« 1er bataillon de marche du Tonkin » et « 1er régiment mixte indochinois du Levant » redirigent ici. Pour les autres significations, voir 1er bataillon et 1er régiment.
Le régiment d'infanterie coloniale du Levant est issu de deux bataillons d'infanterie coloniale formés en décembre 1919 à Rochefort et à Toulon. Ils débarquent le en Cilicie puis rejoignent la Syrie. Ayant subi de lourdes pertes, le régiment est dissous le [1].
Ces deux unités fusionnent le et forment le régiment mixte indochinois du Levant (RMIL, parfois 1er RMIL), qui compte un bataillon indochinois et un bataillon « blanc »[4].
↑Henri Eckert, « Entre sortie de guerre et retour en Europe : les contingents d’Indochine de 1918 à 1922: », Outre-Mers, vol. 2, nos 400-401, , p. 57–77 (ISSN1631-0438, DOI10.3917/om.182.0057, lire en ligne, consulté le )
↑Christophe Soulard, « Une brève histoire du Régiment mixte indochinois », La Grenade, Revue d’information de l'Association Nationale des Réservistes de l'Infanterie, no 159, , p. 16-18 (lire en ligne)
↑Maurice Bouilloux-Lafont, Rapport fait au nom de la commission des finances chargée d'examiner le projet de loi portant fixation du budget général de l'exerice 1925 (ministère de la guerre), Journal officiel de la République française, coll. « Annexes aux procès-verbaux des séances de la Chambre des députés », (lire en ligne), « Entretien de l'armée du Levant », p. 1587-1588
↑(en) Alexis Mehtidis, « Armée du Levant-French Army of the Levant 1920-1946-Notes on its organisation and orders-of-battle », [non publié], , p. 27 (lire en ligne, consulté le )
↑Ousseynou Faye, Les tirailleurs sénégalais entre le Rhin et la Méditerranée, 1908-1939: parcours d'une aristocratie de la baïonnette, Éditions L'Harmattan, coll. « Études africaines », (ISBN978-2-343-14081-0), p. 206.