Estoher

Estoher
Estoher
Carte postale d'Estoher au début du XXe siècle.
Blason de Estoher
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Prades
Intercommunalité Communauté de communes Conflent-Canigó
Maire
Mandat
Marie-Edith Peral
2020-2026
Code postal 66320
Code commune 66073
Démographie
Gentilé Estohanencs, Estohanencques
Population
municipale
144 hab. (2021 en évolution de −4,64 % par rapport à 2015)
Densité 5,5 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 36′ 06″ nord, 2° 29′ 13″ est
Altitude 360 m
Min. 336 m
Max. 2 481 m
Superficie 26,08 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Perpignan
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Canigou
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Estoher
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Estoher
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Voir sur la carte topographique des Pyrénées-Orientales
Estoher
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
Voir sur la carte administrative d'Occitanie (région administrative)
Estoher

Estoher Écouter est une commune française située dans le centre du département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Conflent, correspondant à l'ensemble des vallées pyrénéennes qui « confluent » avec le lit creusé par la Têt entre Mont-Louis et Rodès.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Llech, le ruisseau de la Coume d'Espira et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : deux sites Natura 2000 (le « massif du Canigou » et le « Canigou-Conques de La Preste ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Estoher est une commune rurale qui compte 144 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 587 habitants en 1851. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan. Ses habitants sont appelés les Estohanencs ou Estohanencques.

Géographie

Localisation

Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune d'Estoher se trouve dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 35 km à vol d'oiseau de Perpignan[1], préfecture du département, à 6 km de Prades[2], sous-préfecture, et à 21 km d'Amélie-les-Bains-Palalda[3], bureau centralisateur du canton du Canigou dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Prades[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Espira-de-Conflent (2,0 km), Finestret (2,7 km), Los Masos (3,0 km), Joch (3,7 km), Clara (3,9 km), Marquixanes (4,5 km), Rigarda (4,7 km), Baillestavy (5,1 km).

Sur le plan historique et culturel, Estoher fait partie de la région de Conflent, héritière de l'ancien comté de Conflent et de la viguerie de Conflent. Ce pays correspond à l'ensemble des vallées pyrénéennes qui « confluent » avec le lit creusé par la Têt entre Mont-Louis, porte de la Cerdagne, et Rodès, aux abords de la plaine du Roussillon[5].

Situation de la commune.

Géologie et relief

La commune est classée en zone de sismicité 3, correspondant à une sismicité modérée[7].

Hydrographie

La rivière du Llech et trois ruisseaux traversent Estoher.

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Pyrénées orientales, caractérisée par une faible pluviométrie, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un air sec, particulièrement en hiver et peu de brouillards[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 814 mm, avec 5,4 jours de précipitations en janvier et 4,5 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Eus à 5 km à vol d'oiseau[10], est de 13,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 539,8 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Milieux naturels et biodiversité

Réseau Natura 2000

Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats[15].

  • le « massif du Canigou », d'une superficie de 11 746 ha, culmine à 2 784 mètres à l'extrémité orientale de la chaîne des Pyrénées. Il recèle de nombreuses espèces endémiques pyrénéennes dont certaines atteignent leur limite orientale et présente une gamme variée d'habitats naturels d'intérêt communautaire liés à l'étagement de la végétation[16] et au titre de la directive oiseaux[15]
  • le « canigou-conques de La Preste », d'une superficie de 20 224 ha, abrite une avifaune de montagne riche et diversifiée, tant au niveau des rapaces que des passereaux et des galliformes. Elle est également fréquentée régulièrement par deux couples de gypaètes barbus et, en été, par un nombre important de vautours fauves en provenance du territoire espagnol[17].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 3] sont recensées sur la commune[18] : le « cirque des Cortalets » (191 ha), couvrant 2 communes du département[19] et la « vallée du Llech » (1 724 ha)[20] et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[18] : le « massif du Canigou » (19 263 ha), couvrant 15 communes du département[21].

Urbanisme

Typologie

Au , Estoher est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Perpignan, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 118 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 3],[I 4].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (96,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (96,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (73,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (18,9 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (4,3 %), cultures permanentes (3,5 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

Risques majeurs

Le territoire de la commune d'Estoher est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêts, mouvements de terrains, avalanche et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques particuliers, les risques radon et minier[23],[24].

Risques naturels

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin de la Têt[25].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles, soit des glissements de terrains, soit des chutes de blocs[26]. Une cartographie nationale de l'aléa retrait-gonflement des argiles permet de connaître les sols argileux ou marneux susceptibles vis-à-vis de ce phénomène[27].

Risque particulier

La commune est concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines[28].

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune d'Estoher est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[29].

Toponymie

En catalan, le nom de la commune est Estoer[30].

Histoire

Politique et administration

Administration municipale

Liste des maires

Liste des maires successifs[31]
Période Identité Étiquette Qualité
1792 1793 Dagues    
1792 1793 Joseph Llech-Llamousi    
1792 1793 Mathieu Armagau    
1793 1794 François Destaville    
1794 1795 Bonnaventure Torrent    
1794 1795 Jean Pavie    
1796 1796 Gauderique Pailles    
1796 1797 Joseph Llech-Llamousi    
1797 1813 Bonaventure Taurinua    
1813 1829 Jean Ixart    
1829 1832 Joseph Falip    
1832 1843 Pierre Pailles    
1843 1856 Pierre Catala    
1856 1871 Bonaventure Puig    
1871 1874 Joseph Catala    
1874 1899 Jean Felip    
1899 1920 Étienne Illes    
1920 1921 Gauderique Pailles    
1921 1935 Étienne Mary    
1935 1944 Jacques Illes   Nommé conseiller départemental en 1943[32]
1944 1945 Charles Blandigneres    
1945 1954 Jean Borreil    
1954 1959 Jacques Illes    
1959 1983 Jacques Gaurenne    
1983 2008 René Figa    
mars 2008 mars 2014 Marie-Édith Péral[33]    
mars 2014 mai 2014 Jean-Jacques Jordi[34],[35]    
mai 2014 2020 Louis Ques    
2020 En cours Marie-Edith Péral PS Conseillère départementale depuis 2021

Population et société

Démographie ancienne

La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

Évolution de la population
1358 1365 1378 1470 1515 1553 1709 1720 1767
21 f36 f21 f22 f25 f24 f79 f64 f426 H
1774 1789 - - - - - - -
387 H80 f-------
(Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

Notes :

  • 1358 : dont 8 f pour Llech et 13 f pour Sanès ;
  • 1365 : dont 10 f pour Llech et 8 f pour Sanès ;
  • 1378 : dont 4 f pour Llech et 5 f pour Sanès.

Démographie contemporaine

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].

En 2021, la commune comptait 144 habitants[Note 6], en évolution de −4,64 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Orientales : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
309410445474495539560532587
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
524496520521531503388402357
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
329332314284268225202202164
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
160165127115124134152154153
2017 2021 - - - - - - -
145144-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[40] 1975[40] 1982[40] 1990[40] 1999[40] 2006[41] 2009[42] 2013[43]
Rang de la commune dans le département 130 153 179 160 160 156 157 159
Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

Enseignement

Il n'y a pas d'école à Estoher.

Manifestations culturelles et festivités

Santé

Sports

Économie

Emploi

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 5] 7,8 % 5,6 % 10,7 %
Département[I 6] 10,3 % 12,9 % 13,3 %
France entière[I 7] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 82 personnes, parmi lesquelles on compte 57,1 % d'actifs (46,4 % ayant un emploi et 10,7 % de chômeurs) et 42,9 % d'inactifs[Note 7],[I 5]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était inférieur à celui de la France.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Perpignan, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 2],[I 8]. Elle compte 14 emplois en 2018, contre 24 en 2013 et 18 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 40, soit un indicateur de concentration d'emploi de 34,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 38,5 %[I 9].

Sur ces 40 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 11 travaillent dans la commune, soit 27 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 85,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 9,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].

Activités hors agriculture

Secteurs d'activités

12 établissements[Note 8] sont implantés à Estoher au [I 12]. Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 25 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 12 entreprises implantées à Estoher), contre 13 % au niveau départemental[I 13].

Agriculture

1988 2000 2010 2020
Exploitations 20 13 4 4
SAU[Note 9] (ha) 429 651 nd 233

La commune est dans le Conflent, une petite région agricole occupant le centre-ouest du département des Pyrénées-Orientales[45]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est la culture de fruits ou d'autres cultures permanentes[Carte 3]. Quatre exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 11] (20 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 233 ha[47],[Carte 4],[Carte 5].

Culture locale et patrimoine

Monuments et lieux touristiques

Église Saint-Étienne d'Estoher

Patrimoine environnemental

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Blason de Estoher Blason
De gueules aux trois cailloux d’or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[14].
  3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  8. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  9. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  10. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  11. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[46].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  3. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

Site de l'Insee

  1. a b c d et e Insee, « Métadonnées de la commune ».
  2. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Perpignan », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  5. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Estoher » (consulté le ).
  6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  8. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  9. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Estoher » (consulté le ).
  10. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  11. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Estoher » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans les Pyrénées-Orientales » (consulté le ).

Autres sources

  1. Stephan Georg, « Distance entre Estoher et Perpignan », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Estoher et Prades », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Estoher et Amélie-les-Bains-Palalda », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches d'Estoher », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 194-195.
  6. Carte IGN sous Géoportail.
  7. « Plan séisme » (consulté le ).
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  10. « Orthodromie entre Estoher et Eus », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Eus » (commune d'Eus) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Eus » (commune d'Eus) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  14. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  15. a et b « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Estoher », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « site Natura 2000 FR9101475 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « site Natura 2000 FR9110076 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune d'Estoher », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « ZNIEFF le « cirque des Cortalets » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « ZNIEFF la « vallée du Llech » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « ZNIEFF le « massif du Canigou » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  23. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), chapitre 1 - Liste des risques par commune.
  24. « Les risques près de chez moi - commune d'Estoher », sur Géorisques (consulté le ).
  25. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  26. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  27. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  28. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), partie 3 - chapitre Risque minier.
  29. « cartographie des risques d'inondations du tri de perpignan/saint-cyprien », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  30. (ca + fr) Institut d’Estudis Catalans, Université de Perpignan, Nomenclàtor toponímic de la Catalunya del Nord, Barcelone, (lire en ligne).
  31. Liste des maires sur MairesGenWeb
  32. Journal officiel de la République française. Lois et décrets, parution 24 janvier 1943, (en ligne).
  33. Préfecture des Pyrénées-Orientales, Liste des maires élus en 2008, consultée le 22 juillet 2010
  34. [PDF] « Liste des maires du département des Pyrénées-Orientales à la suite des élections municipales et communautaires des 23 et 30 mars 2014 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur la-clau.net.
  35. Laura Causanillas, L'Indépendant, Le maire Jean-Jacques Jordi démissionne, 24 mai 2014
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  40. a b c d et e INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
  41. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  42. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  43. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  44. a et b Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5066-7).
  45. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  46. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  47. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune d'Estoher - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).