Au cours du scrutin, la Démocratie libérale conforte sa place de premier parti de Slovénie en réunissant plus de 36 % des voix, faisant élire 34 députés et devançant le SDSS de près de 20 points[1].
Le , un accord de coalition est conclu entre la LDS, la ZLSD, le SLS+SKD, ainsi que le Parti démocrate des retraités slovènes (DeSUS). Janez Drnovšek est proposé quatre jours plus tard comme candidat à la présidence du gouvernement par le président de la RépubliqueMilan Kučan et reçoit le l'investiture de l'Assemblée nationale[2],[3],[4].
Le gouvernement, qui ne comprend pas de ministres issus du DeSUS, obtient le suivant la confiance des parlementaires par 66 voix favorables, recevant également l'appui du Parti de la jeunesse slovène (SMS), qui n'a signé aucun partenariat avec les partis de la majorité parlementaire[3],[5].
Succession
Lors de l'élection présidentielle(sl) du , Drnovšek se présente à la succession de Kučan. Il l'emporte au second tour, le , avec 56 % des voix devant l'indépendante Barbara Brezigar(sl), soutenue par le SDSS. Le , le ministre des Finances Anton Rop lui succède[6] et forme son gouvernement de coalition.