La préfecture de Saône-et-Loire a retenu le journal comme publicateur d'annonces légales pour tout le département[2].
Histoire
Le journal a été fondé en 1906 par Joseph de Valence sous le titre « Réveil du Charolais et Brionnais ».
De 1940 à 1944, il évolue en « Réveil de Saône-et-Loire » et prend à la Libération le nom de « La Renaissance »[3].
En novembre 2020, le journal rejoint le groupe La Manche Libre, premier hebdomadaire régional de France[4].
Diffusion
Le journal est principalement diffusé dans le Pays Charolais Brionnais et dans la région de l'Arroux, du Clunisois, du Mâconnais et des agglomérations du Creusot et de Montceau-les-Mines. En 2020, il a une diffusion payée de 5 350 exemplaires (en moyenne) par numéro, dont 2 745 exemplaires en formule abonnement. En 2015, la diffusion payée moyenne était de 8 615 exemplaires[5]. En 2021, le journal a ajouté un cahier loisirs pour relancer ses ventes. Il est publié chaque vendredi.
Divers
En septembre 2020, Jean-Marc Nesme, maire de Paray-le-Monial, est condamné en appel pour diffamation à l'encontre de son ancien chargé de communication, Philip Guyot de Caila, à la suite de propos publiés en novembre 2018 dans La Renaissance[6],[7].