L’accent aigu sur la voyelle ‹ á é ə́ í ó ú › est utilisé pour indiquer le ton haut lorsqu’il y a ambigüité. Par exemple : pwiim, « l’épine », et pwíím, « la fleur »[3].
C. Dari Yargo, Morpho-syntaxe de l’énoncé du biali (mémoire de MA), Université nationale du Bénin, , 123 p.
(en) Bonnie Jean Henson et Barbara Tompkins, A sociolinguistic survey of the Biali language area, SIL, coll. « SIL Electronic Survey Reports » (no 2011-011), , 20 p. (lire en ligne)
Kurt P. LaPere et Gnarigo Nathalie, Comment lire et écrire le byali : guide pratique pour les scolarisés, SIL Bénin, (ISBN978-99919-387-9-0, lire en ligne)
Coffi Sambieni, « La reconstruction interne du Byali, Gur oriental, Bénin », Nordic Journal of African Studies, vol. 17, , p. 89-112