Son professeur Alberto Lista l'encouragea à commencer une carrière littéraire ; durant sa détention au monastère, il commença donc l'ode historique El Pelayo, qu'il ne devait jamais terminer. Par la suite, il écrivit le roman Sancho Saldaña. Peuvent aussi être cités El estudiante de Salamanca et El diablo mundo, deux longs poèmes lyriques également inachevés, A Jarifa en una orgia, El Verdugo, Canción del cosaco, La canción del pirata, et Himno al sol. Ses œuvres permettent de le classer parmi les romantiques, et de fait, avec José Zorrilla, il est considéré comme l'un des principaux poètes romantiques espagnols, et comme le plus rebelle.