La livraison des voies sur berges intervient en 1967, sur une emprise gagnée sur le lit de la Seine, en contrebas des quais, axes historiques de la circulation le long de la Seine. Elles sont alors dévolues à la circulation des voitures, motos et camions et interdites d'accès aux piétons.
La voie dite « voie rapide Georges-Pompidou » voit alors passer jusqu'à 40 000 véhicules par jour[Quand ?].
En 1995, la mairie décide de fermer la circulation automobile sur les voies sur berges le dimanche au profit des piétons. Aucun aménagement n'est alors entrepris puisque l'autoroute urbaine est alors la vocation principale de ces voies. L'instauration de Paris Plages, en 2002, neutralise les voies pour une durée d'un mois, tous les ans, de la fin de juillet à la fin d'août, lorsque l'activité et donc les flux ralentissent dans la capitale. Cette initiative est accompagnée d'aménagements temporaires et réversibles.
Le parc Rives-de-Seine est inauguré en tant que tel le [3]. Il est en fait la réunion des parties fermées à la circulation automobile de la voie express Rive-gauche et de la partie de la voie Georges-Pompidou aménagée comme promenade du port de l'Arsenal au tunnel des Tuileries, promenade dont le centre est le jardin Federico-García-Lorca, en contrebas de l'hôtel de ville.
Promenades et jardins
Plusieurs sections des berges de Seine rive gauche ont été renommées en hommage à des personnalités disparues :