoire de la commune est essentiellement composé de collines. La Durance coule en limite ouest de la commune, dans une vallée encaissée, et dominée par une terrasse située à 520 m. En allant vers l’est, on trouve un terrain vallonné montant vers les collines, dont celle où Sigoyer s’est établi, et la Corpatasse à l’ouest du village (765 m d’altitude). À l’est du village, se trouvent encore d’autres collines culminant entre 700 et 897 m, jusqu’à la vallée du torrent de Syriez[1].
Hydrographie
Le torrent de Syriez, né dans la commune de La Motte-du-Caire, s’écoule dans l’est de la commune, puis forme la limite sud-est de Sigoyer avec Vaumeilh avant de sortir de Sigoyer[1].
À l’ouest, le Mouson coule dans une vallée encaissée de direction nord-est/sud-ouest, et est limitrophe de Sigoyer et de Thèze. Un torrent intermittent, le ravin de la Combe de Chane, de même direction, fait la limite entre Vaumeilh et Sigoyer. Ces deux torrents sont courts et se jettent directement dans la Durance[1].
Transports
La commune de Sigoyer est desservie par la route départementaleRD 304 qui vient de Vaumeilh par le col de Grêle (728 m). Elle se dirige vers le nord-est et rejoint la RD 104 entre Melve et La Motte-du-Caire. À l’ouest, la RD 4 traverse la terrasse qui domine la Durance, vient de Vaumeilh et se dirige vers Thèze, et au-delà relie Tallard à Sisteron. Enfin, la RD 654 relie les RD 304 et 4[1].
Environnement
La commune compte 754 ha de bois et forêts, soit la moitié de sa superficie[6].
Risques naturels et technologiques
Aucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de La Motte-du-Caire auquel appartient Sigoyer est en zone 1a (sismicité très faible mais non négligeable) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[7], et en zone 3 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[8]. La commune de Sigoyer est également exposée à trois autres risques naturels[8] :
La commune de Sigoyer est de plus exposée à un risque d’origine technologique, celui de rupture de barrage[9]. En cas de rupture du barrage de Serre-Ponçon, toute la vallée de la Durance serait menacée par l’onde de submersion[10].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 885 mm, avec 7 jours de précipitations en janvier et 4,6 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Laragne Montéglin », sur la commune de Laragne-Montéglin à 11 km à vol d'oiseau[14], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 813,8 mm.
La température maximale relevée sur cette station est de 41,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17,4 °C, atteinte le [Note 1],[15],[16].
Le nom du village, tel qu’il apparaît la première fois vers 1200 (castri de Cigoier) puis en 1202 (de Ciguerio), fait l’objet de différentes interprétations :
selon Charles Rostaing, il est construit sur la racine *Sik/*Sig, qui sert à désigner une rivière de montagne[19],[20] ;
selon Ernest Nègre, il dérive d’un nom propre germanique, Sigowar[21] ;
selon le couplé Fénié, il s’agit d’un toponyme issu de la racine *Sik-[22].
Selon Rostaing et le couple Fénié, le toponyme est antérieur aux Gaulois[23],[22].
Le nom de Sigoyer est souvent assorti d’un second toponyme, Malpoil, qui sert à le distinguer de Sigoyer (anciennement Sigoyer-sur-Tallard), dans le département voisin des Hautes-Alpes. Cet usage, pour désigner la communauté de Sigoyer, est attesté dès 1335 et dure encore[20]. Malpoil signifierait la mauvaise montagne, à cause du caractère friable de la roche[24].
Urbanisme
Typologie
Au , Sigoyer est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[25].
Elle est située hors unité urbaine[26]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sisteron, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[26]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[27],[28].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (63,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (58,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
forêts (33,9 %), zones agricoles hétérogènes (28,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (22,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (7,6 %), terres arables (7,2 %), cultures permanentes (0,2 %), prairies (0,2 %)[29].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire
Antiquité
Des monnaies romaines allant du IIe siècle au IIIe siècle ont été retrouvées dans la commune attestant de l’occupation humaine du territoire de la commune à ce moment, ainsi que des tegulae et une clef des Ier – IIe siècle. Une statuette de Minerve originale, en bronze, a aussi été retrouvée. Elle date d’entre le Ier siècle et le milieu du IIIe siècle[20].
Moyen Âge
La localité apparaît pour la première fois dans les chartes au XIIIe siècle (Cigoerium)[20]. Le fief est donné en 1271 par le comte de Provence aux évêques de Gap[30],[24]. La seigneurie est ensuite détenue par les Bernardy (XIIIe siècle), les Roux (XVIe – XVIIe siècle), et enfin les Laidet ou Leydet, du XVe siècle à la Révolution française)[24]. L’abbaye d'Aniane et l’abbaye de Cluny possédaient chacune un prieuré[31]. Administrativement, la communauté villageoise dépendait de la baillie de Sisteron[31]. Appartenant aux évêques de Gap, la communauté de Sigoyer ne payait pas la queste aux comtes de Provence (puis à leurs successeurs, les rois de France) jusqu'à la Révolution[32].
Le prieuré Saint-Benoit, à l’Est du Planet, est une fondation du prieuré de Chane, dans la commune voisine de Vaumeilh, et donc une dépendance de l’abbaye d'Aniane. Il existait au XIIe siècle, et est abandonné au cours de la grande crise des XIVe et XVe siècles[33].
Temps modernes
Le château est endommagé au cours[34] à l’issue d’un épisode des guerres de religion. Il était défendu par une compagnie commandée par Louis des Isnard, appointée par le seigneur Laidet. Le , Sommerive s’empare de Sisteron, et afin d’éviter que les protestants s’emparent de Sigoyer, il envoie Saint-Jaille assiéger le château. Mais Des Isnards lui livre le château, qui est incendié et en partie rasé[35]. À la fin des guerres de religion, l’église a perdu son toit, et les réparations ne commencent qu’en 1610, pour ne s’achever qu’en 1644[36].
Le fief de Sigoyer-Malpoil est érigé en marquisat avec Beynes pour Pierre de Laidet en 1719[30]. À la veille de la Révolution française, le domaine du château faisait 150 ha, soit environ 10 % de la commune, et parmi les meilleures terres[35].
Révolution française
La nouvelle de l’abolition des privilèges parvient à Sigoyer le , avec le décret ordonnant que les biens nobles devront être cadastrés pour être soumis à l’impôt. Dans la nuit du , le château est pris d’assaut par les villageois, les chartes pillées et brûlées[35]. Le château est endommagé[34].
Un peu plus tard, la commune compte une société patriotique, créée après la fin de 1792[37]. En 1793, le château est mis aux enchères pour démolition[34].
Époque contemporaine
Le coup d'État du 2 décembre 1851 commis par Louis-Napoléon Bonaparte contre la Deuxième République provoque un soulèvement armé dans les Basses-Alpes, en défense de la Constitution. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression s’abat sur ceux qui se sont levés pour défendre la République, dont un habitant de Sigoyer[38].
Comme de nombreuses communes du département, Sigoyer se dote d’une école bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, une école dispensant une instruction primaire aux garçons fonctionne déjà[39]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : la loi Falloux (1851) n’impose l’ouverture d’une école de filles qu’aux communes de plus de 800 habitants, et la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent pas Sigoyer[40],[41]. Si les subventions accordées par la deuxième loi Duruy (1877) permettent de construire une école neuve[42], ce n’est qu’avec les lois Ferry que les petites filles de Sigoyer sont scolarisées.
Jusqu’au milieu du XXe siècle, la vigne était cultivée dans la commune, uniquement pour l’autoconsommation. Cette culture a depuis été pratiquement abandonnée, et en 2005, les surfaces plantées en vigne étaient relictuelles[43],[44].
De par sa taille, la commune dispose d'un conseil municipal de 9 membres (article L2121-2 du Code général des collectivités territoriales[47]). Lors du scrutin de 2008, il n’y eut qu’un seul tour et Michel Hernandez a été réélu conseiller municipal avec le meilleur total de 46 voix, soit 58,17 % des suffrages exprimés. La participation a été de 88,71 %. Il a ensuite été nommé maire par le conseil municipal[48].
L'élection du maire est la grande innovation de la Révolution de 1789. De 1790 à 1795, les maires sont élus au suffrage censitaire pour 2 ans. De 1795 à 1800, il n’y a pas de maires, la commune se contente de désigner un agent municipal qui est délégué à la municipalité de canton.
En 1799-1800, le Consulat revient sur l'élection des maires, qui sont désormais nommés par le pouvoir central. Ce système est conservé par les régimes suivants, à l'exception de la Deuxième République (1848-1851). Après avoir conservé le système autoritaire, la Troisième République libéralise par la loi du l'administration des communes : le conseil municipal, élu au suffrage universel, élit le maire en son sein.
La population a toujours été répartie sur le territoire communal dans des bastides isolées. Le village, accroché au château n’a jamais compté une importante population. Comme dans tout le Haut Pays, la principale cause du déclin de la population, qui semble arrêté aujourd’hui, est l’exode rural : les difficultés de culture dans les régions de montagne, la pauvreté des sols et la rudesse du climat ont poussé la population à émigrer vers le sud de la Provence.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1765. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[58]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[59].
L’histoire démographique de Sigoyer est marquée par une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période dure de 1806 à 1876. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul démographique de longue durée. En 1921, la commune a perdu plus de la moitié de sa population par rapport au maximum historique de 1806[61]. Le mouvement de baisse ne s'interrompt définitivement que dans les années 1960. Depuis, la population a crû légèrement.
Le château de Sigoyer est l'un des seuls points stratégiques sur la rive gauche : il domine le Val de Durance et permet d'observer une partie de la via Domitia. Les campagnes de constructions se sont étendues du XIe siècle au XVIe siècle.
Il est probable qu’au XIe siècle, une simple tour soit élevée sur un éperon rocheux déjà occupé à l’époque romaine[24]. Au XIIIe siècle, cette tour est rehaussée sur voûte, et un logis lui est ajouté, flanqué du donjon, d’une enceinte renforcée d’une tour carrée et d’une tour ronde destinée au guet, vers l’ouest et la Durance. Une chapelle est également construite dans cette enceinte. Enfin, une deuxième muraillee ceinture ce premier ensemble, avec une ferme, les écuries, et une citerne de 165 m3[35].
À la Renaissance, le château est une résidence, des bâtiments sont ajoutés pour la rendre plus confortable[35].
Aujourd'hui, d'imposantes ruines face à la vallée suggèrent encore ce qui fut sa puissance. La partie Est du château a été restaurée par un particulier, mais n'est pas classée.
Une borne interactive racontant l'histoire du château est adossée à l'église sur la place du village[50].
La rénovation est achevée en 1683[31]. Elle est sous la titulature de la Vierge et le patronage de Joseph (ajouté au milieu du XVIIe siècle<[71]). Son architecture est ambitieuse, selon Raymond Collier[36]. La nef possède deux travées voûtées d’arêtes, tout comme le chœur. Le clocher est un clocher-mur[72]. Les chapiteaux sont réduits à une bague lisse entourée de deux moulures circulaires. Les bas-côtés, élément rare dans la construction régionale, sont voûtés d’arêtes bombés. Enfin, le chœur est voûté d’arêtes rayonnantes[36]. Elle possède, dans son mobilier :
la statue de Notre-Dame-de-l’Espavent, en bois peint en bleu et en rouge, du type Sedes sapientiae, de la même époque, également classée au titre objet[74]. Marc de Leeuw envisage qu’elle puisse être contemporaine, et sculptée par un paysan[36] ;
Une tradition était liée à la statue de Notre-Dame-d’Espavant (« Notre-Dame d’Épouvante ») : les gens qui passaient sous sa statue étaient guéris de leur lâcheté[36].
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑Maurice Jorda, Cécile Miramont, « Les Hautes Terres : une lecture géomorphologique du paysage et de ses évolutions », in Nicole Michel d’Annoville, Marc de Leeuw (directeurs) (photogr. Gérald Lucas, dessin. Michel Crespin), Les Hautes Terres de Provence : itinérances médiévales, Le Caire : Association Les hautes terres de Provence ; Saint-Michel-l'Observatoire : C'est-à-dire, 2008, 223 p. (ISBN978-2-952756-43-3). p. 33.
↑Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence (DDRM), Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence,, , p.39.
↑ a et bMinistère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 3 août 2012.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Charles Rostaing, Essai sur la toponymie de la Provence (depuis les origines jusqu’aux invasions barbares), Marseille, Laffite Reprints, (1re éd. 1950), p.254.
↑ abcd et eMarc De Leeuw, « Sigoyer-Malpoil », dans Nicole Michel d’Annoville et Marc de Leeuw, Les Hautes Terres de Provence : itinérances médiévales, Le Caire - Saint-Michel-l'Observatoire, Association Les hautes terres de Provence - C'est-à-dire, , 223 p. (ISBN978-2-952756-43-3), p.180.
↑ abc et dDaniel Thiery, « Sigoyer », Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence, publié le 22 décembre 2011, mis à jour le 23 décembre 2011, consulté le 3 août 2012.
↑Édouard Baratier, La démographie provençale du XIIIe au XVIe siècle, avec chiffres de comparaison pour le XVIIIe siècle, Paris : SEVPEN/EHESS, 1961. Collection « Démographie et société », 5. p. 21.
↑Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires», La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p. 296-298.
↑Henri Joannet, Jean-Pierre Pinatel, « Arrestations-condamnations », 1851-Pour mémoire, Les Mées : Les Amis des Mées, 2001, p. 72.
↑Jean-Christophe Labadie (dir.), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, (ISBN978-2-86-004-015-0), p.9.
Land RoverJenisAnak perusahaan Jaguar Land RoverIndustriOtomotifDidirikanMerek digunakan sejak 1948[1]PendiriRoverKantorpusatWhitley, Coventry, Inggris[2]TokohkunciDr Ralf Speth (CEO) John Edwards (Global Brand Director)[3]ProdukMobilKaryawan13.000IndukJaguar Land RoverSitus webwww.landrover.com Land Rover adalah sebuah salah satu merek perusahaan mobil asal Inggris, Jaguar Land Rover yang menghasilkan berbagai macam produk-produk mobil.[4] Didirikan pada tahun...
« Francia occidentalis » redirige ici. Pour les autres significations, voir Francia et Occidentalis. Pour les articles homonymes, voir Francie. Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus. Certaines informations figurant dans cet article ou cette section devraient être mieux reliées aux sources mentionnées dans les sections « Bibliographie », « Sources » ou « Liens externes » (février 2009). Vous pouvez ...
1956 1962 Élections législatives de 1958 dans la Haute-Vienne 3 sièges de députés à l'Assemblée nationale 23 et 30 novembre 1958 Corps électoral et résultats Inscrits 228 029 Votants au 1er tour 167 823 73,60 % 6,6 Votes exprimés au 1er tour 161 010 Votants au 2d tour 103 533 69,71 % Votes exprimés au 2d tour 99 707 Section française de l'Internationale ouvrière Voix au 1er tour 80 265 49,85 % Voix au 2...
Halaman ini berisi artikel tentang genre musik. Untuk kegunaan lain, lihat Grunge (disambiguasi). GrungeAlice in Chains tampil pada September 2007. Dari kiri ke kanan: William DuVall, Sean Kinney dan Jerry Cantrell (Mike Inez keluar dari bingkai).Sumber aliran Rok alternatif[1] punk rock[2] noise rock[3] indie rock[4] hardcore punk[1] heavy metal[2] hard rock[4] new wave[5] Sumber kebudayaanPertengahan 1980-an, Seattle, Washingto...
This article is about original club founded in 1904. For reformed club in 2009, see Pogoń Lwów (2009). Football clubPogoń LwówFull nameLwowski Klub Sportowy Pogoń LwówFounded1904Dissolved1945GroundMarshal Edward Rydz-Śmigły Sports Park,43 Jan Kiliński Street, LwówCapacityabout 10 000LeaguePolish Football League 1927–1939 Home colours Away colours LKS Pogoń Lwów is a former Polish professional sports club which was located in Lwów, Lwów Voivodeship (now Lviv in Ukraine), and ex...
Si ce bandeau n'est plus pertinent, retirez-le. Cliquez ici pour en savoir plus. Cet article ne cite pas suffisamment ses sources (août 2017). Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ». En pratique : Quelles sources sont attendues ? Com...
Cet article concerne le concept. Pour l'association, voir Générations Futures (association). Les générations futures sont les générations d'êtres humains qui viendront après les générations actuelles. Les besoins des générations futures sont l'un des fondements du concept de développement durable, dont la définition est la suivante : « un développement qui répond aux besoins des générations du présent sans compromettre la capacité des générations futures ...
Erica grandiflora L.f. 1802 Henry Cranke Andrews (fl. 1794 - 1830), adalah seorang botanis, artis botani dan engraver Inggris. Ketika ia selalu diterbitkan sebagai Henry C. Andrews, dan karena kesulitan menemukan catatan, C. sering disebut sebagai Charles, dari 1961 sampai catatan pendaftaran pernikahannya ditemukan di 2017.[1][2] Ia lahir di Knightsbridge dan menikah dengan Anne Kennedy,[3] putri dari John Kennedy dari Hammersmith, seorang perawat yang membantu Andrew...
1998 single by Janet Jackson Every TimeU.S. promotional coverSingle by Janet Jacksonfrom the album The Velvet Rope B-sideAccept MeReleasedMarch 25, 1998 (1998-03-25)GenrePopLength4:17LabelVirginSongwriter(s) Janet Jackson James Harris III Terry Lewis René Elizondo Jr. Producer(s) Janet Jackson Jimmy Jam and Terry Lewis Janet Jackson singles chronology You (1998) Every Time (1998) What's It Gonna Be?! (1999) Music videoEvery Time on YouTube Every Time is a song by American sing...
Type of cracker Two Club Crackers Club Crackers are crackers made by the Kellogg Company.[1] They are somewhat similar in resemblance to saltines, but are rectangular and have 18 holes in a 3x6 pattern instead of the 13 holes in a 3-2-3-2-3 pattern that are on a saltine. Also, their short edges are even, not perforated. A square variant used in Club & Cheddar sandwich crackers retains the saltine shape and hole pattern. They have a buttery flavor and a large amount of fat, 3g per ...
Échalou L'église Notre-Dame. Administration Pays France Région Normandie Département Orne Arrondissement Argentan Intercommunalité Flers Agglo Maire Mandat Claude Gasnier 2020-2026 Code postal 61440 Code commune 61149 Démographie Gentilé Échaluvien Populationmunicipale 350 hab. (2021 ) Densité 63 hab./km2 Géographie Coordonnées 48° 43′ 40″ nord, 0° 29′ 36″ ouest Altitude Min. 204 mMax. 237 m Superficie 5,59 km2 Type ...
Slovak-Jewish Auschwitz escapee, Canadian biochemist (1924–2006) Rudolf VrbaVrba in New York, November 1978, during an interview with Claude Lanzmann for the documentary ShoahBornWalter Rosenberg(1924-09-11)11 September 1924Topoľčany, CzechoslovakiaDied27 March 2006(2006-03-27) (aged 81)Vancouver, CanadaCitizenshipBritish (1966), Canadian (1972)Education Ing. Chem., chemistry, Czech Technical University in Prague (1949) Dr. Tech. Sc., chemistry and biology, Czech Technical University...
Disambiguazione – Se stai cercando le guerre tra Carlo Magno e i sassoni tra il 772 e l'804, vedi Guerre sassoni. Disambiguazione – Se stai cercando la guerra tra Enrico IV di Franconia e i sassoni svoltasi tra il 1073 e il 1075, vedi Ribellione dei Sassoni. La grande rivolta dei Sassoni o grande rivolta sassone fu una guerra civile svoltasi tra il 1077 e il 1088 tra il re, poi imperatore, Enrico IV e il duca di Svevia e anti-re Rodolfo di Rheinfeld e, dopo la sua morte, da Ermanno di Sa...
Pour l’article homonyme, voir Beauharnois. Beauharnois Ville de Beauharnois Pont Préville Administration Pays Canada Province Québec[1] Région Montérégie Subdivision régionale Beauharnois-Salaberry Statut municipal Ville Maire Mandat Alain Dubuc 2021-2025 Code postal J6N Constitution 2002 Démographie Gentilé Beauharlinois, Beauharlinoise Population 13 638 hab.[2] (2021) Densité 203 hab./km2 Géographie Coordonnées 45° 19′ nord, 73° 52′ oue...
British crown colony (1841–1907) Colony of New Zealand1841–1907 Top: Flag of New Zealand (since 1902)Bottom: Flag of the United Kingdom (until 1902) Royal coat of arms Anthem: God Save the Queen/KingStatusBritish colonyCapitalOkiato (1841)Auckland(1841–1865)Wellington(since 1865)Common languagesEnglish, Māori (de facto)Demonym(s)New ZealanderGovernmentCrown colony (1841–1852)Self-governing colony (1852–1907)British monarch • 1841–1901 Victoria• 1901�...
Queen consort of Poland Catherine OpalińskaPortrait by Jean-Baptiste van Loo, 1725Queen consort of PolandGrand Duchess consort of LithuaniaTenure4 October 1704 – 8 August 1709Coronation4 October 1705Tenure12 September 1733 – 27 January 1736Duchess consort of LorraineTenure9 July 1737 – 19 March 1747Born(1680-10-13)13 October 1680Poznań, Poland, Polish–Lithuanian CommonwealthDied19 March 1747(1747-03-19) (aged 66)Lunéville, Duchy of Lorraine, Holy Roman EmpireBurialNotre-Dame-d...