Il pose sa démission dès le lendemain et Milan Kučan désigne le ministre des Finances Anton Rop comme candidat à la présidence du gouvernement le . Cinq jours plus tard, il est confirmé par l'Assemblée nationale par 63 voix favorables[2],[3].
La coalition est partiellement rompue avec le départ le du Parti populaire, qui s'oppose au projet de loi controversé, soutenu par la LDS, accordant la citoyenneté slovène aux réfugiés de l'ancienne Yougoslavie. À peine trois mois plus tard, Rop demande et obtient des députés qu'ils destituent le ministre des Affaires étrangères Dimitrij Rupel, accusé par le président du gouvernement de collaborer avec l'opposition[3].
↑ a et b(en) « December 2002 », sur rulers.org (consulté le ).
↑ a et b(en) Tom Lansford, Political Handbook of the World 2018-2019, CQ Press, , 2064 p. (ISBN1544327137).
↑(en) Leopoldina Plut-Pregelj, Gregor Kranjc, Žarko Lazarević et Carole Rogel, Historical Dictionary of Slovenia, Rowman & Littlefield, , 744 p. (ISBN1538111063).
↑(en) Günther Heydemann et Karel Vodička, From Eastern Bloc to European Union : Comparative Processes of Transformation since 1990, Berghahn Books, , 416 p. (ISBN1785333186).
↑« Une coalition de centre-droite remporte d'une courte tête les législatives slovènes », Le Monde, (lire en ligne, consulté le ).
↑Hugues Sachter, Le Courrier des pays de l'Est : Europe centrale et orientale 2004-2005, La Documentation française, , 296 p. (lire en ligne).