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Biden a annoncé qu'il se présenterait à la présidence en , grâce à une vidéo et à la suite de deux campagnes présidentielles infructueuses en 1988 et 2008[6].
Période de transition
La période de transition doit être négociée entre l'administration Trump et le gouvernement de Joe Biden. Cette période doit permettre au président élu de prendre connaissance des dossiers en cours et de mettre en place l'organisation de son cabinet (nomination des secrétaires et hauts fonctionnaires) afin qu'il soit opérationnel dès sa prise de fonction le . Néanmoins, l'ancien vice-président a lancé un site Internet dès le lendemain de son élection avec pour slogan Build Back Better ainsi qu'un compte Twitter dédié à la transition présidentielle[7].
Équipe de transition
Alors que l'administratrice des services généraux Emily W. Murphy(en), nommée par Donald Trump en 2017, ne confirme pas encore les résultats de l'élection présidentielle, le président élu Joe Biden nomme une équipe de transition. Cinq démocrates sont désignés, antérieurement à l'élection, pour présider le comité de transition :
Le nouveau président étoffe cette liste avec de nombreux conseillers, dont Pete Buttigieg, ancien maire de South Bend et candidat à la primaire démocrate, ainsi que Susan Rice, ancienne ambassadrice auprès des Nations unies[8]. Cindy McCain, veuve de l'ancien candidat républicain à la présidentielle John McCain, fait également partie des conseillers du nouveau président élu[9].
Chronologie
L'équipe de transition du président élu fixe quatre priorités que la nouvelle administration prendra en charge dès l'investiture de Joe Biden, à savoir la pandémie de Covid-19, la reconstruction de l'économie, le changement climatique et l'équité sociale[10].
Le , Joe Biden met en place une cellule de crise de lutte contre le coronavirus à travers une task force composée de 13 scientifiques américains. Elle est chargée de bâtir un plan de réponse fédéral à la pandémie qui sera mis en place dès l'inauguration du nouveau président[11]. Le lendemain, le président élu s'entretient avec plusieurs dirigeants européens dont Emmanuel Macron, Boris Johnson et Angela Merkel. Il a déclaré vouloir renforcer les relations transatlantiques en indiquant que « l'Amérique est de retour », prenant le contrepied du slogan de son prédécesseur « America first »[12].
Après la certification des résultats électoraux en Géorgie et au Michigan, l'administration Trump donne officiellement son feu vert au début de la transition Biden le . Alors que certains médias voient cela comme une reconnaissance implicite de la défaite de Donald Trump, les équipes de la transition peuvent maintenant recevoir des fonds fédéraux, collaborer avec les agences fédérales et bénéficier d'informations classées secret-défense lors des briefings du président élu[14].
La cérémonie d'inauguration se déroule durant un contexte sanitaire et sécuritaire critique en raison de la pandémie de Covid-19 et de l'assaut du Capitole par des partisans de Donald Trump. La cérémonie — dont la protection est assurée par la Garde nationale — a lieu essentiellement en visioconférence avec des invités restreints ; la parade militaire est annulée[15]. Le président sortant Donald Trump n'assiste pas à la prestation de serment de son successeur et ne l'accueille pas à la Maison-Blanche.
Les chanteuses Lady Gaga et Jennifer Lopez ont été choisies pour assurer la partie musicale de la cérémonie. Lady Gaga interprète alors l'hymne national américain sur les marches du Capitole[16].
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Vice-présidente
La vice-présidente est élue en même temps que le président des États-Unis. Elle n'est pas membre à proprement parler du cabinet mais siège aux réunions de celui-ci. Elle est également présidente du Sénat des États-Unis. Si le président change de vice-président en cours de mandature, celui-ci est confirmé par un vote du Sénat comme les autres membres du gouvernement.
Contrairement au président et au vice-président, désignés par le vote du collège électoral des États-Unis, tous les autres membres du cabinet présidentiel désignés par le président élu doivent faire l'objet de l'approbation du Sénat pour chacun de leur poste avant de prendre leurs fonctions de manière effective, en vertu de l'article II de la Constitution des États-Unis, section II, clause 2 (« Avis et consentement »).
D'autres postes officiels ont rang au cabinet, ce qui signifie qu'ils sont autorisés à assister à ses réunions, mais ne sont pas des secrétaires (Secretaries) responsables d'un département (Department). Les occupants n'entrent pas dans l'ordre de succession présidentielle.
Joe Biden désigne par ailleurs Rachel Levine comme secrétaire adjointe à la Santé ; il s'agit de la première personne transgenre nommée dans une administration américaine[18],[19]. Confirmée le 24 mars, elle entre en fonction deux jours plus tard.
Politique intérieure
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Admission des réfugiés et immigration
Au début de son mandat, Joe Biden déclare vouloir faciliter la naturalisation de neuf millions de migrants éligibles à la citoyenneté américaine[20]. Le président démocrate déclare également vouloir supprimer toutes les mesures prises par Donald Trump qui freinent l'immigration légale et l'intégration. Une de ces mesures porte sur la mise en place d’un groupe de travail chargé de réunir les familles de migrants séparées par la politique de « tolérance zéro » à la frontière adoptée par l’administration Trump en 2018. Un deuxième décret porte sur les pays d’origine des migrants. Celui-ci vise à remettre en place les voies d’immigration légale à la source, comme celles ayant permis sous Barack Obama de faire venir des centaines de mineurs dont les parents étaient déjà aux États-Unis, sans qu’ils aient à emprunter des routes migratoires dangereuses. Donnant des gages à l'aile gauche du parti démocrate favorable à un virage à 180 degrés en matière d'immigration, Joe Biden annule deux mesures phares de son prédécesseur : la construction d’un mur à la frontière avec le Mexique et l'interdiction d’entrée sur le sol américain de ressortissants de pays en majorité musulmans[21].
En février, plus de 100 000 personnes en situation irrégulière sont arrêtées à la frontière et les structures d’accueil avec le Mexique sont débordées par l'accueil de mineurs non accompagnés. Confronté à cette situation, le 6 mars, le président américain demande aux migrants de rester chez eux, assurant que les migrants qui franchissent illégalement la frontière étaient renvoyés chez eux[22]. Le nouveau secrétaire à l'Intérieur Alejandro Mayorkas déclare alors que le nombre de migrants qui tentent de franchir la frontière des États-Unis avec le Mexique pourrait ainsi atteindre son plus haut niveau depuis vingt ans. Les élus républicains dénoncent dans la foulée le programme « laxiste » de Joe Biden, l'accusant d'avoir créé un appel d’air à la frontière du pays[23],[24].
En mai 2023, à l'approche de l'expiration d'une mesure sanitaire connue sous le nom de « Title 42 » prise sous Donald Trump permettant d'expulser sans délai les migrants franchissant les frontières terrestres des États-Unis, le gouvernement annonce vouloir déployer 1 500 soldats supplémentaires à la frontière sud. Il craint avec la fin de cette mesure un pic des arrivées. Le secrétaire à la Sécurité intérieure Alejandro Mayorkas précise alors que dès le 11 mai, un autre article, « Title 8 », sera appliqué. Celui-ci prévoit des refoulements accélérés, assortis d'une interdiction de nouvelle entrée sur le territoire pendant cinq ans et de possibles poursuites pénales[25].
Armée
L’administration Biden prévoit une hausse de 11 milliards de dollars des dépenses militaires pour l'année 2022, les portant au niveau sans précédent de 752,9 milliards de dollars. Cette hausse vise en particulier à poursuivre la « modernisation » de l’arsenal nucléaire initiée par Donald Trump destinée à l’élaboration d’armes dites de « plus faible puissance », qui rendraient leur usage plausible dans un conflit. Ce projet induit un surcroît de dépenses militaires sur les dix prochaines années[26].
Alors que l'administration Trump ne promouvait pas le port du masque, le président Joe Biden signe un décret le jour de son investiture qui impose le port du masque dans tous les bâtiments fédéraux pour lutter contre la pandémie[27]. Joe Biden annonce également le retour des États-Unis dans l'Organisation mondiale de la santé (OMS), dont le financement avait été suspendu par Donald Trump[28]. Il poursuit la politique vaccinale mise en place par l'administration Trump[29].
En janvier 2022, la Cour suprême des États-Unis bloque la décision de Joe Biden d'imposer le vaccin anti-Covid dans les entreprises de plus de 100 salariés, « infligeant un revers de taille » aux mesures prises par le gouvernement contre le virus. Elle valide cependant l'obligation de vaccination pour les employés des structures de santé qui bénéficient de fonds fédéraux[30].
Le , le président promulgue la loi sur la réduction de l'inflation, qui vise à réduire l'inflation en baissant les prix de différents produits tels que les médicaments.
Environnement
Les États-Unis rejoignent l'accord de Paris sur le climat dès le jour d'investiture de Joe Biden par un décret présidentiel. Dans le même temps, le nouveau président signe un décret qui suspend la participation américaine au projet d'oléoduc Keystone XL qui devait relier le Nebraska à la province canadienne d'Alberta[33]. Projet controversé, catégoriquement refusé par Barack Obama en 2015 mais relancé par Donald Trump en 2017, il était soutenu par le Premier ministre canadien Justin Trudeau, qui a témoigné sa déception face à ce retrait américain[34].
L'« Inflation Reduction Act », promulgué le 16 août 2022 par Joe Biden, prévoit 369 milliards $ de crédits sur dix ans pour réduire les émissions de gaz à effet de serre, avec l'objectif de les réduire de 50 à 52 % d'ici 2030 par rapport à 2005[35]. Des soutiens sont accordés aux futurs carburants « propres » ou à l'hydrogène vert, ainsi qu'au captage du carbone dans l'air[36]. L'Inflation Reduction Act est présenté par le périodique Le Grand Continent comme « l’action la plus importante jamais entreprise aux États-Unis en matière de lutte contre le changement climatique. »[35] La précédente loi comparable, l’American Recovery and Reinvestment Act de 2009, prévoyait 80 milliards de dollars d'investissements dans les technologies vertes et les énergies renouvelables[35]. Sur les 369 milliards de dollars, 214 financeront l'électricité, 69 l'industrie, 48 la construction, 33 le transport, 26 l'adaptation au changement climatique et à la résilience[35]. L'objectif global est de favoriser la transition énergétique aux États-Unis et de mettre en œuvre une réelle politique industrielle verte[35].
Scrutins durant la présidence et élections de mi-mandat
En novembre 2021, la défaite du candidat démocrate Terry McAuliffe contre son rival républicain Glenn Youngkin au poste de gouverneur de Virginie est interprétée comme une indication négative pour Joe Biden alors que le président américain s'était personnement engagé dans la bataille et que s'approche la seconde moitié du mandat. En raison du retrait controversé d’Afghanistan, de l'inflation et des projets de lois de finances en attente au Congrès, la cote de popularité de Joe Biden s’est effondrée de 10 points dans les sondages entre mi-juillet 2021, à 43 % de satisfaits contre 51 % de mécontents en novembre[37]. La perte de l'État de Virginie, que les démocrates contrôlaient depuis presque dix ans, suscite des inquiétudes dans les rangs démocrates, les élections de mi-mandat pouvant faire basculer leur très faible majorité au Sénat, ce qui aurait pour résultat de bloquer les réformes envisagées[38].
Politique étrangère
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De façon générale, Joe Biden base la politique internationale de son administration sur une orientation davantage multilatérale que celle de son prédécesseur Donald Trump[39].
La conduite de l’évacuation des troupes américaines à partir de mi-août 2021 et la prise de pouvoir par les talibans suscitent de nombreuses critiques qui dépassent les rangs des républicains. Estimant que les États-Unis sont depuis « trop longtemps en guerre » en Afghanistan, Joe Biden a défendu cette décision allant jusqu’à présenter le retrait comme un « succès »[40]. Il est néanmoins contredit par les principaux responsables militaires américains qui ont reconnu devant le Congrès que l'évacuation des troupes dans le pays a été un « échec stratégique »[41]. Le départ américain est décrit par la presse comme « précipité et totalement chaotique », la chute de Kaboul est comparée à celle de Saïgon lors du Vietnam, renvoyant « l’image d’une puissance hésitante, mal-organisée »[42], comme « désordonné »[38] ou encore comme « un fiasco » alors que le président américain avait promis une retraite ordonnée[43].
Dès le premier jour de son investiture, Joe Biden bloque le projet d'oléoduc nommé Keystone XL en révoquant le permis de construction. Cette décision déçoit le Premier ministreJustin Trudeau[44].
Sa politique vis-à-vis de la Chine s'inscrit dans la continuité de celle de Donald Trump, qui avait lancé contre elle une guerre économique. Le président démocrate ajoute en juin 2021 une trentaine d'entreprises chinoises à la liste noire des entreprises interdites d’investissements américains[45].
Washington a apporté son soutien au gouvernement colombien lors des manifestations de 2021, dont la répression a fait plusieurs dizaines de morts. Dans un communiqué, l'administration Biden a cependant affirmé « le droit incontestable de manifester pacifiquement» et indiqué soutenir « les efforts du gouvernement colombien pour faire face à la situation actuelle par le dialogue politique »[46],[47],[48].
Dès le premier jour de son investiture, Joe Biden signe un décret en faveur de la suspension de la construction du mur de Trump. Le Mexique est satisfait de cette mesure[49]. Cependant, dès mars 2021, il exhorte le Mexique à faire plus pour arrêter le flux de migration vers le nord. Son administration demande au Mexique d'accueillir davantage de familles expulsées des États-Unis et de renforcer l'application de la loi à sa frontière avec le Guatemala[50].
Le gouvernement américain annonce en avril 2021 une série de nouvelles sanctions contre la Russie, accusant celle-ci d'interférences lors de l'élection présidentielle de 2020. Le département du Trésor interdit aux institutions financières américaines d'acheter directement des titres de dette émis par la Russie à partir du 14 juin 2021, sanctionne six sociétés technologiques russes et 32 personnes. Dix diplomates sont en outre expulsés. L'OTAN annonce son soutien à ces mesures et le gouvernement polonais expulse à son tour des diplomates russes[réf. souhaitée].
Le , Joe Biden rencontre son homologue russe Vladimir Poutine à l'occasion d'un sommet entre les deux pays organisé par la Suisse[51].
Ukraine
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Joe Biden choisit de poursuivre la politique des administrations de Barack Obama et de Donald Trump à l'égard du Venezuela. Washington renouvelle le décret déclarant le Venezuela « menace extraordinaire pour la sécurité » des États-Unis, maintient sa reconnaissance du chef de l'opposition Juan Guaidó comme président légitime du pays et prolonge les sanctions économiques et l'embargo sur le pétrole[53].
Liste des décrets exécutifs
2021
13985[54] : Décret sur l’équité raciale et le soutien aux communautés délaissées par l’administration fédérale ;
13986[55] : Décret garantissant un dénombrement rigoureux et licite du recensement décennal ;
13987[56] : Décret sur l’organisation et la mobilisation du gouvernement pour fournir une réponse unifiée et efficace à la lutte contre la COVID-19, pour assurer le leadership des États-Unis et matière de santé et de sécurité mondiale ;
13988[57] : Décret pour la prévention et la lutte contre la discrimination fondée sur l’identité de genre ou l’orientation sexuelle ;
13989[58] : Décret sur les engagements éthiques du personnel de l’exécutif ;
13990[59] : Décret relatif à la protection de la santé publique, de l’environnement et la restauration de la science pour faire face à la crise climatique ;
13991[60] : Décret sur la protection de la main-d’œuvre fédérale et le port du masque ;
13992[61] : Décret de révocation de plusieurs décrets relatifs à la réglementation fédérale ;
13993[62] : Décret sur la révision des politiques et priorités de mise en application de l’immigration ;
13994 : Décret sur l’assurance d’une réponse sanitaire basée sur les données de la COVID-19 et contre les futures menaces sur la santé publique;
13995 : Décret relatif à la garantie d’un traitement et d’un rétablissement équitables en temps de pandémie ;
13996 : Décret sur la création du Conseil de dépistage de la pandémie de la COVID-19 et assurant une main-d'œuvre de santé publique durable pour la COVID-19 et d'autres menaces biologiques ;
13997 : Décret relatif à l’amélioration et l’élargissement de l’accès aux soins et aux traitements pour la COVID-19 ;
13998 : Décret sur l’amélioration de la sécurité sanitaire liée à la COVID-19 dans les voyages nationaux et internationaux ;
13999 : Décret relatif à la protection de la santé et de la sécurité des travailleurs ;
14000 : Décret relatif au soutien à la réouverture et au fonctionnement ininterrompu des écoles et des structures de la petite enfance ;
14001 : Décret relatif à la mise en place d’une chaîne d’approvisionnement durable en matière de santé publique ;
14002 : Décret relatif à l’assistance économique en temps de pandémie de COVID-19 ;
14003 : Décret relatif à la protection de la main-d’œuvre fédérale ;
14004 : Décret autorisant tous les Américains qualifiés à servir leur pays en portant l’uniforme ;
14005 : Décret garantissant que l'avenir de l'Amérique sera fabriquée par tous les travailleurs américains ;
14006 : Décret relatif à la réforme du système carcéral pour éliminer le recours aux prisons privées ;
14007 : Décret sur la création du Conseil présidentiel pour la science et la technologie ;
14008 : Décret sur la lutte contre la crise climatique aux États-Unis et à l’étranger ;
14009 : Décret relatif à l’extension de la couverture santé ;
14010 : Décret sur la création d’un cadre régional complet pour s'attaquer aux causes de la migration, pour gérer la migration dans toute l'Amérique du Nord et centrale et pour assurer un traitement sûr et ordonné des demandeurs d'asile à la frontière des États-Unis ;
14011 : Décret sur la création d'une équipe spéciale interinstitutions sur la réunification des familles ;
14012 : Décret sur le rétablissement de la foi dans nos systèmes d'immigration légale et le renforcement des efforts d'intégration et d'inclusion pour les nouveaux Américains ;
14013 : Décret sur la reconstruction et l'amélioration des programmes de réinstallation des réfugiés et la planification de l'impact du changement climatique sur les migrations ;
14014 : Décret sur le blocage de la propriété par rapport à la situation en Birmanie ;
14015 : Décret portant création du Bureau de la Maison Blanche pour les partenariats confessionnels et de voisinage ;
14016 : Décret sur la révocation du décret 13801 ;
14017[63] : Décret relatif à l'évaluation des risques liés à la chaîne d'approvisionnement ;
14018[64] : Décret portant sur la révocation de certains actes présidentiels (décrets 13772, 13828, 13924, 13967, 13979) ;
↑(en) Nate Cohn, « One Year From Election, Trump Trails Biden but Leads Warren in Battlegrounds (Published 2019) », The New York Times, (lire en ligne, consulté le ).
↑Stéphanie Le Bars, « Covid-19 aux Etats-Unis : Joe Biden impose le port du masque dans les espaces fédéraux », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).