Les inscriptions de Maktar, 24 janvier 1890, Philippe Berger, Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres Année 1890 34-1 pp. 35-42
^Les Inscriptions de Constantine au Musee de Louvre par Philippe Berger, Actes du onzième congrès international des Orientalistes. Paris, 1897. Section 4 Congrès international des orientalistes, 1897, p.273 onwards: "Telle qu'elle est, la collection des inscriptions de Constantine, qui ne comprend pas moins de 150 numéros, forme, après Carthage et Maktar, la série la plus complète des inscriptions phéniciennes d'Afrique."
^Bulletin archéologique du Comité des travaux historiques et scientifiques, 1901: p.324-327: "M. Gauckler a adressé à la Commission du Nord de l'Afrique les estampages de deux inscriptions néo-puniques trouvées à Maktar par M. de Monchicourt. Elles proviennent du cimetière punico-romain, voisin de la porte d Aïn-el-Bab. Ces inscriptions, écrites avec les mêmes caractères que les autres inscriptions de Maktar, étaient accompagnées chacune d'un bas-relief; celui qui surmontait le texte no 1 a disparu avec le sommet de la pierre, il ne reste plus que les pieds du mort; au-dessus du texte no 2, on voit le portrait de la défunte vêtue d'une longue tunique; elle est figurée debout, le bras gauche abaissé, le bras droit ramené sur la poitrine et tenant une grenade... Plus récemment encore, M. Gauckler a communique' à la Commission quatre nouvelles inscriptions de même provenance... Enfin M. Gauckler a également envoyé l'estampage d'un ex-voto à Tanit, trouvé dans le jardin de S. A. le prince Mohammed-Bey à Tunis (Dermech) et transporté par ses soins au Musée du Bardo. "
^Bulletin archéologique du Comité des travaux historiques et scientifiques, 1901: p.327: "M. le général Basset, de son côté, a fait parvenir à la Commission une série de 18 estampages de monuments ou d'inscriptions néo-puniques relevés par M. le lieutenant Rouget des brigades topographiques, à Henchir-Meded; un de ces monuments (no 10) porte des caractères qui me paraissent ne pas être puniques; trois (no 16-18) sont anépigraphes; les autres sont des inscriptions funéraires de basse époque. M. le lieutenant Rouget a fait ces estampages avec un soin extrême, qui en facilite beaucoup le déchiffrement. En dehors des particularités dans les formules ou dans l'orthographe que l'on trouvera relevées plus bas, il faut signaler l'intérêt des représentations figurées, qui par certains traits rappellent celles que l'on trouve sur les stèles de Maktar. La chose est d'autant plus naturelle que Mididi était éloignée de quelques milles à peine de Maktar et que j'ai moi-même retrouvé sur l'une des stèles de Maktar un personnage qui porte l'ethnique de Mediti, c'est-à-dire habitant de Mididi."