Réseau du Rupt-du-Puits

Réseau du Rupt-du-Puits
Tête du puits artificiel d'accès
au réseau du Rupt-du-Puits.
Localisation
Coordonnées
Localisation
Vallée
Localité voisine
Caractéristiques
Type
Altitude de l'entrée
160 m (vasque du Rupt-du-Puits)
213 m (entrée de la Béva)
Longueur connue
17,4 km (ensemble du réseau)
11,4 km (réseau aval exondé du Rupt-du-Puits)
3,8 km (réseau amont exondé de la Béva)
Cours d'eau
Patrimonialité
Entrées contrôlées
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Avec plus de 17 kilomètres de galeries explorées et topographiées, le réseau du Rupt-du-Puits est le plus important réseau souterrain naturel du Bassin parisien. Mi-2016, en France, ce système est la 37e plus longue cavité naturelle et la 10e par la longueur de son siphon principal, d'un développement noyé de 1 770 mètres (longueur totale noyée par les siphons successifs : 2 950 mètres)[1].

Description

Première marmite de la « galerie des Marmites » dans le réseau du Rupt-du-Puits.

La rivière souterraine du Rupt-du-Puits résurge de manière permanente au Rupt-de-Frainiau [a] situé à Beurey-sur-Saulx (Meuse). La vasque du Rupt-du-Puits, située sur la même commune sous un ouvrage maçonné d'une ligne de chemin de fer désaffectée, est un exutoire de crue : bien que toujours en eau, cette exsurgence ne coule qu'en période de crue et alimente alors la Saulx.

L'entrée naturelle historique du réseau du Rupt-du-Puits est le siphon aval situé au niveau de la vasque du Rupt-du-Puits[b]. Depuis 2003, le réseau du Rupt-du-Puits est relié par les siphons amont au gouffre de la Béva[2], situé sur le territoire de la commune de Trois-Fontaines dans la Marne. Le gouffre de la Béva[c] est donc une seconde entrée naturelle amont à la rivière souterraine du Rupt-du-Puits.

Le réseau non noyé se compose, en aval, d'une galerie principale, nommée collecteur A.S.P.R.P.[d] et de plusieurs affluents (affluent des Dents de requins, affluent des Meilleurs, affluent de la Grande cheminée, galerie du Silence, affluent des Marmites, affluent Bertrand Légeretc.) et du gouffre de la Béva en amont.

Depuis 1975, le forage d'un puits artificiel de 0,85 m de diamètre, sur le territoire de la commune de Robert-Espagne, assure aux spéléologues non plongeurs un accès à la partie non noyée aval du réseau, sans passer par le siphon aval situé à la vasque du Rupt-du-Puits. Les galeries non noyées de cette partie du réseau s'achèvent sur des branches siphonantes.

Le forage artificiel de 48 mètres de verticale absolue du Rupt du Puits.

L'ensemble du réseau s'étend sous trois communes et deux départements de la région Grand Est.

Le dénivelé total est de 53 m entre l'entrée de la Béva (altitude : 213 m) et la vasque du Rupt-du-Puits (altitude : 160 m).

Histoire

Nacelle qui permit les premières descentes dans le puits artificiel du réseau du Rupt-du-Puits.

En 1962, François Descaves (°1926 - †2006) publie un article[3] qu'il conclut en signalant l'émergence du Rupt-du-Puits comme intéressante à plonger : « Enfin, à Robert-Espagne, le Rupt-du-Puits (SD 3414) et le Rupt-de-Freiniau (SD 3410), mériteraient une tentative de plongée souterraine. » Cette communication attire, durant l'été 1966, Bertrand Léger (°1947 - †1984)[4], spéléo-plongeur du Camping club de France (Paris), qui désobstrue l'entrée du laminoir ennoyé à une profondeur de 7 mètres[5].

L'année suivante, les explorations prennent leur essor avec une petite équipe composée de Bertrand Léger et Jacky Bourgin (°1951 - †2010)[6], Jean-Louis Camus, Patrice Lucion et Gérard Paquin, du Groupe spéléologique de Fains-les-Sources (G.S.F.). Finalement, Camus et Paquin franchissent le siphon (prof. : −4 m ; dév. : 445 m) le . Le lendemain, Bourgin et Lucion explorent 1,7 kilomètre de galerie dans le réseau du Rupt-du-Puits et butent sur le siphon amont. Pendant les deux années qui suivent, ces cinq spéléo-plongeurs, accompagnés d'autres plongeurs comme Yves Aucant ou Jacques de Schryver, explorent et topographient le réseau (dév. : 10 650 mètres), ce qui en fait à cette époque le plus grand réseau post-siphon connu du monde[7].

Devant le potentiel de cette ressource en eau, et grâce à la persévérance de François Descaves, hydrogéologue à la direction départementale de l'agriculture de la Meuse, un forage de sondage (prof. : 45 m ; diam. : 130 mm) est réalisé à l'extrémité du siphon aval en 1973. En 1975 ce forage est élargi (diam. : 850 mm) afin de permettre à des non-plongeurs de pénétrer dans le réseau. Au début, la descente s'effectuait à l'aide d'une nacelle, descendue et remontée par une grue ; la nacelle est visible sur le terrain de la Maison lorraine de la spéléologie (M.L.S.). C'est le B.R.G.M. qui conduit l'expertise scientifique. Le rapport d'Henri Paloc (°1930 - †2021) se conclut par l'affirmation du peu d'intérêt pour l'accès à l'eau ou pour une grotte touristique, mais précise : « Il faut absolument confier la gestion de cet accès aux spéléos locaux pour qu'ils poursuivent les explorations du réseau. »

Les explorations et découvertes se poursuivent alors et permettent de découvrir de nouvelles galeries, portant le développement total du réseau du Rupt-du-Puits à 11,4 kilomètres. Parallèlement aux explorations des spéléologues, les spéléo-plongeurs Gérard Ancerment, Jacky Bourgin et P. Lucion, fondateurs en 1973 de l'Association des spéléo-plongeurs du Rupt-du-Puits (A.S.P.R.P.) à la suite de la dissolution du G.S.F., se lancent dans le siphon amont qui, au bout d'une soixantaine de mètres, débouche sur une nouvelle galerie puis dans un nouveau siphon exploré sur 500 mètres en .

Entre 2000 et 2003, Michel Pauwels, spéléo-plongeur belge, explore progressivement le siphon amont et relie physiquement le réseau du Rupt-du-Puits au gouffre de la Béva, portant ainsi le développement total de ce nouveau système à environ 17,4 km[2].

C'est à la détermination de François Descaves, père de la spéléologie meusienne et du Rupt-du-Puits, que sont dues les explorations du Rupt-du-Puits puis la réalisation du forage qui permet aujourd'hui un accès aisé à la partie aval de la rivière[8].

Karstologie

Les travaux de Stéphane Jaillet menés à la fin du XXe siècle ont permis de démontrer :

  • des phénomènes d’érosion régressive, par exemple au niveau de la « cascade »,
  • un phénomène de capture du drain des Meilleurs par le collecteur principal du Rupt-du-Puits, dû à une érosion régressive.

Archéologie - Paléontologie

De nombreux fossiles sont visibles dans le réseau du Rupt-du-Puits, notamment une quantité importante de dents de requins dans la galerie éponyme. De nombreuses pièces sont visibles dans le musée privé de Jean-Luc Armanini à L'Isle-en-Rigault[9].

Plusieurs pièces d'origine préhistorique (éclats à talon facetté, pointe moustérienne, racloir à retouches bifaciales à talon punctiforme) ont été découvertes dans les alluvions du réseau et proviennent d'un gisement de surface lessivé par les eaux d'infiltration[10]. De même du matériel osseux d'une faune relativement moderne (bœuf, porc, âne, chat, blaireau) a été retrouvé dans le lit de la rivière[11].

Biologie

Avec les crues, une faune importante est transportée dans le réseau, composée essentiellement de batraciens et de salamandres.

On trouve également une faune cavernicole terrestre composée de coléoptères (Pterostichus), collemboles (Folsomia, Onychiurus et Pseudosinella) et diplopodes (Tachypodoiulus niger)[12], et aquatique composée de Niphargus, notamment au fond de la galerie des Macaronis (Rupt-du-Puits) et dans le gouffre de la Béva, et Caecosphaeroma[13],[14],[15].

Conditions d'accès

Le forage du Rupt-du-Puits[e] étant la propriété de l'Office national des forêts, il est fermé à clef. Son accès est possible grâce à une convention signée par la Ligue Grand Est de spéléologie avec l'O.N.F. qui garantit le libre accès aux spéléologues licenciés[16]. La clé est disponible pour tout spéléologue licencié dans une fédération européenne à la Maison lorraine de la spéléologie.

Sentier karstique du Rupt-du-Puits

Le sentier karstique du Rupt-du-Puits[17] se situe dans la forêt domaniale de Jean d'Heurs, qui est le prolongement meusien du massif de Trois-Fontaines. Au niveau de sa richesse écologique, elle est répertoriée en zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique et est contigüe au site Natura 2000 de Trois-Fontaines.

Le départ du sentier s'effectue depuis la commune de Robert-Espagne, il se situe sur la route allant à Trois-Fontaines à la sortie du village de Robert-Espagne au lieu-dit Croix du Bois.

Bibliographie

  • Daniel Andrés et Baudoin Lismonde, « Le Rupt-du-Puits (Robert-Espagne, Meuse) », dans Bertrand Léger Spéléonaute, Groupe spéléo de la Tronche & Comité départemental de spéléologie de l'Isère, , 128 p. (ISBN 2-902670-36-2, lire en ligne), p. 37-40
  • Armanini J.-L. :
    • (1978) - « Gouffre de la Béva », in : « Découvertes du G.S.R.E. en forêt de Trois-Fontaines », Spéléo L no 10 (ISSN 0758-3974), Ligue spéléologique lorraine, Nancy, p. 50-51
    • (1979) - « Un mystérieux cavernicole au Rupt du Puits », Spéléo L no 11 (ISSN 0758-3974), Ligue spéléologique lorraine, Nancy, p. 20
    • (1988) - « Un Plesiosaurus au Rupt du Puits », L'écho des cavernes meusiennes no 1, Comité départemental de spéléologie de la Meuse, Bar-le-Duc
    • (1988) - « Activités S.C.L.R. - Activités 1984-1985 : Rupt du Puits », Spéléo L no 14 (ISSN 0758-3974), Ligue spéléologique lorraine, Nancy, p. 46
    • (1996) - « Vingt-cinq années de recherches dans les forêts domaniales de Jean d'Heurs et de Trois Fontaines », « Spelunca 5e série no 64 », sur spelunca.ffspeleo.fr, Lyon (consulté le ) (ISSN 0249-0544), Fédération française de spéléologie, Paris, p. 25-34
  • Armanini J.-L., Beaudoin J.-P., Depaquis J.-P., Fréminet Y., Hayot É., Herbillon Cl., Jaillet St. et Robert N. (1994) - « Le Rupt du Puits » (p. 152-155) & « La rivière souterraine de la Béva » (p. 139,141-142), L'écho des cavernes meusiennes no 3 (ISSN 0996-6803), Comité départemental de spéléologie de la Meuse, Bar-le-Duc
  • A.S.P.R.P. (1977) - « Le Rupt du Puits - Historique », Spéléo L no 9 (ISSN 0758-3974), Ligue spéléologique lorraine, Nancy, p. 61-63 + plan en annexe
  • Body M., Devaux Fr., Gouilly J., Goullet M., Louis M. et Trognon R. (1974) - « Gouffre-grotte de la Béva », dans : « Recherches et travaux 72-73 », Spélé Eau Boue no 7, Association spéléologique de la Haute-Marne, Saint-Dizier, p. 19-20 + annexe (planche III)
  • Descaves Fr. (1967) - « Société spéléologique de Robert-Espagne (Meuse) - Plongées souterraines au Rupt-du-Puits », Spelunca 4e série no 1, Fédération française de spéléologie, Paris, p. 65-66
  • Descaves J.-P. (2016) - « Historique du forage du Rupt-du-Puits », « Le P'tit Usania no 214 », sur usan.ffspeleo.fr, Nancy (consulté le ) (ISSN 1292-5950), Union spéléologique de l'agglomération nancéienne, Nancy, p. 1-2
  • Devaux Fr. (1975) - « Rupt-du-Puits (réseau du) », in : « Inventaire souterraine Meuse », Spéléo L no 7 (ISSN 0758-3974), Comité régionale de spéléologie d'Alsace et de Lorraine, Nancy, p. 186-194
  • Devos A., Jaillet St., Gamez P. (1999) - « Structures tectoniques et contraintes de cheminement des eaux dans les aquifères karstiques du barrois (Lorraine/Champagne, France) », Geodinamica Acta tome 12, no 3-4, Paris, p. 249-257
  • Douchet V. (1988) - « Plongées lorraines de Los Fouyants : gouffre du Rupt du Puits », Spéléo L no 14 (ISSN 0758-3974), Ligue spéléologique lorraine, Nancy, p. 107
  • Frachon J.-Cl. & Aucant Y. (1973) - « Meuse : le Rupt-du-Puits », Spelunca 4e série no 2, Fédération française de spéléologie, Paris, p. 54
  • Izouakane H. (1989) - Études préliminaires du réseau karstique du Rupt du Puits, Mémoire de DEA Option Géographie et aménagement de l'espace, géomorphologie sous la direction du professeur A. Weisrock, Université de Nancy 2, Nancy, 65 p.
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    • (1994) - Le karst de surface et d'infiltration du Rupt du Puits. Étude du milieu naturel pour la réalisation d'un sentier karstique, Mémoire de Licence géographie, Université de Metz, 103 p.
    • (1995) - Le géosystème karstique du Rupt du Puits : étude morphologique de l'exo- et de l'endokarst, Mémoire de Maîtrise géographie, Université de Metz, 173 p.
    • (1996) - Dynamique des karsts couverts de bas plateaux : l'exemple du Rupt du Puits (Lorraine / Champagne, France), Mémoire de DEA géographie, Université de Bordeaux III, 151 p.
    • (2000) - Un karst couvert de bas-plateau : le Barrois (Lorraine / Champagne, France). Structure - Fonctionnement - Évolution, Thèse doctorat géographie, Université de Bordeaux III (déc. 2000), 2 vol., 712 p, en cours d'édition partielle dans Karstologia Mémoires no 12 (2005), présentation en ligne=[1]
  • Jaillet St. et Gamez P. (1995) - « Observations morphologiques sur le géosystème karstique du Rupt-du-Puits (Meuse, Lorraine) », « Karstologia no 26 », sur persee.fr (consulté le ), Fédération française de spéléologie, Lyon, p. 17-38
  • Léger B. :
    • (1973) - « Plongées souterraines dans l'est de la France - Meuse, Exsurgence du Rupt-du-Puits, Robert-Espagne », Spelunca 4e série no 1, Fédération française de spéléologie, Paris, p. 18
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  • Spéléo-club de la Seine (1968) - « Plongées souterraines - Rupt-du-Puits », Spelunca 4e série no 2, Fédération française de spéléologie, Paris, p. 17-18
  • Prévot Chr. (2017) - « Le réseau du Rupt-du-Puits », Spelunca 5e série no 147, Fédération française de spéléologie, Lyon, p. 4-5
  • (en)Jean-Jacques Delannoy, Christophe Gauchon, Fabien Hobléa, Stéphane Jaillet, Richard Maire, Yves Perrette, Anne-Sophie Perroux, Estelle Ployon et Nathalie Vanara, « Le karst : des archives paléogéographiques aux indicateurs de l’environnement », Géomorphologie : relief, processus, environnement, Paris, vol. 15, no 2,‎ , p. 86-87 (ISSN 1266-5304, lire en ligne, consulté le ).
  • Philippe Audra-Responsable d'édition et Stéphane Jaillet, Association française de karstologie, « Grottes et karts de France - Le système karstique du Rupt du Puits(Lorraine) », Karstologia Mémoires, Paris, Association française de karstologie, no 19,‎ , p. 160-161 (ISBN 978-2-95-042225-5)
  • SCAM :
    • (1979) - « Fouilles archéologiques au Rupt du Puits », Spéléo L no 11 (ISSN 0758-3974), Ligue spéléologique lorraine, Nancy, p. 28-31
    • (1979) - « Détection au Rupt du Puits », Spéléo L no 11 (ISSN 0758-3974), Ligue spéléologique lorraine, Nancy, p. 44-47

Références

Notes

  1. le Rupt-de-Frainiau a pour coordonnées48° 45′ 02″ N, 5° 01′ 18″ E.
  2. la vasque du Rupt-du-Puits a pour coordonnées 48° 44′ 49″ N, 5° 01′ 19″ E.
  3. le gouffre de la Béva a pour coordonnées 48° 43′ 02″ N, 5° 00′ 00″ E.
  4. Ce nom est donné en hommage aux spéléo-plongeurs de l'Association des spéléo-plongeurs du Rupt-du-Puits (A.S.P.R.P.) qui ont effectué l'exploration du réseau entre 1973 et 1976.
  5. le forage du Rupt-du-Puits a pour coordonnées 48° 44′ 40″ N, 5° 01′ 08″ E.

Références

  1. « Siphonométrie de France », sur plongeesout.com Plongée souterraine, (consulté le ).
  2. a et b Michel Pauwels (ESCM, Collectif du Rupt du Puits), « Jonction Rupt du Puits - gouffre de la Béva (Robert-Espagne, Meuse) », Spéléo L, Nancy, Ligue spéléologique lorraine, no 17,‎ , p. 39-50 (ISSN 0758-3974).
  3. François Descaves, « Répertoire des cavités de la région de Bar-le-Duc », Spelunca, Paris, Comité national de spéléologie - Société spéléologique de France, 4e série, no 4,‎ , p. 27-32.
  4. Daniel Andrés et Baudouin Lismonde, Bertrand Léger - Spéléonaute, Grenoble, Groupe spéléo de la Tronche - Comité départemental de spéléologie de l'Isère, (lire en ligne), p. 10, 15, 16, 17, 18, 37-40, 118, 121.
  5. François Descaves, « Société spéléologique de Robert-Espagne (Meuse) - Plongées souterraines au Rupt-du-Puits », Spelunca, Paris, Fédération française de spéléologie, 4e série, no 1,‎ , p. 65-66.
  6. Daniel Prévot, « In Memoriam : Jacky BOURGIN 1951-2010 », Le P'tit Usania, Nancy, Union spéléologique de l'agglomération nancéienne, no 139,‎ , p. 5 (ISSN 1292-5950, lire en ligne, consulté le ).
  7. Daniel Prévot, « Trentième anniversaire du forage du Rupt-du-Puits », Le P'tit Usania, Nancy, Union spéléologique de l'agglomération nancéienne, no 39,‎ , p. 5 (ISSN 1292-5950, lire en ligne, consulté le ).
  8. Daniel Prévot, « in memoriam : François DESCAVES (1926-2006) », Le P'tit Usania, Nancy, Union spéléologique de l'agglomération nancéienne, no 93,‎ , p. 4-5 (ISSN 1292-5950, lire en ligne, consulté le ).
  9. « Le musée de fossiles de Jean-Luc Armanini », sur Maison lorraine de la spéléologie (M.L.S.) (consulté le ).
  10. SCAM, 1979, p. 28-30.
  11. SCAM, 1979, p. 30-31.
  12. J. Chauvin, « Une nouvelle espèce de collembole dans des cavités lorraines », Spelunca mémoires, F.F.S. - LISPEL - Universités de Metz et de Nancy - A.F.K., no 14,‎ , p. 57-58 (ISSN 0249-0544).
  13. Olivier Gradot, « Les sessions meusiennes du Rat et du Lynx – Volume 1 », Le P'tit Usania, Nancy, Union spéléologique de l'agglomération nancéienne, no 220,‎ , p. 1-2 (ISSN 1292-5950, lire en ligne, consulté le ).
  14. Olivier Gradot, « Les sessions meusiennes du Rat et du Lynx – Volume 2 », Le P'tit Usania, Nancy, Union spéléologique de l'agglomération nancéienne, no 221,‎ , p. 1-2 (ISSN 1292-5950, lire en ligne, consulté le ).
  15. Bernard Hamon, « La vie des stations de Niphargus : le point en janvier 2017 - Trois-Fontaines (51)-Lisle-en-Rigault (55) », Scories Spécial Biospéologie, Besançon, CPEPESC, no 477,‎ , p. 4 (lire en ligne, consulté le ).
  16. O.N.F. / LISPEL, « Convention relative à la pratique de la spéléologie en forêt domaniale de Jeand'Heurs du 23 juin 2017 », sur csr-l.ffspeleo.fr, Tomblaine (consulté le ).
  17. « Sentier karstique de Robert-Espagne », sur gersm.blogspot.com (consulté le ).

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes