Sur le plan historique et culturel, Saint-Lizier fait partie du Couserans, pays aux racines gasconnes structuré par le cours du Salat (affluent de la Garonne), que rien ne prédisposait à rejoindre les anciennes dépendances du comté de Foix[4].
Communes limitrophes
Saint-Lizier est limitrophe de huit autres communes.
Les limites communales de Saint-Lizier et celles de ses communes adjacentes.
La superficie cadastrale de la commune publiée par l’Insee, qui sert de références dans toutes les statistiques, est de 9,01 km2[6],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 9,1 km2[9]. Son relief est relativement accidenté puisque la dénivelée maximale atteint 210 mètres. L'altitude du territoire varie entre 368 m et 578 m[10].
Géologie
La commune est située dans les Pyrénées, une chaîne montagneuse jeune, érigée durant l'ère tertiaire (il y a 40 millions d'années environ), en même temps que les Alpes, certaines parties étant recouvertes par des formations superficielles. Les terrains affleurants sur le territoire communal sont constitués de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, l'ère géologique la plus récente sur l'échelle des temps géologiques, débutant il y a 66 millions d'années, et pour d'autres du Mésozoïque, anciennement appelé Ère secondaire, qui s'étend de −252,2 à −66,0 Ma. La structure détaillée des couches affleurantes est décrite dans les feuilles « n°1056 - Le Mas d'Azil » et « n°1074 - Saint-Girons » de la carte géologique harmonisée au 1/50 000ème du département de l'Ariège[11],[9] et leurs notices associées[12],[13].
Le Salat, d'une longueur totale de 74,1 km, prend sa source dans la commune de Couflens et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Boussens, après avoir traversé 27 communes[17].
Le Baup, d'une longueur totale de 20,1 km, prend sa source dans la commune de Rimont et s'écoule d'est en ouest. Il traverse la commune et se jette dans le Salat sur le territoire communal, après avoir traversé 6 communes[18].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 898 mm, avec 9,6 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[19]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lorp-Sentaraille à 2 km à vol d'oiseau[21], est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 973,2 mm[22],[23]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[24].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Quatre ZNIEFF de type 1[Note 4] sont recensées sur la commune[31] :
l'« aval du ruisseau du Baup et affluents » (106 ha), couvrant 6 communes du département[32] ;
les « collines de l'ouest du Séronais, du Mas-d'Azil à Saint-Lizier » (7 543 ha), couvrant 11 communes du département[33] ;
Au , Saint-Lizier est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[38].
Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Girons, une agglomération intra-départementale dont elle est une commune de la banlieue[39],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Girons, dont elle est une commune du pôle principal[Note 6],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 70 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[40],[41].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (68,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
zones agricoles hétérogènes (40,9 %), prairies (26,4 %), forêts (16,7 %), zones urbanisées (8,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,9 %)[42]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
Dès le haut Moyen Âge, Saint-Lizier compte deux quartiers : en haut, la cité, ceinte de murs gallo-romains ; tout autour jusqu'au Salat, le bourg, division conservée jusqu'à nos jours.
Face au palais des évêques, Saint-Lizier est dominée par la colline du Marsan et sa chapelle.
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 791, alors qu'il était de 802 en 2013 et de 736 en 2008[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Lizier en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (14,3 %) inférieure à celle du département (24,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 80,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (80,5 % en 2013), contre 66,3 % pour l'Ariège et 57,5 % pour la France entière[I 3].
Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement, crue torrentielle d'un cours d'eau, le Salat, ou ruissellement d'un versant. L’épisode de crue le plus marquant dans le département reste sans doute celui de 1875. Parmi les inondations marquantes plus récentes concernant le Salat figurent les crues de 1937 (un mort à Salau), de 1992 et de 1993[46].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont soit des chutes de blocs, soit des glissements de terrains, soit des effondrements liés à des cavités souterraines, soit des mouvements liés au retrait-gonflement des argiles. Près de 50 % de la superficie du département est concernée par l'aléa retrait-gonflement des argiles, dont la commune de Saint-Lizier[47]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[48].
Ces risques naturels sont pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais d'un plan de prévention des risques (PPR) inondation et mouvement de terrain approuvé le 12 janvier 2006[49].
Risques technologiques
Le risque de transport de matières dangereuses par une infrastructure routière ou ferroviaire ou par une canalisation de transport de gaz concerne la commune. Un accident se produisant sur une telle infrastructure est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[50].
L'abri de Montfort atteste l'occupation dès le Magdalénien. Cet abri a été fouillé notamment par Félix Régnault. En 1894, H. Miquel y découvrit une vertèbre humaine transpercée par une lame en quartzite[52],[53], désormais conservée au Muséum de Toulouse. L'abri a aussi livré entre autres un objet décoré décrit par Édouard Piette comme une fibule[54], six galets décorés aziliens trouvés entre 1889 et 1892[55]...
Antiquité
L'ancienne cité gallo-romaine des Consoranni, Lugdunum Consoranorum ou Civitas Consorannorum, devint le siège d'un important évêché à partir du VIe siècle. Ayant déjà un évêque (saint Valère) au Ve siècle, Saint-Lizier fut le plus ancien siège épiscopal de l'actuel département de l'Ariège.
Une inscription lapidaire datant de l'époque gallo-romaine sur une pierre du pont sur le Salat y a révélé une dévotion à la déesse Belisama[56].
Moyen Âge
Le renouveau de la ville a lieu au Moyen Âge, à l'époque romane : deux cathédrales sont alors construites. La véritable, Notre-Dame de la Sède, aujourd’hui dans l’enceinte du palais des Évêques, et l'église paroissiale du bourg d’en bas, avec son cloître remarquable, plus ancienne d’ailleurs, appelée aussi « cathédrale » (cathédrale de Saint Lizier) qui abrite son trésor avec la crosse de saint Lizier du XIIe siècle.
Époque moderne
Le buste reliquaire de saint Lizier, en argent doré, ciselé, est attribué à Antoine Favier, orfèvre à Toulouse, qui l'aurait réalisé en 1531. Il est conservé dans la cathédrale Saint-Lizier.
De 1987 à 2013, le prêtre René Heuillet détourna plus de 720 000 euros de dons issus des ventes de bougies votives. Il a été condamné en 2016 à 18 mois de prison avec sursis et 50 000 euros d'amende[57].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[63]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[64].
En 2022, la commune comptait 1 384 habitants[Note 7], en évolution de −2,4 % par rapport à 2016 (Ariège : +1,48 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 642 personnes, parmi lesquelles on compte 68,2 % d'actifs (58,6 % ayant un emploi et 9,6 % de chômeurs) et 31,8 % d'inactifs[Note 9],[I 8]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
Sur ces 392 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 179 travaillent dans la commune, soit 46 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 85,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 0,7 % les transports en commun, 7,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].
Activités hors agriculture
138 établissements[Note 10] sont implantés à Saint-Lizier au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 15].
Secteur d'activité
Commune
Département
Nombre
%
%
Ensemble
138
100 %
(100 %)
Industrie manufacturière, industries extractives et autres
14
10,1 %
(12,9 %)
Construction
14
10,1 %
(14,2 %)
Commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration
51
37 %
(27,5 %)
Information et communication
2
1,4 %
(1,8 %)
Activités financières et d'assurance
6
4,3 %
(2,8 %)
Activités immobilières
8
5,8 %
(4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien
20
14,5 %
(13,2 %)
Administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale
17
12,3 %
(14,4 %)
Autres activités de services
6
4,3 %
(8,8 %)
Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 37 % du nombre total d'établissements de la commune (51 sur les 138 entreprises implantées à Saint-Lizier), contre 27,5 % au niveau départemental[I 16].
Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[70] :
Lilat, supermarchés (23 164 k€)
Sariege, supermarchés (15 634 k€)
Societe De Negoce Ariegeoise De Materiaux - Snam, commerce de gros (commerce interentreprises) de bois et de matériaux de construction (8 487 k€)
Phoebus, supermarchés (2 112 k€)
Valdistri, autres commerces de détail en magasin non spécialisé (1 948 k€)
Le budget de la ville était de 18 millions d'euros en 2013[71].
Agriculture
La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Région sous-pyrénéenne »[72]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est l'élevage d'herbivores hors bovins, caprins et porcins[73].
1988
2000
2010
Exploitations
23
19
13
Superficie agricole utilisée (ha)
539
649
534
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 23 lors du recensement agricole[Note 13] de 1988 à 19 en 2000 puis à 13 en 2010[73], soit une baisse de 43 % en 22 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 48 % de ses exploitations[75]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 539 ha en 1988 à 534 ha en 2010. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 23 à 41 ha[73].
Artisanat
Confitures et traditions de la maison Joucla, pont du Baup.
Industrie
Comme quelques communes situées au fil de l'eau, Saint-Lizier a un passé industriel, notamment une usine de filature et des papeteries.
Santé
Le centre hospitalier Ariège Couserans (CHAC) se trouve sur le territoire de la commune à Rozès. Il est le résultat de la fusion en 1995 de l'hôpital général et du centre psychiatrique de Rozès, ce dernier héritier de l'asile psychiatrique (1811-1969) autrefois situé dans le Palais des Evêques. En 2014, il comptait plus de 1 000 salariés dont 79 médecins et son budget de fonctionnement était de 64 millions d’euros[76].
La plupart de l'activité commerciale se trouve dans la zone commerciale de l'agglomération saint-gironnaise, située au nord de la commune, qui regroupe des enseignes nationales.
Le centre-village compte quelques commerces et ceux-ci sont essentiellement liés au tourisme : boulangerie, galerie d'art, potier, salons de thé, restaurants...
Des producteurs locaux et bio proposent leurs produits sur la place de l’église chaque mercredi de 8 à 14 heures.
Tourisme
Le village a fait partie de l'association « Les Plus Beaux Villages de France » de 1992 à 2012. L'importante présence des voitures dans le centre historique et le développement de la zone commerciale à proximité du village remettant son statut de membre en cause, la municipalité a préféré renoncer à son adhésion en raison des investissements élevés nécessaires pour y remédier[71].
Depuis 2007, Saint-Lizier fait partie des Grands Sites Occitanie dans « la collection Ariège[77] », une appellation créée par la région qui permet d’identifier les sites touristiques qui présentent un intérêt incontournable mais également de préserver et de valoriser des richesses patrimoniales, culturelles ou naturelles reconnues comme étant remarquables sur le plan national et international dont la cité d'art et d'histoire de Saint-Lizier.
Des investisseurs privés ont permis l'installation d'un restaurant gastronomique, « Le Carré de l'Ange » et d'une résidence de tourisme dans les bâtiments de l'ancien hôpital. Deux grands salons permettent également la tenue de réunions. La résidence a dû cesser son activité fin 2018, mais le Conseil départemental, devenu seul propriétaire des lieux, engage fin 2020 3,9 millions d'euros de travaux pour achever l'aménagement du site et confie la gestion de la résidence de tourisme (81 logements) à « Terres de France », société créée en 2007 spécialisée dans l'hébergement touristique[78]. Les 56 premiers logements touristiques rénovés sont loués dès la mi- et 25 autres suivront[79].
Vie pratique
Service public
L'Agence postale communale a été fermée au public. Seuls existent les services de la mairie.
De nombreuses associations existent sur la comme :
Les Consorani : animations antiques et médiévales ;
Au pays des Traces - L’Œil aux aguets : activités naturalistes (ichnologie), archéologie, artisanat (vannerie, outillage en bois), à l'ancienne ferme de Miguet ;
Cyber-base : Initiation à l'informatique et à internet ;
La déchetterie la plus proche se trouve à Palétès, route de Lacourt à Saint-Girons. L'entreprise Saica Natur Sud (anciennement Llau) est une importante entreprise industrielle de recyclage et de valorisation ; elle est installée sur la zone industrielle du Couserans, sur la commune voisine de Lorp-Sentaraille. Elle achète au poids des métaux, papiers, etc.
Culture locale et patrimoine
Lieux et bâtiments
94 immeubles et objets de la ville sont classés au titre des monuments historiques[71].
Ancien Hôtel-Dieu de Saint-Lizier, accolé à la cathédrale Saint-Lizier, acquis par la commune en 2010[80] et inscrit à l'inventaire des monuments historiques en 2005. Il comprend notamment :
Le Palais des Évêques, initié par l'évêque Bernard Coignet de Marmiesse (1619-1680), est devenu un musée départemental de l'Ariège, présentant ses collections d'histoire locale dans l'ancienne résidence des évêques du Couserans, et l'ancienne cathédrale Notre-Dame-de-la-Sède, dont les peintures de la fin du XVe siècle présentes sur les murs et les voûtes de l'édifice ont été restaurées récemment. Inscrit au titre des monuments historiques en 1993.
A. Lebeuf, L'observatoire astronomique de la cathédrale de Saint -Lizier en Couserans, Publ.obs.astron.Strasbourg, 1989
Jacques Pince, La cathédrale Notre-Dame de la Sède, Imprimerie Maury, 1983 1984
Jean Icart, Les Consoranni, "L'Ariège à Paris", bulletin de l'Amicale des Ariégeois de Paris, no 56, 4e trimestre 2001 et no 57, 1er trimestre 2002
Jean-Pierre Bareille, Michel Caujolle, Étienne Dedieu, Charles Geny, Simone Henry, Augusta Morère, Jacques Pince Saint-Lizier en Couserans, Imprimerie Maury, 1991
Jean-Pierre Bareille, R. Sablayrolles, « Saint-Lizier en Couserans », dans Villes et agglomérations urbaines antiques du sud-ouest de la Gaule, histoire et archéologie (Bordeaux, 1990), Actes du deuxième colloque Aquitania (Supplément à Aquitania), Bordeaux, 1992, p. 149-151
John Ottaway, Entre Adriatique et Atlantique, Saint-Lizier au premier âge féodal, catalogue d'exposition, Saint-Lizier, 1994
André Ortet, un asile d'aliénés : Saint-Lizier, 1811-1969, Cazavet, 2004
↑Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
↑La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[7],[8]
↑Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[28].
↑Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
↑Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
↑Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
↑L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
↑Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
↑L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
↑Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[74].
↑ a et bDaniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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↑[Guilaine 2013] Jean Guilaine, « Archéologie Préhistorique de la violence et de la guerre. Quelques réflexions et hypothèses », Cuadernos de prehistoria y arqueologia de la Universidad de Granada, no 23, , p. 9-23 (ISSN2174-8063, lire en ligne [sur revistaseug.ugr.es], consulté le ).
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↑Julien Sacaze, « Les anciens dieux des Pyrénées - nomenclature et distribution géographique », Revue de Comminges, , p. 203 (lire en ligne)
↑Chloé Delbès, « Foix. Saint-Lizier : l'abbé Heuillet condamné », La Dépêche, (lire en ligne, consulté le ).
↑Coll., À Travers Les Pyrénées Inconnues, Saint-Girons et le pays de Couserans, Nîmes, Lacour, coll. « Rediviva », , 175 p. (ISBN978-2-7504-1455-9 et 2-7504-1455-5)
réimpression d'un guide touristique des années trente.