Avant d'être élue comme députée provinciale, Marwah Rizqy occupait le poste de professeure agrégée à l'École de gestion de l'Université de Sherbrooke[3] où elle agissait également comme codirectrice des programmes d’études de 2e cycle en fiscalité au campus de Longueuil[4]. Elle affirme s'être engagée en politique principalement pour défendre la cause de la justice sociale[5].
Carrière politique
Politique fédérale
Marwah Rizqy se lance en politique active en se présentant sous la bannière du Parti libéral du Canada (PLC) de Justin Trudeau[6] dans la circonscription fédérale d'Hochelaga lors des élections fédérales du . Elle termine deuxième derrière la députée sortante, Marjolaine Boutin-Sweet, qui l'emporte par 500 voix à la suite d'un dépouillement judiciaire[7].
En 2017, elle tente sa chance pour devenir la candidate du Parti libéral du Canada lors d'une élection partielle dans la circonscription de Saint-Laurent visant à remplacer Stéphane Dion, devenu ambassadeur du Canada auprès de l'Union européenne et de l'Allemagne après avoir perdu son ministère. Elle termine cependant au deuxième rang lors de l'investiture libérale, derrière Emmanuella Lambropoulos mais devant l'ex-ministre québécoise Yolande James appuyée par la direction du Parti libéral[8].
Depuis , elle représente le PLQ comme porte-parole de l'opposition officielle en matière d'éducation et en matière d’administration gouvernementale et pour le Conseil du trésor[11]. Enfin, depuis le , elle est porte-parole pour les dossiers de la région de la Capitale-Nationale[12].
Elle est réélue lors des élections du [13]. En raison de son accouchement, Rizqy devient la première députée, en plus de Gregory Kelley, à faire serment en visioconférence[14]. Le , elle accouche d'un fils nommé Gabriel Kelley. Le , Gregory Kelley et elle sont devenus les premiers parents à siéger au Salon bleu en compagnie de leur nouveau-né[15].
Le , elle annonce qu'elle va terminer son mandat de députée mais ne se représentera pas lors des élections générales québécoises de 2026 afin de pouvoir élever ses enfants[16].