Le plus souvent, les anthologies« choisissent d'ignorer les vers religieux de Tristan[2] ». En 1925, Pierre Camo préfère « laisser de côté ses poésies religieuses qui n'ajoutent rien à sa gloire[3] ». Amédée Carriat regrette que « ni Maurice Allem ni Robert Vallery-Radot ne citent Tristan dans leurs anthologies de la poésie religieuse[4] ».
En 1909, Adolphe van Bever comprend la Prière à Jésus-Christ dans la collection « Les plus belles pages » pour le Mercure de France[5]. En 1960, Amédée Carriat reprend le poème dans son Choix de pages de toute l'œuvre en vers et en prose de Tristan[6]. En 1962, Philip Wadsworth le tient dans son choix de Poésies de Tristan pour Pierre Seghers[7].
Le poème est réédité en 2002 dans le tome III des Œuvres complètes de Tristan L'Hermite[8].
Analyse
Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ?
Bibliographie
Œuvres complètes
Jean-Pierre Chauveau et al., Tristan L'Hermite, Œuvres complètes (tome II) : Poésie I, Paris, Honoré Champion, coll. « Sources classiques » (no 41), , 576 p. (ISBN978-2-745-30606-7)
Anthologies
Pierre Camo (préface et notes), Les Amours et autres poésies choisies, Paris, Garnier Frères, , XXVII-311 p.
Philip Wadsworth (présentation et notes), Tristan L'Hermite : Poésies, Paris, Pierre Seghers, , 150 p.
Ouvrages cités
Napoléon-Maurice Bernardin, Un Précurseur de Racine : Tristan L'Hermite, sieur du Solier (1601-1655), sa famille, sa vie, ses œuvres, Paris, Alphonse Picard, , XI-632 p.