Capitale historique de la province du Bugey (Pagus Bellicensis), Belley change à plusieurs reprises de royaume au cours des premiers siècles du Moyen Âge. À la fin du Xe siècle, la ville fait partie des territoires du Saint-Empire romain germanique. À partir du XIe siècle, elle est surtout sous la dépendance des comtes de Savoie. Les évêques jouent aussi un rôle politique en tant que seigneurs de Belley.
Géographie
Situation
Les limites communales de Belley et celles de ses communes adjacentes.
Localisation
La commune de Belley se situe dans le Bugey, exactement dans le Bas-Bugey, en France, dans le département de l'Ain, en région Auvergne-Rhône-Alpes. La commune se situe au sein d'une vallée, la vallée du Rhône, bordée, entre autres, par le Grand Colombier.
Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap.
Carte topographique.
Hydrographie
Le Furans marque la limite avec Andert-et-Condon. Le pont de Bognens, à l'écart du pont de la RD 41 en usage, le franchit ; il est cité en 1290.
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 169 mm, avec 10,3 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 099,8 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Statistiques 1991-2020 et records BELLEY (01) - alt : 330m, lat : 45°46'09"N, lon : 5°41'16"E Records établis sur la période du 01-10-2001 au 04-01-2024
Tous les ménages belleysans ne possèdent pas une voiture. On sait que 19,8 % en sont dépourvus alors que 55 % en possèdent une et 25,2 % des ménages ont en leur possession deux voitures ou plus[7].
Pistes cyclables
La commune de Belley est traversée par une piste appelée la Via Rhôna. Il s’agit d’une piste cyclable dont le trajet permet de relier le Léman à la mer Méditerranée. Plus concrètement, la piste longe la plupart du temps le cours du Rhône. Un tel parcours permet également de bénéficier d’une faible déclivité, rendant ainsi la piste plus abordable encore pour le grand public[8].
Belley est traversée par la ligne SNCF de Pressins à Virieu-le-Grand depuis . Si le trafic voyageurs est suspendu en , le trafic marchandise continue jusqu'en grâce aux silos agricoles Ceregrain de Peyrieu. Bien qu'une grande campagne de travaux ait lieu jusqu'en et que le trafic ait repris trois ans durant, la ligne révèle malgré tout un état d'usure et de fatigue jugé dangereux par la SNCF et Réseau ferré de France. Faute d'accords financiers, elle est laissée en l'état et progressivement abandonnée[9],[10],[11].
Aujourd’hui, Belley est officiellement desservie par la gare de Virieu-le-Grand - Belley à laquelle elle est reliée par un service d’autobus, ainsi que par la gare de Culoz.
Transports aériens
La commune de Belley partage avec la commune de Peyrieu un aérodrome. Celui-ci fut baptisé Aérodrome de Belley-Peyrieu. Le code OACI de cet aérodrome est LFKY. Cette structure se situe à environ 224 mètres d’altitude et possède une seule piste à usage restreint.
Urbanisme
Typologie
Au , Belley est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[12].
Elle appartient à l'unité urbaine de Belley, une agglomération intra-départementale dont elle est ville-centre[13],[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Belley, dont elle est la commune-centre[Note 1],[14]. Cette aire, qui regroupe 31 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (61,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (41,2 %), forêts (16 %), terres arables (14,8 %), zones urbanisées (13,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (10,5 %), eaux continentales[Note 2] (1,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,2 %), zones humides intérieures (0,7 %)[17].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
D’une manière globale, il existe l’aire urbaine de Belley. Elle est une aire urbainefrançaise. D’après la définition qu’en donne l’INSEE, l’aire urbaine de Belley est composée de 24 communes, autour de Belley, dans l’Ain. Ses 15 163 habitants font d’elle la 307e aire urbaine de France. Elle ne contient que des pôles urbains : Belley et Brens. L’aire urbaine de Belley est rattachée à l’espace urbain de Rhône et Alpes.
Au niveau de la commune elle-même, Belley est composée d’un bourg principal et de plusieurs hameaux.
Logement
Le nombre total de logements dans la commune est de 3 715[18]. Parmi ces logements, 86,3 % sont des résidences principales, 4,7 % sont des résidences secondaires et 9 % sont des logements vacants. Ces logements sont pour une part de 41,3 % des maisons individuelles, 56,5 % sont des appartements et enfin seulement 2,2 % sont des logements d’un autre type. Le nombre d’habitants propriétaires de leur logement est de 39,5 %[18]. Ce qui est inférieur à la moyenne nationale qui se monte à près de 55,3 %. En conséquence, le nombre de locataires est de 53,2 % sur l'ensemble des logements sont qui inversement est supérieur à la moyenne nationale qui est de 39,8 %[18]. On peut noter également que 7,3 % des habitants de la commune sont des personnes logées gratuitement alors qu'au niveau de l'ensemble de la France le pourcentage n'est que de 4,9 %. Toujours sur l'ensemble des logements de la commune, 4,3 % sont des studios, 13,6 % sont des logements de deux pièces, 23,6 % en ont trois, 29,6 % des logements disposent de quatre pièces, et 28,9 % des logements ont cinq pièces ou plus[18].
Projets d'aménagements
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Toponymie
La première mention date du IIe siècle avec la formeVicani Bellicenses ou « du village de Bellicus »[19]. Les mentions suivantes se font sous les formes Ecclesia Belicensis ou Ecclesia Belicensis et Ecclesia Belesensis au VIe siècle, en 567; puis Ex civitate Belisio au siècle suivant[19]. Au XIIIe siècle, on trouve les formes Apud Bellicium et Beleis[19].
On la trouve mentionnée aussi sous les formes : Ex parte Bellicensis castri, Belica, Belisma, Belisama, Bellica, pagus Bellicensis, comitatus Bellicensis, Belicensis, Beliacensis, comes Belicensium, civitas Bellicensis, apud Bellicium, Bellayum.
Le toponyme proviendrait du nom d'un domaine gallo-romain dérivant du cognomenBellicus[19]. Durant la Révolution française, Belley prend temporairement les noms de Belley-Regénéré et de Ville-Afranchie[20].
Capitale historique de la province du Bugey (Pagus Belliceusis), Belley changea à plusieurs reprises de royaume au cours des premiers siècles du Moyen Âge.
La ville avait déjà quelque importance à l'époque gallo-romaine, ainsi que l'attestent les monnaies gauloises de la dernière période trouvées en 1867, les inscriptions qu'on y conserve et des ruines antiques déjà signalées plusieurs fois. Suivant M. l'abbé Greppo, ce n'était qu'un vicus, qui fut érigé plus tard en cité et en diocèse. Quelques historiens assurent, sur la foi de Christ. Urstitius, que le siège épiscopal y fut transféré de Nyon, vers 442. Ce fait n'est pas plus certain que l'époque à laquelle vivait Audax, qui en fut le premier évêque. Quoi qu'il en soit, il reste acquis que dès le milieu du VIe siècle le diocèse de Belley existait déjà, et que Vincent, son évêque, assista au concile réuni à Paris, en 555, par le roi Childebert.
À la fin du Xe siècle, la ville fait partie des territoires du Saint-Empire romain germanique. Aux IXe, Xe et XIe siècles, Belley était le chef-lieu d'un pagus et d'un comté qui s'étendaient, comme le diocèse, sur les deux rives du Rhône. On ne connaît, d'une manière positive, qu'un seul de ses anciens comtes, Amédée, vivant vers 1040, et qui se qualifie lui-même de cornes Bellicensium. Il fut très probablement le père de l'évêque Aymon. Les comtes de Savoie succédèrent très probablement aussi à ceux de Belley, vers le milieu du XIe siècle. Dès cette époque la seigneurie de la ville appartenait aux évêques, qui prirent dans la suite le titre de Princes du Saint-Empire. Leurs droits féodaux et leurs prérogatives furent étendus, en 1175, par l'empereur Frédéric Barberousse et confirmés, à la réserve seulement des droits de régale et de battre monnaie, par les rois François Ier, Henri II, Henri IV et Louis XIII. Anthelme de Chignin, évêque de Belley entre 1163 et 1178, choisi après sa mort comme saint patron de la ville, reconnu prince du Saint Empire romain par Frédéric Barberousse, s'oppose au comte Humbert III de Savoie.
Les comtes de Savoie leur concédèrent en outre, en divers temps, notamment en 1360, toute la justice sur les villages qui environnaient immédiatement la cité épiscopale. On ignore complètement quelles furent les dotations primitives de l'église cathédrale et de son chapitre. Une notice de l'an 1050 environ, mentionne, dans le diocèse de Lyon, l'église d'Huilieux (aujourd'hui Groslée), l'abbaye de Briord, la villa Romeriaci, l'église d’Izernore et ses dépendances, etc. Suivant la bulle d'Innocent II, elles consistaient dans les trois obédiences de Belley, de Valromey et de la Motte, et dans les revenus de quelques églises des diocèses de Grenoble, de Vienne, de Besançon, de Genève et de Lyon.
Parmi les plus anciens bienfaiteurs de l'église Saint-Jean-Baptiste, on connaît Amédée, comte de Belley, qui donna un mas appelé mansus Cavanerii ; l'évêque Aymon, qui céda les terres qu'avait détenues son père ; le sous-diacre Geraud, qui se donna lui-même, en 1068, avec tout ce qu'il possédait dans le territoire de Saint-Champ ; le comte Amédée de Savoie, qui remit, vers 1095, des droits sur le village de la Motte, et enfin, Guy de Rochefort, qui concéda, en 1159, des droits étendus à Virieu-le-Grand.
Il existe de cette époque reculée, un inventaire des ornements et de la bibliothèque de la cathédrale : « Breve de ornamento S. Johannis : Pallias XI, cappas XIII, dalmatica VI, textos III, duos candelabros argenteos, incensarios duos, corporales III, tunicas VI, fasterculos VI, stolas VIII, manipulos V, albas V, amictos V, precinctos duos, succintas duas, capsulas sex, confanones XIII, cruces de argenteo IVor, missales V, antiphonarios III, storias duas Aimoni I, Moralia Job I, Regulas duas, Imnarium, I, Omeliarum I, Dialogorum I, Legem I, unum Sermonem, Passioniarium Passioniarium Breviarium I, Epistolarium I, capsas argenteas III, de enodio VI, de ferro I, de ligno IX, altaria de argento V, urceolum I, conca I, vasculum stagneum I, crucifixum I, pectinos de evodio duos ».
Par suite de la réforme de 1578, ils furent réduits à 19, présidés par un doyen. Les méreaux du chapitre représentent d'un côté, soit saint Jean-Baptiste, soit l'agneau accompagné de la légende : S. IOANNES BAPTISTA, et de l'autre, une main de bénédiction entourée de ces mots : ECCLESIA BELICENSIS.
L'église cathédrale était sous le vocable de saint Jean-Baptiste. L'évêque Ansemond en consacra le grand autel et huit petits autels voisins, le . Reconstruite à la fin du XIIe siècle, fort endommagée pendant la tourmente Révolutionnaire, elle fut presque complétement démolie sous le règne de Louis-Philippe pour faire place à la cathédrale moderne.
Annexée une première fois entre 1536 et 1559, Belley est définitivement rattachée à la France sous le règne du roi Henri IV, par le traité de Lyon signé le . Désormais, elle dépend de l'intendance de Bourgogne et devient le siège d'un bailliage royal.
L'église paroissiale, sous le vocable de saint Laurent, avait été édifiée aux frais des habitants dans la première moitié du XVIIe siècle. Du temps de Guichenon « on disait » qu'il y avait eu jadis deux autres églises, l'une dédiée à saint Vincent, l'autre à sainte Catherine. On comptait à Belley, avant 1791, cinq monastères :
celui des religieuses de Bons, qui y furent transférées par ordre du cardinal de Richelieu.
Quant à l’hôpital, sa plus ancienne mention est dans le testament de Louis de Savoie, baron de Vaud, qui lui légua dix gros sous tournois en 1340.
Le , la ville fut presque entièrement détruite par un incendie, dont l'inscription suivante a perpétué le souvenir : « L'an MCCCLXXXV, et le XXV du Mey d'Ou Tanto apre la san Bartholomeou Dorman pidia, veillan enequita, De Belley fu arsa la cita ».
Après la reconstruction de la ville, Amédée VII, premier duc de Savoie, la fit entourer de murailles et de tours dont il subsiste encore quelques ruines.
Avant la Révolution, Belley était le siège d'une élection et d'un bailliage, avec lieutenant civil et criminel, avocat et procureur du roi. Les justices particulières du Bugey, à l'exception de celles du marquisat de Saint-Rambert et de Saint-Sorlin et de celui de Valromey, y ressortissaient en cas d'appel.
La Révolution française bouleverse la ville, les biens de l'Église sont confisqués et les clochers de la cathédrale sont démolis. Le tribunal civil remplace la bailliage. Belley devient chef-lieu de district en 1790 puis sous-préfecture en 1800, et en 1823, elle redevient siège épiscopal.
En 1874, la ville prend un nouveau visage avec l'installation d'une garnison, le 133e régiment d'infanterie de ligne. La fonction militaire reste importante jusqu'en 1948, année après laquelle subsiste quand même un escadron de gendarmerie mobile.
L'industrie, quant à elle, ne devient vraiment marquante qu'au cours de la seconde moitié du XXe siècle. « Le Tanneur » (travail du cuir), « Pingon » (constructions de grues) et « Cefilac », employaient des centaines de personnes pendant les années 1960. Après la crise des années 1970, qui connût la fermeture ou la diminution considérable des emplois dans ces entreprises, un tissu industriel plus diversifié s'est peu à peu mis en place. Par ailleurs, durant le cinquante dernières années du XXe siècle, la ville a beaucoup développé ses infrastructures scolaires et hospitalières dans lesquelles travaillent de nombreux Belleysans.
Le budget primitif 2007 de la ville de Belley prévoit un investissement de 6 523 200 € et pour le fonctionnement 10 091 200 €. S'agissant du budget annexe, portant notamment sur la gestion des eaux et de l'assainissement, l'investissement est estimé à environ 2 235 700 € et le fonctionnement à 1 140 100 €. Le budget annexe, portant en partie sur l'espace animation, l'investissement sera de 291 000 € et le fonctionnement de 1 113 000 €[21].
Depuis 1977, avec la victoire de Charles Millon aux municipales, sous étiquette de l'UDF, la commune est jusqu'en 2008 considérée comme une commune très droitière, à tendance catholique et conservatrice. En 1998, alors que Charles Millon est en campagne pour la présidence de la Région Rhône-Alpes, il est le premier homme politique français à conclure un pacte avec les élus du Front National et est élu grâce aux 35 voix frontistes[22]. En mars 2001, Belley connaîtra un nouveau maire, Jean-Claude Travers. Celui-ci est élu en tant que candidat membre de l'UMP. La commune reste à droite même si elle se recentre alors un peu, politiquement.
En 2008, Belley vote aux élections municipales pour la liste divers gauche menée par Jean-Marc Fognini, ce qui a constitué la première alternance politique dans la « capitale du Bugey » depuis la Libération. La liste sortante est néanmoins battue de quelques dizaines de voix à peine aux élections municipales de 2014 par celle de Christian Jimenez (divers droite avec une ouverture à des figures locales associées à l'extrême droite), avec une participation au scrutin légèrement supérieure à la moyenne nationale. Le nouveau maire décèdera l'année suivante, en 2015. C'est alors son adjoint, Pierre Berthet, élu depuis de nombreuses années, plutôt de centre droit[23], qui prendra sa succession jusqu'aux élections suivantes de 2020[24].
En 2020, le second tour des élections municipales, opposera Dimitri Lahuerta (1er adjoint du maire sortant, ayant présenté une liste contre lui, provoquant de vives tensions au sein de la majorité municipale en place[25]) et Jean-Marc Fognini, ancien maire de 2008 à 2014. Dimitri Lahuerta (LR) remportera le scrutin face à l'alliance formée au second tour par l'équipe Réunir pour Belley de Jean-Marc Fognini et celle de Belley Alternative, menée par son ancien premier adjoint, Philippe Rodriguez. La liste "citoyenne, écologiste et solidaire" du binôme de centre gauche[26] est alors battu par la liste "Agir pour Belley et Bugey Sud" menée par le LR, Dimitri Lahuerta. A noter que durant cette élection particulière sur fond de crise sanitaire et de confinement, le second tour s'est tenu plus de 3 mois après le premier[27], créant les conditions d'un scrutin partiellement influencé par les craintes sanitaires et sécuritaires.
Il est utile de noter qu'un maire de gauche avait précédemment gouverné la ville à la Libération. Il s'agit de Jean Albertini, résistant, nommé maire par le gouvernement provisoire de la République française présidé par Charles de Gaulle. Etonnamment, son nom ne figurait pas sur le tableau des maires présent dans la salle du Conseil Municipal, jusqu'en 2008. Cet oubli a été réparé par la majorité municipale de l'équipe Fognini en 2008. En 2015, la majorité de droite renommera également la rue portant le nom de Jean Albertini en rue Pablo Picasso, en avançant des raisons administratives[28].
Administration municipale
Le conseil municipal de la commune est composé de 29 conseillers municipaux. L'exécutif est constitué du maire, Christian Jimenez (décédé en 2015), et de huit adjoints ayant chacun une charge définie[29]. Le 1er adjoint est chargé de l'administration générale, sécurité, gestion du personnel municipal. On trouve ensuite un adjoint chargé du développement durable, finances, programmation, un autre de la vie économique, commerce, artisanat, industrie, services, tourisme. Il y a un adjoint chargé de l'urbanisme, travaux, transports, un chargée du social, handicap, logement, vie des quartiers, également adjoint chargé des affaires scolaires, jeunesse. Il y a aussi un chargé des sports, loisirs, et enfin un adjoint chargé de la culture, animation, patrimoine et communication[30]. La municipalité a également mis en place le Conseil municipal Jeunes. Celui-ci est composé de douze lycéens issus de plusieurs lycées que sont le lycée Lamartine et le lycée du Bugey[31].
Partie à modifier à la suite des élections municipales 2014.
Avocat Conseiller général du canton de Belley (1985-1988) Ministre de la Défense (1995-1997) Président du conseil régional (1995-1999) Député (1978-1995, 1997-2001)
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Jumelages
La ville de Belley n'a pour l'instant pas de projet de jumelage. Cependant, un panneau artisanal installé à une des entrées de la ville semble indiquer le contraire depuis l'été 2024. Ce panneau indique "Belley [drapeau français] jumelé avec Belley [drapeau québécois]". Il existe en effet un hameau appelée Belley au Québec, dans la ville de Saint-Urbain, mais les deux villes ne sont pas encore jumelées.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[36].
En 2022, la commune comptait 9 270 habitants[Note 3], en évolution de +1,5 % par rapport à 2016 (Ain : +5,15 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
Belley possède de nombreux établissements éducatifs que sont :
l'ensemble scolaire Lamartine ;
le lycée du Bugey ;
le lycée professionnel du Bugey ;
l'école Saint-Anne (maternelle et primaire) ;
l'école Jean-Ferrat (primaire) ;
l'école des Charmilles (primaire) ;
l'école de la Rodette (maternelle) ;
l'école des Cordeliers (maternelle) ;
l'Institut-médico-éducatif l'Armaillou (ADAPEI DE L'AIN) ;
le Service d'Éducation Spécialisée et de Soins à Domicile l'Interlude (ADAPEI DE L'AIN) ;
le collège Sabine-Zlatin.
L'école Jean-Ferrat.
Lycée Lamartine.
Collège Sabine-Zlatin.
Manifestations culturelles et festivités
Entretiens de Belley : Journée organisée en hommage à Anthelme Brillat-Savarin et qui met à l'honneur les produits du terroir, le goût et la gastronomie avec chaque année un thème différent. Organisés chaque 2e vendredi d'octobre, ces entretiens connaissent un vif succès
Fête du sport : journée consacrée au sport et aux diverses associations sportives. Organisée le premier ou le deuxième samedi de septembre.
Santé
Au sein du bourg principal de la commune, les habitants peuvent bénéficier de soins au centre hospitalier Docteur-Récamier. Ce centre dispose d'une unité centrale d'accueil des urgences et d'un SMUR. La capacité d'accueil de l'établissement est de 414 lits et places. L'activité médicale est composée en six grands pôles de soins que sont[39] :
le pôle chirurgie–anesthésie–bloc opératoire ;
le pôle médecine ;
le pôle urgences / SMUR / unité de surveillance continue ;
le pôle mère-enfant ;
le pôle SSR/ EHPAD/ hôpital de jour gériatrique ;
le pôle médico technique.
Sports
La commune fut l'une des villes étapes de la 3e étape du Tour de l'Ain 2007, le 14 août. Il s'agit d'une épreuve cycliste parcourant le département de l'Ain. L'année suivante, lors du Tour de l'Ain 2008, Belley eut l'honneur d'être la ville d'arrivée.
Rugby à XV
Le Bugey olympic club (BOC) engagé en série régionale du comité du Lyonnais et son stade Charles-Diano.
Football
Le Club Sportif Belleysan (CSB) et son stade Paul-Chastel.
En matière de radiophonie, les habitants de Belley peuvent, entre autres, écouter comme radios locales Radio Isa sur la bande 96.4 FM ainsi que Hot Radio sur 98.1 FM ou RCF Pays de l'Ain sur 92.8 FM ou encore ODS RADIO sur 88.2 ou la web radio Radio BS.
Côté presse écrite, le quotidien Le Progrès consacre une a deux pages par jour à l'actualité de Belley et de son bassin. L'édition locale Bugey de l'hebdomadaire Voix de l'Ain, qui paraît le vendredi, traite de l'actualité du secteur. Deux à quatre pages sont consacrées chaque semaine à la ville de Belley.
Économie
Revenus de la population et fiscalité
En 2004, le revenu moyen par ménage belleysan est d'environ 15 107 €/an contre 15 027 €/an au niveau de la moyenne nationale[40].
Emploi
La population active totale de Belley s'élève à 3 509 personnes[41]. Le taux d'activité entre 20 et 59 ans est de 84 %, ce qui place la commune dans la moyenne nationale qui est de 82,2 %. On dénombre 412 chômeurs, ce qui en 1999 donna un taux de chômage de 11,7 %. Cependant en 2005, ce même taux diminue, de façon notable, pour atteindre les 7,8 %. En tout et pour tout, la population comprend 43,9 % d'actifs, 20,7 % de retraités, 22,9 % de jeunes scolarisées et 12,5 % de personnes sans activités[41].
En 2004, le nombre total de création d’entreprises à Belley est de 52.
Cette ville est célèbre pour son fromage : la tome de Belley, appelée également Chevret.
La première entreprise privée de la commune en termes d’emplois est « Volvo Construction Equipment », développement d'engins de chantier (tracto-pelle et mini-pelles) et une unité de production de mini-pelles du groupe suédois Volvo.
La distillerie « Kario » organise des visites commentées de ses caves avec leurs vieux foudres en bois de chêne dans lesquels vieillissent liqueurs et marcs, et de la salle des alambics.
La cuisine locale des Belleysans est fortement rattachée aux produits locaux. Belley, et plus généralement le Bugey, compte de nombreuses exploitations viticoles. Enfin, Belley est la cité de Jean Anthelme Brillat-Savarin, homme politique et grand gastronome français.
Patrimoine culturel
Bibliothèque municipale installée dans le palais épiscopal, côté jardin Jean-Pierre-Camus.
Fonds documentaires municipaux, installé dans l'ex-chapelle des Maristes[54].
Le cinéma l’Arlequin
L'Intégral ! (salle de spectacles)
Le Réservoir nommé également espace Robert-Rameaux (salle de spectacles)
Entrée de la bibliothèque, côté jardin Jean-Pierre-Camus (palais épiscopal).
Antide Rubat (1751-1803), homme politique, député de l'Ain de 1791 à 1792.
Claude d'Allemagne alias Dallemagne (1754-1813) - Général de division, baron de l'Empire, il fut également vice-président du Corps Législatif, commandeur de l'ordre impérial de la Légion d’honneur, commandeur de l’ordre de la Couronne de Fer, chevalier de Saint Louis. Son arrière-petit-fils, le baron André Dallemagne, sera maire de Belley de 1925 à 1943.
Joseph Bouvier des Éclaz (1757-1830), général de brigade, baron de l'Empire, commandeur de l'ordre impérial de la Légion d'honneur, chevalier de l'ordre de la Couronne de Fer, chevalier de Saint Louis.
Anthelme Ferrand (1758-1834), député de l'Ain à la Convention nationale et au Conseil des Cinq-Cents.
Benoît Prosper Sibuet (1773-1813), général de brigade du 1er Empire, tué à Loewenberg dans le torrent de la Bober par des balles russes. Son nom apparaît sur la 30e colonne de l'Arc de triomphe de l'Étoile à Paris.
Gabriel Taborin (1799-1864), religieux français, fondateur des frères de la Sainte Famille de Belley, congrégation laïque enseignante, est mort à Belley.
Jules Charlet (1823-1852), ouvrier ébéniste, républicain, guillotiné à Belley.
Francisque Rive (1837-1898), homme politique, représentant de l'Ain de 1871 à 1876.
Louis Grégori (1842-1910), journaliste nationaliste, militariste et antisémite français né à Belley, connu pour avoir tiré sur Alfred Dreyfus lors des funérailles d’Émile Zola.
Joseph Tournier (1854-1958), chanoine français, précurseur de l'archéologie, de l'étude de la préhistoire et de la géologie du département de l'Ain, fondateur de la première association française de parents d'élèves, est mort à Belley.
Gertrude Stein (1874-1946), poétesse, écrivain, dramaturge et féministe américaine, vécut dans le hameau de Billignin pendant la Seconde Guerre mondiale.
Alice B. Toklas (1877-1967), femme de lettres américaine, y vécut en sa compagnie à la même époque.
Pierre Dominjon (1910-2003), parlementaires à l'Assemblée nationale constituante française d'octobre 1945 (élu MRP de l'Ain) et député de l'Ain sous la Quatrième République, est mort à Belley.
Jacques Guillermaz (1911-1998), militaire, diplomate et sinologue français, historien du parti communiste chinois, est mort à Belley.
Louis Trenard (1914-1994), historien, est mort à Belley.
On sait très peu de chose sur les armes de la commune. L'écu a pour couronnement une muraille à trois tours et pour soutien des rameaux de chêne liés en sautoir à la pointe de l'écu[57].
Depuis 1985, la ville utilise aussi un logo, notamment présent sur les publicités de ses partenaires économiques, tels que l'Office du tourisme. De 1985 à 2008, ce logo représentait deux coups de pinceaux verts et bleus qui sont un rappel évocateur de la nature environnante[58]. En 2008, la municipalité adopte un nouveau logo, plus moderne, arborant toujours les mêmes couleurs et rappelant la particularité du territoire, entre Rhône et montagnes. Ce logo sera supprimé par la nouvelle majorité en 2021, lui préférant un logo plus neutre créé par une agence de communication[59].
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑ abc et dHenry Suter, « Massongex », sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009) (consulté le ).
Collectif, Richesses touristiques et archéologiques de la ville de Belley, éd. Département de l’Ain, 2007, (ISBN2-90765-638-4)
Collectif, Histoire des diocèses de France : Belley, éd. Beauchesne, Coll. Histoire des diocèses France, 1997, (ISBN2-70100-173-0)
Collectif, Aménagement de la chute de Belley, éd. Compagnie nationale du Rhône, 1980, (ASIN B000XIKK3G)
Sigal Jacques, Contribution à l’étude du faisceau occidental du Jura bugeysan feuille de belley au 50. 000e, éd. Librairie polytechnique Ch.Béranger, Paris, 1962 (ASIN B0000DPYLY)
Abbé Charles Dementhon (chanoine titulaire de Belley), La Cathédrale de Belley, Paris-Lyon, éd. Beauchesne et Lardanchet, , 438 p. (ASINB0000DQOEV)
Oppidum de Moulay Localisation Pays France Commune Moulay Département Mayenne Protection Inscrit MH (1986) Coordonnées 48° 16′ 19″ nord, 0° 37′ 37″ ouest Géolocalisation sur la carte : France Oppidum de MoulayOppidum de Moulay modifier L'oppidum de Moulay ou oppidum du Mesnil[1] est un oppidum situé sur la commune de Moulay, département de la Mayenne, région Pays de la Loire. Des fouilles ont eu lieu sur le site entre 1972 et 197...
Jan Jacob Rochussen Jan Jacob Rochussen (23 Oktober 1797 – 21 Januari 1871) adalah Gubernur-Jenderal Hindia Belanda yang ke 49. Ia memerintah antara tahun 1845 – 1851. Di bawah pemerintahan Rochussen, pemerintah Hindia Belanda mengirim ekspedisi ke Bali, Palembang, Bangka, Sulawesi Selatan dan lain-lain. Rochussen menjabat sebagai Perdana Menteri Belanda antara 1858-1860. Pada 28 September 1849 Gubernur Jenderal J.J. Rochussen datang ke Pengaron, wilayah Kesultanan Banjar un...
Questa voce o sezione sull'argomento storia della Germania non cita le fonti necessarie o quelle presenti sono insufficienti. Puoi migliorare questa voce aggiungendo citazioni da fonti attendibili secondo le linee guida sull'uso delle fonti. Il memoriale dell'Olocausto a Berlino La Vergangenheitsbewältigung (AFI: [fɛɐ̯ˈɡaŋənhaɪtsbəˌvɛltɪɡʊŋ]), dal tedesco Vergangenheit (passato) e Bewältigung (superamento), traducibile perciò come superamento del passato, è un concett...
Cet article est une ébauche concernant la Tunisie et l’histoire. Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants. Émeutes du pain Manifestants réunis sur l'avenue Habib-Bourguiba en janvier 1984. Informations Date 27 décembre 1983-6 janvier 198410 jours Caractéristiques Revendications Annulation de l'augmentation des prix du pain et des produits céréaliers Bilan humain Morts 70-143 Arrestations ~1...
Посольство Польши на Украинеукр. Посольство Польщі в Україніпольск. Ambasada Rzeczypospolitej Polskiej na Ukrainie Польша Украина Адрес Киев, ул. Ярославов Вал, 12 Посол Бартош Цихоцький Сайт kijow.msz.gov.pl/pl/ Медиафайлы на Викискладе Посольство Республики Польша в Киеве (польск. Ambasada Rzeczypospolitej Pol...
Questa voce sugli argomenti università di Israele e Tel Aviv è solo un abbozzo. Contribuisci a migliorarla secondo le convenzioni di Wikipedia. Università di Tel Aviv UbicazioneStato Israele CittàTel Aviv Dati generaliFondazione1956 Tipopubblica RettoreMark Shtaif Studenti29 000 AffiliazioniUnimed Mappa di localizzazione Sito web Modifica dati su Wikidata · Manuale L'Università di Tel Aviv (in ebraico אוניברסיטת תל־אביב?; in inglese: Tel...
2013 American TV series or program Killing KennedyPromotional posterGenreDocudramaBased onKilling Kennedyby Bill O'ReillyMartin DugardWritten byKelly MastersonDirected byNelson McCormickStarring Rob Lowe Will Rothhaar Ginnifer Goodwin Michelle Trachtenberg Music byGeoff ZanelliCountry of originUnited StatesOriginal languageEnglishProductionExecutive producers Ridley Scott David W. Zucker Mary Lisio Bill O'Reilly Teri Weinberg Howard Owens Noel Siegel Charlie Parsons Richard J. Wells ProducerL...
Rowing at the Olympics Men's coxed pairat the Games of the II OlympiadA coxed pair race in 1900VenueSeineDatesAugust 25–26Competitors22 from 3 nationsWinning time7:34.2Medalists Minerva Amsterdam Mixed team Société nautique de la Marne France Rowing Club Castillon France1920 → Rowing at the1900 Summer OlympicsSingle scullsmenCoxed pairmenCoxed fourmenEightmenvte The men's coxed pair was one of the competitions in the Rowing at the 1900 Summer Olympics e...
Open parkland in Harrogate, North Yorkshire, England The Stray, which contains large open areas with tree-lined paths The Stray is a long area of public parkland in the centre of Harrogate, North Yorkshire, England, comprising 200 acres (81 ha) of contiguous open land linking the spa town's curative springs and wells. The contiguous area of land, not all of which is officially designated part of The Stray, forms an approximately U-shaped belt from the Cenotaph on the north west point of ...
Cerium(III) chloride Names IUPAC names Cerium(III) chlorideCerium trichloride Other names Cerous chloride Identifiers CAS Number 7790-86-5 Y18618-55-8 (heptahydrate) Y 3D model (JSmol) Interactive image ChEBI CHEBI:35458 Y ChemSpider 23038 Y ECHA InfoCard 100.029.298 EC Number 232-227-8 Gmelin Reference 1828 PubChem CID 24636 UNII TH8E3IE00V Y188BE3J495 (heptahydrate) Y CompTox Dashboard (EPA) DTXSID1037199 InChI InChI=1S/Ce.3ClH/h;3*1H/q+3;;;/p-3 ...
Borough in Pennsylvania, United StatesBorough of SchwenksvilleBoroughMain Street in Schwenksville in November 2012Location of Schwenksville in Montgomery County, PennsylvaniaSchwenksvilleLocation of Schwenksville in PennsylvaniaShow map of PennsylvaniaSchwenksvilleSchwenksville (the United States)Show map of the United StatesCoordinates: 40°15′23″N 75°27′54″W / 40.25639°N 75.46500°W / 40.25639; -75.46500CountryUnited StatesStatePennsylvaniaCountyMontgomeryG...
British radio network Not to be confused with iHeartRadio. HeartCountryUnited KingdomBroadcast areaUnited KingdomHeadquartersLeicester Square, LondonBrandingThis Is HeartProgrammingLanguage(s)EnglishFormatHot adult contemporaryOwnershipOwnerGlobalCoverageStationsSee listLinksWebsitewww.heart.co.uk Heart is a network of thirteen independent adult contemporary radio stations in the United Kingdom, broadcasting a mix of local and networked programming. Ten of the stations are owned and operated ...
Ferdinand Gregorovius Ferdinand Gregorovius (Neidenburg, 19 gennaio 1821 – Monaco di Baviera, 1º maggio 1891) è stato uno storico e medievista tedesco famoso per i suoi studi sulla Roma medievale. È anche molto noto per i suoi Wanderjahre in Italien (Pellegrinaggi in Italia), i resoconti dei suoi viaggi in Italia pubblicati tra il 1856 e il 1877, in cinque volumi, in cui descrive località, curiosità e personaggi d'Italia. Indice 1 Biografia 1.1 L'educazione 1.2 L'Italia 1.3 Il ritorno ...
Burgh in South Ayrshire, Scotland This article is about the town in Scotland. For the surname, see Girvan (surname). Burgh in ScotlandGirvanScottish Gaelic: Inbhir GharbhainBurghGirvan Steeple, South Ayrshire.GirvanLocation within South AyrshirePopulation6,330 (2022)[1]DemonymGirvaniteOS grid referenceNX185975• Edinburgh81 mi (130 km)• London323 mi (520 km)Council areaSouth AyrshireLieutenancy areaAyrshire and ArranCountryScot...
Cet article est une ébauche concernant une maison d'édition. Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?). Les entreprises étant un sujet propice aux controverses, n’oubliez pas d’indiquer dans l’article les éléments qui le rendent admissible. University of Chicago Press logo University of Chicago Press (presses de l'université de Chicago) est une maison d'édition universitaire américaine. Histoire Fondée en 1891, elle est gérée par l'universit�...
1968 Élections législatives de 1967 dans l'Essonne 4 sièges de députés à l'Assemblée nationale 5 et 12 mars 1967 Corps électoral et résultats Inscrits 327 399 Votants au 1er tour 275 665 84,2 % Votes exprimés au 1er tour 270 476 Votants au 2d tour 271 606 82,98 % Votes exprimés au 2d tour 259 710 Union des républicains de progrès Liste Union des démocrates pour la Ve RépubliqueRépublicains indépendantsModérés Voix au 1er...
South African actress and model This biography of a living person relies too much on references to primary sources. Please help by adding secondary or tertiary sources. Contentious material about living persons that is unsourced or poorly sourced must be removed immediately, especially if potentially libelous or harmful.Find sources: Ilene Hamann – news · newspapers · books · scholar · JSTOR (June 2018) (Learn how and when to remove this message) Ilene...