Musée de l'Orangerie

Musée national de l'Orangerie
Logo du musée de l'Orangerie.
Façade du musée de l'Orangerie.
Informations générales
Nom local
Le Musée de l'OrangerieVoir et modifier les données sur Wikidata
Type
Musée d'art, musée national (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Ouverture
Gestionnaire
Surface
6 300 m²
Visiteurs par an
1 004 287 (2018)[1]
Site web
Collections
Collections
Nombre d'objets
157
Label
Localisation
Pays
Région
Commune
Adresse
Coordonnées
Carte

Le musée national de l'Orangerie (officiellement « établissement public du musée d'Orsay et du musée de l'Orangerie – Valéry-Giscard d’Estaing » depuis 2021) est un musée français de peintures impressionnistes et postimpressionnistes, situé dans le jardin des Tuileries, à l'extrémité occidentale de la Terrasse du bord de la Seine, place de la Concorde, à Paris, rattaché depuis 2010 au musée d'Orsay.

Outre le célèbre cycle des Nymphéas, huit grandes peintures de Claude Monet qui recouvrent les murs de deux grandes salles ovales, le musée présente des œuvres de Pierre-Auguste Renoir, Alfred Sisley, Claude Monet, Paul Cézanne, Henri Matisse, Pablo Picasso, Amedeo Modigliani, Le Douanier Rousseau, André Derain, Chaïm Soutine, Marie Laurencin, Maurice Utrillo, Paul Gauguin et Kees van Dongen.

Situation du musée

Le musée est situé face à la Seine, dans l'ancienne orangerie du palais des Tuileries de Paris.

Histoire

Auguste Rodin, L'Ombre.

Origines

Sur la terrasse des Tuileries, à l'emplacement de l'Orangerie, se tient au XVIIe siècle le restaurant Renard, du nom d'un ancien valet de chambre du commandeur Jacques de Souvré qui a monté une affaire où se trouvent de petites pièces discrètes ornées de tapisseries et de tableaux où la noblesse de ce temps aime se retrouver. Sous la Fronde, de tumultueux incidents s'y produisent[2].

Construction

Construit en 1852, sur les plans de l’architecte Firmin Bourgeois, pour y abriter les orangers du jardin des Tuileries, le bâtiment actuel est achevé par son successeur, Louis Visconti. Le bâtiment sert alors à accueillir les orangers du jardin des Tuileries pendant l'hiver ; ils étaient jusqu'alors abrités dans la galerie basse du palais du Louvre en cette saison. Conçue comme une serre, sa façade sud, donnant sur le fleuve, est vitrée afin de recevoir la lumière du soleil, tandis que la façade nord est aveugle, afin de protéger les orangers des vents venus du nord. Si les plans du bâtiment sont de Firmin Bourgeois, le décor extérieur des deux portes, situées respectivement à l'est et l'ouest du bâtiment, est l'œuvre de l'architecte Visconti. Il est constitué de deux colonnes surmontées d'un fronton triangulaire sculpté par Charles-Gallois Poignant figurant des cornes d'abondance, pantes et maïs rappelant la destination première du lieu[3]. C'est dans cette orangerie que pose, en 1865, le Prince impérial pour le sculpteur Carpeaux qui y installe son atelier le temps de réaliser le portrait du jeune fils de Napoléon III, accompagné de son chien Néron.

Premières expositions

De 1890 à 1912, se tient dans l'orangerie l'exposition annuelle des peintres et sculpteurs de chasse et de vénerie, présidée par le peintre Jules-Bertrand Gélibert, dans le cadre de l'exposition canine organisée par la Société centrale canine.

Les Nymphéas

En 1921, l'orangerie est affectée au sous-secrétariat d'État aux beaux-arts en même temps que son pendant nord, le Jeu de Paume. Il a alors pour vocation d'exposer des artistes vivants. Mais l'orangerie est choisie par Claude Monet pour accueillir le cycle des Nymphéas que le peintre vient de donner à l'État. C'est à la ténacité de Georges Clemenceau, alors président du Conseil, ministre de la Guerre et grand ami de Claude Monet, que l'on doit l'installation des Nymphéas au musée de l'Orangerie. Jusque-là, était envisagée leur exposition dans un pavillon à créer dans la cour de l'hôtel Biron, tout nouveau musée Rodin. Clemenceau rend de très fréquentes visites à Giverny pour soutenir le moral défaillant du peintre qui se sent devenir aveugle, atteint d'une double cataracte, et l'encourager à réaliser les « grandes décorations » qu'il avait promis en 1918 de faire don à la France. Il le convainc de se faire opérer de la cataracte par son propre ophtalmologiste, afin de pouvoir terminer son entreprise. Pendant ce temps, Clemenceau mène des négociations avec les pouvoirs publics pour que soit trouvé et aménagé un lieu propre à accueillir le grand œuvre de Monet dont la donation est formalisée en 1922. Les travaux d'aménagements sont effectués par l'architecte en chef du Louvre Camille Lefèvre suivant les indications du peintre, et ce jusqu'en 1927, date de son inauguration, qui n'a lieu que six mois après la mort de Claude Monet, et en présence de Georges Clemenceau. Les orangers sont supprimés, un escalier et un étage sont construits pour accéder aux salles d'expositions. Huit panneaux de deux mètres de haut et d'une longueur totale de 91 mètres sont ainsi exposés dans deux salles ovales, formant le signe de l'infini, et orienté est-ouest, s'inscrivant ainsi dans l'axe historique de Paris ainsi que dans le sens de la course du soleil. L'éclairage de ces salles se fait par des verrières, conformément à la volonté du peintre qui voulait plonger le visiteur dans un « état de grâce »[4].

Autres expositions

Jusqu'alors rattaché au musée du Luxembourg, le musée national de l'Orangerie des Tuileries est rattaché à celui du Louvre en 1930. Des travaux viennent alors changer la physionomie du bâtiment. Quatre salles d'une superficie de 500 m2 sont créées dans la moitié ouest de l'orangerie afin de recevoir des expositions temporaires. De 1930 à 1933, les premières expositions sont consacrées aux impressionnistes. Celle de 1934 porte sur les peintres de la réalité au XVIIe siècle tandis que celle de 1936, consacrée à Rubens et son temps, attire un million de visiteurs. C'est le peintre Edgar Degas qui est l'objet d'une exposition en 1937. Durant l'occupation, le sculpteur allemand Arno Breker, artiste officiel du Troisième Reich expose à l'Orangerie du au . Cette exposition, s'inscrivant dans un contexte de propagande, avait pour intention de montrer la grandeur de l'art officiel nazi (opposé à l'art dit « dégénéré ») faisant ainsi la promotion de son idéologie[5].

Après la Libération, en 1945, l'Orangerie tout comme le Jeu de Paume forment une seule entité qui est rattachée au département des peintures du Louvre. Les expositions temporaires organisées par la Réunion des musées nationaux et initiées dans les années 1930 reprennent alors leur cours. En 1946, c'est à l'Orangerie que sont présentés les chefs-d'œuvre des collections de peintures françaises saisis ou vendus sous la contraintes aux nazis et retrouvés en Allemagne par la commission de récupération artistique avec l'aide du Monuments, Fine Arts, and Archives program américain. En 1954, une exposition est ainsi consacrée à Van Gogh et aux peintres d'Auvers-sur-Oise tandis que celle de 1955 porte sur la peinture française de David à Toulouse-Lautrec. C'est la réussite de ces expositions temporaires annuelles qui est à l'origine de l'aménagement des galeries nationales du Grand Palais ouvertes en 1964[6].

Collection Walter-Guillaume

En 1934, Domenica, la veuve du marchand d'art Paul Guillaume, hérita de sa fortune et de sa collection, avec possibilité de la transformer mais obligation de la faire entrer un jour au musée du Louvre. Son goût la porte à acquérir de nouvelles œuvres impressionnistes ; tandis qu'elle vend en contrepartie plus de deux cents œuvres, dont certaines auraient pourtant été particulièrement complémentaires pour les collections françaises d'art moderne, dont toutes les toiles de Giorgio de Chirico, toutes les œuvres cubistes de Picasso et toutes les sculptures d'art africain, quinze Matisse mais surtout ses deux très grands formats précoces qui incluaient La Leçon de piano (1916) achetée en 1946 par le MoMA, dont seul le musée de Grenoble conserve en France un équivalent avec l'Intérieur aux aubergines (1911) et des portraits de Modigliani, dont celui de Jean Cocteau.

L'État acquiert sous réserve d'usufruit auprès de Domenica Walter, remariée à l'architecte et industriel Jean Walter, pour un montant de 135 millions de francs réunis grâce à une souscription de la Société des amis du Louvre, 47 tableaux en 1959 puis les 99 tableaux restants en 1963. Domenica Walter concrétise ainsi le souhait de son premier mari qui voulait que sa collection devienne le « premier musée d'art français moderne ». De 1960 à 1965, sous la direction de l'architecte Olivier Lahalle, le musée est transformé afin d'abriter la collection Walter-Guillaume, cédée à l'État français à condition qu'elle ne soit pas dispersée. Les galeries d'exposition créées en 1930 sont alors supprimées tandis que deux nouveaux niveaux superposés sont créés sur toute la longueur du bâtiment. Un escalier monumental, pourvue d'une rampe décorée par Raymond Subes, remplace alors le vestibule donnant sur les Nymphéas. Il permet d'accéder à une enfilade de salles (d'une superficie de 1 300 m2) voulue par Domenica Walter afin d'exposer les 146 tableaux de sa collection. La collection est présentée au public en 1966, en présence du ministre des Affaires culturelles André Malraux mais les œuvres restent chez Mme Walter jusqu'à sa mort en 1977. Alors que la collection Walter-Guillaume entre enfin à l'Orangerie de manière définitive, une nouvelle campagne de travaux sur le bâtiment débute en 1978 et se poursuit jusqu'en 1984. À cette occasion, l'Orangerie devient un musée national indépendant du Jeu de Paume et détaché de la tutelle du Louvre[7].

Réaménagement

Entre 2000 et 2006, des travaux, d'un montant de 30 millions d'euros[8], ont lieu sous la direction de l'architecte Olivier Brochet et du directeur du musée, Pierre Georgel. Ils consistent en la suppression du plancher qui recouvrait les Nymphéas depuis 1965 afin de leur redonner leur éclairage naturel original voulu par Monet. Pour compenser la perte de ces espaces d'exposition, sont également créés 1 000 m2 en sous-sol de la terrasse des Tuileries (pour un total utilisable de 6 300 m2) afin d'y exposer la collection Walter-Guillaume. Sont également aménagés un espace d'exposition temporaire, un auditorium ainsi qu'une salle pédagogique et une bibliothèque. Ces travaux permettent la découverte des vestiges archéologiques de l'enceinte des fossés jaunes érigée à partir de 1566 pour protéger le palais des Tuileries et dont un pan de mur est visible à l'intérieur du musée.

Autour du bâtiment, plusieurs sculptures sont exposées en extérieur. Le long de la façade nord qui longe le jardin des Tuileries, il s'agit du Grand commandant blanc (1986) du sculpteur Alain Kirili ainsi que de trois fontes en bronze de Rodin : Ève (1881 et fonte en 1889), Méditation avec bras (1881 et fonte vers 1905) et L'Ombre (1881 et fonte vers 1904). Une quatrième œuvre de Rodin, une fonte du Baiser, prend place devant l'entrée du musée à l'ouest. De l'autre côté du musée, sont également visibles les sculptures Reclining Nude (1951) d'Henry Moore, située au pied de l'escalier, ainsi qu'un moulage d'après Le lion au serpent d'Antoine-Louis Barye ; situé sur la terrasse au bord de la Seine[9].

Rattachement au musée d'Orsay

Jusque-là service à compétence nationale du ministère de la Culture (service des Musées de France), il est rattaché en au musée d'Orsay au sein de l'Établissement public du musée d'Orsay et du musée de l'Orangerie[10],[8]. À l'été 2015, un café est ouvert dans le bâtiment.

Les œuvres

La collection Jean Walter-Paul Guillaume est constituée de 146 tableaux datant des années 1860 aux années 1930. Parmi ses tableaux, on compte 25 peintures de Renoir, 15 Cézanne, 1 Gauguin, 1 Monet et 1 Sisley. Pour le XXe siècle, elle comprend 12 Picasso, 10 Matisse, 5 Modigliani, 5 Marie Laurencin, 9 Douanier Rousseau, 29 Derain, 10 Utrillo, 22 Soutine et 1 Van Dongen[11].

Paysage de Gauguin daté de 1901.
Gauguin, Paysage, 1901.
Jeunes filles au piano de Pierre-Auguste Renoir, vers 1892.
Renoir, Jeunes filles au piano.

Les salles en 2017

Rez de chaussée haut

Rez de chaussée bas

  • Vestibule de Derain
  • Salle des intérieurs de l'appartement de Paul Guillaume
  • Salle Paul Guillaume d'Art africain et des œuvres vendues par sa veuve
  • Salle de Renoir et des maquettes historiques de l'Orangerie
  • Salle de Cézanne
  • Salle de Soutine (natures mortes)
  • Salle de Picasso et Matisse
  • Salle de Modigliani, Marie Laurencin et Derain
  • Salle du Douanier Rousseau
  • Salle d'Utrillo
  • Salle de Soutine (paysages et portraits)
  • Salles d'expositions temporaires
  • Auditorium (salle de projection)
  • Ateliers pédagogiques

Expositions temporaires

2024

  • Robert Ryman. Le regard en acte, 6 mars 2024 - 1er juillet 2024
  • Contrepoint contemporain : Wolfgang Laib, 1er mars 2024 - 1er juin 2024

2023

2022

2021

2020

2019

2017

2016

  • Apollinaire, le regard du poète
  • La Peinture américaine des années 1930 - The Age of Anxiety

2015

  • Adolfo Wildt (1868-1931), le dernier symboliste, 15 avril 2015 - 13 juillet 2015[33]

2014

  • Émile Bernard (1868-1941), 17 septembre 2014 - 5 janvier 2015[34]
  • Les Archives du rêve, dessins du musée d'Orsay : carte blanche à Werner Spies, 26 mars 2014 - 30 juin 2014[35]

2013

2012

  • Chaïm Soutine (1893-1943). L'ordre du chaos, - [38]
  • Debussy, la musique et les arts, 22 février 2012 - 11 juin 2012[39]

2011

  • L'Espagne entre deux siècles de Zuloaga à Picasso - 1890-1920, - (Musée de l'Orangerie)[40]
  • Gino Severini (1883-1966), futuriste et néo-classique, 27 avril 2011 - 25 juillet 2011[41]

2010

Références

  1. La plateforme « data.gouv.fr » Fréquentation 2006-2010 des musées de France - Île-de-France.
  2. Louis Batiffol, La Vie de Paris sous Louis XIII, éditions Calmann-Lévy, 1932, p. 60.
  3. « Le bâtiment du Second Empire aux Nymphéas », sur musee-orangerie.fr (consulté le ).
  4. « L'installation des Nymphéas », sur musee-orangerie.fr (consulté le ).
  5. « 15 mai – 31 juillet 1942 : l’exposition « Arno Breker » à Paris », sur histoire-image.org, (consulté le ).
  6. « Les grandes expositions des années 1930 aux années 1950 », sur musee-orangerie.fr (consulté le ).
  7. « L’acquisition de la collection Jean Walter et Paul Guillaume », sur musee-orangerie.fr (consulté le ).
  8. a et b « Le Conseil des ministres entérine le rattachement de l’Orangerie au Musée d’Orsay », sur artclair.com, (consulté le ).
  9. « 2000-2006 : un nouveau musée », sur musee-orangerie.fr (consulté le ).
  10. « Décret n° 2010-558 du 27 mai 2010 relatif à l’Etablissement public du musée d’Orsay et du musée de l’Orangerie », sur musee-orsay.f, (consulté le ).
  11. « Histoire de la collection Jean Walter-Paul Guillaume », sur musee-orangerie.fr (consulté le ).
  12. « Hermann Nitsch. Hommage », sur Musée de l'Orangerie (consulté le )
  13. « Amedeo Modigliani. Un peintre et son marchand », sur Musée de l'Orangerie (consulté le )
  14. « Philippe Cognée », sur Musée de l'Orangerie (consulté le )
  15. « Matisse. Cahiers d’art, le tournant des années 30 », sur Musée de l'Orangerie (consulté le )
  16. « Mickalene Thomas : Avec Monet », sur Musée de l'Orangerie (consulté le )
  17. « Sam Szafran. Obsessions d'un peintre », sur Musée de l'Orangerie (consulté le )
  18. « Novo Pilota, Amedeo Modigliani et son marchand Paul Guillaume », sur Musée de l'Orangerie (consulté le )
  19. « Ange Leccia • (D') Après Monet », sur Musée de l'Orangerie (consulté le )
  20. « Le décor impressionniste. Aux sources des Nymphéas », sur Musée de l'Orangerie (consulté le )
  21. « David Hockney. A Year in Normandie. “Remember that they cannot cancel spring.” », sur Musée de l'Orangerie (consulté le )
  22. « Chaïm Soutine / Willem de Kooning, la peinture incarnée », sur Musée de l'Orangerie (consulté le )
  23. « Le violon d'Ingres de Paul Guillaume », sur Musée de l'Orangerie (consulté le )
  24. « Isabelle Cornaro. L'intervalle des images », sur Musée de l'Orangerie (consulté le )
  25. « Magritte / Renoir. Le surréalisme en plein soleil », sur Musée de l'Orangerie (consulté le )
  26. « Les intérieurs de Paul Guillaume », sur Musée de l'Orangerie (consulté le )
  27. « Janaina Tschäpe, Contrepoint 5 », sur Musée de l'Orangerie (consulté le )
  28. « Giorgio de Chirico. La peinture métaphysique », sur Musée de l'Orangerie (consulté le )
  29. « Tosani. Reflets et transpercements », sur Musée de l'Orangerie (consulté le )
  30. « Félix Fénéon (1861-1944). Les temps nouveaux, de Seurat à Matisse », sur Musée de l'Orangerie (consulté le )
  31. « Alex Katz. Nymphéas – série Homage to Monet, 2009-2010 », sur Musée de l'Orangerie (consulté le )
  32. « Franz Marc / August Macke. L'aventure du Cavalier bleu », sur Musée de l'Orangerie (consulté le )
  33. « Adolfo Wildt (1868-1931), le dernier symboliste », sur SAMO - Société des amis des musées d'Orsay et de l'Orangerie (consulté le )
  34. Géraldine Bretault, « Émile Bernard (1868-1941) : une belle rétrospective à l’Orangerie », Toute la culture,‎ (lire en ligne, consulté le )
  35. « Les archives du rêve, dessins du musée d'Orsay : carte blanche à Werner Spies », sur France Inter, (consulté le )
  36. Ursula Michel, « Frida Kahlo et Diego Rivera à l'Orangerie : une exposition assez frustrante », Le Plus / L'Obs,‎ (lire en ligne Accès libre, consulté le )
  37. Sarah Belmont, « Impression soleil toscan », Le Point Magazine,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  38. Laurent Boudier, « Chaïm Soutine (1893-1943) - L'ordre du chaos », Télérama (consulté le )
  39. « "Debussy, la musique et les arts" à L'Orangerie à Paris », Franceinfo,‎ (lire en ligne, consulté le )
  40. « L'Espagne entre deux siècles – De Zuloaga à Picasso – 1890-1920 au musée de l’Orangerie », sur www.artnet.fr (consulté le ).
  41. « "Gino Severini, futuriste et néoclassique" au Musée de l'Orangerie », sur Toutelaculture, (consulté le ).
  42. Brigitte Ollier, «Eviter que le regard ne se perde», sur Libération (consulté le ).
  43. « Paul Klee (1879-1940). La collection d'Ernst Beyeler - 2010-04-14 | Musée de l'Orangerie », sur www.musee-orangerie.fr (consulté le ).

Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

Liens externes