Installé le long du chemin Gosford vers 1850, Saint-Julien est le premier lieu d'établissement de colons canadiens-français et irlandais dans le canton[1].
Chronologie
: Érection du township de Wolfestown.
: Le township de Wolfestown devient la paroisse de Saint-Julien.
: Saint-Julien change son statut pour celui de municipalité.
Géographie
La municipalité est situé dans les monts Notre-Dame et plusieurs cours d'eau coulent sur son territoire dont la rivière Larochelle qui, à partir de son crénon, coule du sud-est vers le nord-est de la municipalité et la rivière Blanche, qui traverse le sud-ouest et coule vers le nord-est jusqu'à sa confluence avec la rivière au Pin qui coule vers le nord-ouest dans le sud de la municipalité.
Élection partielle en italique Depuis 2005, les élections sont simultanées dans toutes les municipalités québécoises
Patrimoine
L'église Saint-Julien a été érigée en 1912 selon les plans de l'architecte Louis-Napoléon Audet[5]. Auparavant, une chapelle avait été construite en 1859[1]. Elle avait été remplacée par une première église détruite par les flammes en 1904[1]. Un presbytère est situé près de l'église actuelle[6]. La dévotion catholique s'exprime aussi par un monument du Sacré-Cœur[7], une croix de chemin[8] et une chapelle érigée en 1918[9].