L'Église en Arménie est sous la juridiction de deux circonscriptions ecclésiastiques qui ne sont pas soumises à une juridiction nationale au sein d'une église nationale mais sont soumises à la juridiction universelle du pape, évêque de Rome, au sein de l'« Église universelle[1] ».
Cependant, elle favorise l’Église apostolique arménienne, qui a le droit d'assigner des représentants dans les hôpitaux, pensionnats, ou prisons, alors que les autres groupes religieux doivent en faire la demande : « La République d'Arménie reconnaît la mission exceptionnelle de la Sainte Église apostolique arménienne en tant qu'Église nationale, dans la vie spirituelle, le développement de la culture nationale et la préservation de l'identité nationale du peuple d'Arménie. »[5].
L'article 26 de la constitution prévoit que « Chacun a droit à la liberté de religion. Ce droit inclut la liberté de changer de religion et la liberté de manifester sa religion, individuellement ou collectivement, par la prédication, les cérémonies religieuses, et autres rites religieux. L'exercice de ce droit ne peut être restreint que par la loi dans l'intérêt de la sécurité publique, la santé, la morale ou la protection des droits ou libertés d'autrui », autorisant ainsi l'Église catholique.
Les catholiques transcaucasiens bénéficient de la création d’un évêché en janvier 2000. Il couvre le territoire de l’Arménie et de la Géorgie et a pour cathédrale Notre-Dame de l’Assomption de Tbilissi[8] (Géorgie) : MgrGiuseppe Pasotto en prend la tête.