Après avoir été blessé en 1943, Oppeln-Bronikowski prend au mois d'octobre de la même année le commandement du 22e régiment blindé de la 21e Panzerdivision qui se trouve alors en France, en Normandie. Après le débarquement des Alliés, son régiment participe aux combats autour de la ville de Caen et parvient à se dégager de la poche de Falaise. Le , Oppeln-Bronikowski, alors colonel (Oberst), obtient les feuilles de chêne pour sa croix de chevalier de la croix de fer. En octobre de la même année il obtient le commandement de la 20e Panzerdivision et, le , il est nommé au grade de Generalmajor (général de brigade). Durant les derniers mois de la guerre, sa division participe aux combats défensifs en Hongrie et sur le front de l'Oder avec beaucoup de bravoure, ce qui lui vaut de se voir remettre la croix de chevalier de la croix de fer avec feuilles de chêne et glaives. Le il dissout les restes de sa division et après une brève captivité, il retrouve la liberté en 1947.
Après la guerre il participe, en tant que consultant civil, à la reconstitution de l'armée allemande (Bundeswehr) et il officie comme entraîneur au sein de l'équipe canadienne de dressage (équitation) lors des Jeux olympiques d'été de 1964 à Tokyo. Hermann von Oppeln-Bronikowski est décédé en 1966.