Cette liste, non exhaustive, vise à présenter les principaux tableaux de la collection de peintures du musée des Beaux-Arts de Chartres.
Historique des premiers catalogues
La première édition du catalogue, réalisée en 1863 par P. Anctin, sous le titre « Catalogue des tableaux et sculptures du Musée de Chartres », liste 95 peintures (24 pages)[Bellier 1875 1] ;
En 1875, la deuxième édition, publiée par Émile Bellier de La Chavignerie, recense 146 œuvres, dont 100 attribuées à un auteur identifié[Bellier 1875 2] ; chaque artiste est accompagné d'une courte biographie et ses œuvres munies d'une description précise (93 pages) ;
En 1882, la troisième édition, publiée au nom du musée, en comporte 158, dont 107 d'auteurs nommés (135 pages)[1] ;
En 1893, la quatrième édition est à nouveau signée par Bellier qui recense alors 199 peintures, sans compter les collections Layé (34 peintures, du no 395 au no 428) et Justin Courtois (72 peintures, du no 453 au no 524), soit 305 œuvres (184 pages)[Bellier 1893 1] ;
Sainte Catherine d'Alexandrie et Saint André, huile sur toile, 55 × 31 cm, don Justin Courtois, 1888 (inv. 5640)[a], précédemment attribué par Bellier en 1893 à Giovanni Lanfranco[Bellier 1893 3].
Sainte Famille ou La Vierge et l'Enfant Jésus entre Sainte Barbe et Saint Dominique, huile sur cuivre, 38 × 29 cm, collection Courtois (inv. 5639)[Bellier 1893 4],[Vallès-Bled 2].
Lever de Vénus (école de), gouache ovale, 37 × 30 cm, don de M. de Bassoncourt en 1892[Bellier 1893 5] ;
Le coucher de Vénus (école de), gouache ovale, 37 × 30 cm, don de M. de Bassoncourt en 1892[Bellier 1893 5] ;
Le petit joueur de flûte (Jeune berger endormi), bois, 17 × 21 cm, collection Courtois : « Un jeune berger, vêtu d'une veste rouge et tenant une flûte, dort couché sur le dos entre son chien à gauche et ses moutons à droite »[Bellier 1893 6],[10].
La mort des fils de César (Brutus commandant ses fils), toile 19 × 32 cm, esquisse, copie du tableau de Léthière, au Luxembourg en 1875, au Louvre en 1893 ;
Étude pour Oreste et Pylade investis par les bergers, crayon noir sur papier 21 × 31 cm, don de l'Association des amis du musée des Beaux-Arts de Chartres, 2018[11].
Bacchus et Érigone (Une Bacchante), huile sur toile 154 × 202 cm, 1827, provenant de la collection Louis La Caze, dépôt du musée du Louvre[12] ;
La délivrance de saint Pierre (Saint Pierre délivré par un ange), huile sur bois 30 × 28 cm, acquisition en 1876 à la vente Camille Marcille ; il figurait au catalogue sous le no 10 (inv. no 3805)[Bellier 1893 8].
Portrait d'un ecclésiastique, huile sur toile, 74 × 52 cm, 1727, achat en 1872 par Camille Marcille et Émile Bellier de la Chavignerie (inv. no 3438)[Bellier 1875 7],[Joubeaux 2].
Portrait du conventionnel Brissot de Warville, né à Ouarville, le 14 janvier 1754, décapité à Paris le 31 octobre 1793, toile, 60 × 48 cm, 1846, don de l'auteur[Bellier 1875 7].
Portrait d'homme tenant un œillet ou L'homme à l’œillet, portrait de Marx Schwab, huile sur bois, 45 × 36 cm, 1515, d'après un tableau original de Leonhard Beck (1480-1542), don de Justin Courtois, 1888, auteur inconnu de Bellier en 1893 (inv. 5645)[Bellier 1893 10],[Vallès-Bled 4].
Autrefois attribué : Portrait de Turenne, toile ovale, 63 × 53 cm, « provenant probablement de Crécy », un des châteaux de Madame de Pompadour, XVIIe siècle, acquis en 1866 à la vente Lamésange de Dreux (no 23, photogravure planche V)[Bellier 1875 9],[Langlois 4].
Le singe antiquaire, huile sur toile, 28 × 23 cm, Salon de 1740, don Mme Garnier-Courtois, 1898 (inv. 6596)[15],[Vallès-Bled 5] ;
Le singe peintre, huile sur toile, 28 × 23 cm, 1735, Salon de 1740, don Mme Garnier-Courtois, 1898, réplique d’une œuvre du musée du Louvre (inv. 6597)[16],[Vallès-Bled 6] ;
Nature morte, toile, 32 × 40 cm, attribué à Chardin par M. Courtois[Bellier 1893 16] ;
Copie anonyme de Le Jeu de l'Oie, toile, 44 × 35 cm, collection Courtois[Bellier 1893 16].
Les jeux de l'enfance, toile, 123 × 92 cm, acquisition en 1859, provenant de la collection de M. David de Thiais : « Des enfants nus et ailés jouent avec un mouton, sur lequel l'un d'eux est à cheval, au milieu d'un paysage »[Bellier 1875 10].
Boulevard des Capucines à Paris, 1814, huile sur toile, 65 × 81,5 cm, achetée à Mme Souchay, sœur de l’artiste, en 1873 (inv. 3492) ; la vue est prise de la maison de Prévost, maintenant le no 29 du boulevard[Bellier 1875 11],[Vallès-Bled 7] ;
Cours fait par Prévost pour apprendre à peindre les panoramas (Cochereau et Augustin Massé), huile sur toile, 51 × 64 cm (inv. 7114)[Bellier 1893 19] ;
Cité en 1893 : Intérieur de l'atelier de l'artiste (Autoportait du peintre Mathieu Cochereau dans son atelier), huile sur toile, 49 × 59 cm, 1er quart du XIXe siècle ; exposé en 2023 au musée des Beaux-Arts et d'Histoire Naturelle de Châteaudun.
Le repos des chevaux, huile sur toile 60 × 102 cm, réplique postérieure du tableau peint vers 1855, dépôt du musée du Louvre (inv. RF 1590 ; peint-53)[Vallès-Bled 8],[4],[19].
La Vierge et l'Enfant (Le Sommeil de l'Enfant Jésus), toile 92 × 72 cm, 1732, don de Mme Massot-Delaunay, 1871 (inv. no 3270) : « La Vierge assise veille sur son fils endormi dans un berceau, entouré de draperies rouges, et ramène sur lui ces draperies. »[20] ;
Jésus et saint Jean jouant avec un mouton, toile, 79 × 115 cm[Bellier 1875 17].
Têtes de seigneurs, toile, 50 × 66 cm, legs Courtois, no 491, « copie d'une partie de l'apothéose de Henri IV dans la galerie de Médicis au Louvre, représente Roger de Bellegarde et le marquis de Sillery, d'après l'inventaire Courtois »[Bellier 1893 23],[Langlois 6].
Galerie des illustres, huiles sur toile, fin XVIe siècle-début XVIIe siècle, 25 portraits (inv. no 6966) ; l'ensemble, témoin de la décoration initiale du palais dans la salle dite des Portraits, comporte 74 ou 75 portraits : « Environ la moitié d'entre eux regroupe les grandes figures historiques du XVIe et XVIIe siècles, l'autre moitié représente les personnages de la mythologie de l'Antiquité grecque ou romaine »[Vallès-Bled 13] ;
Histoire d'Abraham, provient du décor de l'ancien évêché, 2e quart du XVIIe siècle[Joubeaux 4] :
Dieu apparaît à Abraham (et lui annonce son innombrable postérité), huile sur toile, 138 × 108 cm (inv. no 6963 ou no 7585) ;
L'Ange apparaît à Agar enceinte et lui ordonne de retourner vers sa maîtresse, huile sur toile, 141 × 101 cm (inv. no 7585) ;
L'Ange apparaît à Agar et Ismaël chassés dans le désert par Abraham, huile sur toile, 136 × 76 cm (inv. no 7585).
Portrait de femme, XVIIe siècle, legs Courtois, no 508[Langlois 7] ;
Virginie Pariturae, huile sur toile, 29 × 19 cm, XVIIe siècle (inv. no 986)[Vallès-Bled 14] ;
La Visitation, toile, 189 × 148 cm, copie ancienne d'un tableau de Raphaël conservé dans la sacristie du monastère royal de Saint-Laurent (l'Escurial, Espagne), don de Mme Noury-Coquart, en 1889[Bellier 1893 24].
Pietà, huile sur toile, 146,5 × 151,5 cm, début du XVIIe siècle, d'après Annibale Carracci (Bologne, 1560 - 1609, Rome) (inv. no 2011.0.1847)[11] ;
Portrait de Ferdinand Gonzague, duc de Mantoue (1587-1626), huile sur toile, 61 × 48 cm, Italie ?, début du XVIIe siècle ?, don de M. d'Aligre en 1845 (inv. no 5401)[Joubeaux 5] ;
Paysanne de la campagne romaine, huile sur toile, XVIIe siècle, 99 × 74,5 cm (inv. no 3483)[Vallès-Bled 15].
Artiste peintre ou Autoportrait présumé de William Everdyck, huile sur bois, 26,2 × 21,5 cm, vers 1661, conservé au château d'Azay-le-Rideau(inv. no 49-7-2)[Vallès-Bled 17],[29].
L'Eure aux Trois Ponts à Chartres (Vue des Trois-Ponts, près Chartres), huile sur toile, 45 × 36 cm, don de Mme Fournier des Ormes[Bellier 1875 21],[13] ;
Esquisse pour le tableau Entrevue du duc[f] et de la duchesse d'Angoulême[g], papier (encre, lavis) 21 × 31 cm, vers 1824, don de l'Association des amis du musée des Beaux-Arts de Chartres, 2022[31],[11] ;
Éducation de Bacchus (Enfance de Bacchus), huile sur toile 172,5 × 130,5 cm, Salon de 1844, don de l’État en 1852 (inv. no 2009.101.1)[33],[Bellier 1875 31].
Portrait de femme (Portrait d'une dame en robe verte. Mme Piogey ?), huile sur toile 64 × 55 cm, dépôt du musée du Louvre (inv. MNR 189 ; D. 61.1.1)[4],[5].
Portrait d’Érasme, huile sur bois, 36,1 × 27, (inv. no 48-12-1) : « soit une des versions, soit une copie de l'un des prototypes iconographiques d'Holbein, conservé à Longford Castle »[Vallès-Bled 19].
Eugène de Jonquières (Grasse, 1850 - 1919, Paris), amiral, poète et dessinateur ; seize de ses dessins sont référencés dans la plateforme ouverte du patrimoine[37], dont :
Maraou, reine de Tahiti en 1880, cinq ans après son mariage avec Pomaré V, fusain sur carton, 31 × 18,5 cm ;
Manini, sœur de la reine de Tahiti, fusain sur carton, 31,7 × 20,6 cm ;
Pomaré V, roi de Tahiti, fusain sur carton, 22,5 × 15,5 cm ;
Tahitienne, fusain sur papier, 50,5 × 39,4 cm ;
Lac de Vahiria, une mer morte perdue dans les montagnes du centre, Tahiti, fusain sur papier, 24 × 32 cm ;
Vue du mouillage de Rapa, fusain sur papier, 40,6 × 59,5 cm ;
Mahiahana ; danseuse d'Atuona, iles Marquises, fusain sur papier, 47,2 × 31,2 cm ;
Danseur marquisien, fusain sur papier, 41,5 × 29,7 cm ;
Teapaï - Huaheïne, portrait de femme de Polynésie française, aquarelle sur papier, 23,5 × 20,4 cm ;
Taïpihau ; Anaïapa, portrait d'homme tatoué de Polynésie française, fusain sur papier, 38,3 × 27,8 cm ;
Nouvelle attribution en 2023 de Saint André et Sainte Catherine, toile, 55 × 31 cm, collection Courtois[Bellier 1893 3] ; ce tableau, exposé, est attribué à Jacopo Amigoni (inv. 5640).
Portrait de Fontenelle (attribué à), toile, 62 × 46 cm, collection Courtois (inv. 5632)[Bellier 1893 36] ; « le personnage représenté est un homme âgé, dont les traits ne permettent pas de conclure avec certitude qu'il s'agit bien de Fontenelle »[Vallès-Bled 21] ;
Portrait de Charles Gobinet, docteur en Sorbonne, principal du collège du Plessis, écrivain religieux (d'après), huile sur toile 60 × 49 cm, acquisition, quatrième quart XVIIe siècle (inv. 3544)[Bellier 1875 34],[38].
Nu féminin, huile sur toile 81 × 117 cm, 1920-1930, probablement exposé au Salon des artistes tunisiens de 1927, don de Jacques Lemare, petit-fils (« acquisitions récentes » présentées en 2023)[39],[11].
Portrait de François de Villiers Saint-Paul, sieur de Marquéglise, toile, 80 × 65 cm, acquisition à la vente Lamésange à Dreux en 1867[Bellier 1875 37].
L'ange Raphaël, bois, 81 × 53 cm, provient de l'hôtel Lambert, pour la décoration duquel il a été fait, acquis en 1876 à la vente de M. Marcille (no 44)[Bellier 1893 40].
Camille Marcille (1816-1875), fils du précédent et conservateur du musée de Chartres à partir de 1862
Enterrement d'un petit enfant en Beauce, 78 × 62 cm, 1869 : « Un prêtre et son enfant de chœur conduisent à l'église de Nogent-le-Phaye (Eure-et-Loir), le cercueil d'un petit enfant que porte le bedeau et que suit sa mère en larmes »[41] ;
Portrait de Mathieu Cochereau, peintre, né à Montigny-le-Gannelon (Eure-et-Loir) le 9 février 1793, mort en mer le 30 août 1817, toile, 55 × 47 cm, don de l'auteur en 1874[Bellier 1875 44] ;
Portrait de Le Blanc (Charles), conservateur du musée de Chartres : dimensions 118 × 85 cm[42],[40] ;
La Vierge, Marie-Madeleine et saint Jean au pied de la Croix, huile sur bois, 49 × 39 cm, don Justin Courtois, 1888 (inv. 5663). Attribué en 1893 par Bellier[Bellier 1893 43] et en 1906 par Langlois à Rogier van der Weyden (vers 1400-1464) sous le titre Saintes femmes au pied de la Croix (no 503, photogravure planche XIII)[Langlois 10],[Commons 19].
Portrait de l'abbé Jean-Nicolas-Augustin Calluet, chanoine honoraire, ancien principal du collège de Chartres, conservateur du musée de cette ville, né à Chartres le 5 mai 1791, mort à Chartres le 16 mai 1863, dessin rehaussé, 34 × 28 cm, 1863 (inv. no 253) ;
Portrait d'Adolphe Lecocq, archéologue, né à Chartres en 1815, mort en cette ville en 1881, dessin rehaussé, 27 × 18 cm, 1881, d'après Pidoux 1852 (inv. no 254) ;
Portrait de M. Mouton, ancien ingénieur des chemins de fer de l'ouest, conservateur du musée de Chartres, décédé à Chartres le 27 octobre 1885, dessin rehaussé, 33 × 25 cm, 1886, d'après le comte Blanc (inv. no 255) ;
Portrait de M. le docteur Paul Durand, archéologue distingué, conservateur du musée et de la bibliothèque de Chartres, dessin rehaussé, 35 × 24 cm, 1883 (no 256) ;
Portrait de M. Chaillant, entomologiste, conservateur du musée de Chartres, dessin rehaussé ovale, 30 × 22,5 cm, août 1853 (inv. no 257).
Paul Mignard (Avignon, 1641 - 1691, Lyon), neveu de Pierre Mignard le Romain
Copie de Le mariage mystique de sainte Catherine, huile sur toile 138 × 106 cm, provenant du Louvre en 1872, transfert de propriété de l’État à la ville de Chartres, février 2009 (inv. 2009.90.1)[Bellier 1875 46],[k] ;
Portrait de Jean-Baptiste Coquelin, dit Molière, poète comique, toile, 50 × 38 cm, 1657-1658, collection Courtois (inv. no 5617): « Au catalogue de la vente faite par M. Courtois, en 1876, il est attribué à Sébastien Bourdon : il n'aurait donc pas été vendu ; enfin dans l'inventaire Courtois, il est désigné comme de Ch. Lebrun »[Bellier 1893 46],[Vallès-Bled 25].
Suzanne entre les deux Vieillards, toile, 198 × 156 cm, attribué à Moya (notice du catalogue de vente de la galerie Péreire), acquisition en 1885[Bellier 1893 51].
Incendie de la cathédrale de Chartres, le 4 juin 1836, huile sur toile 179,5 × 260,5 cm, 1837 (inv. 3552)[13],[Vallès-Bled 8],[Commons 22] ; la vue est prise du Marché-aux-Chevaux, don de l’État[Bellier 1875 49].
Portrait de Marie-Louise (L'Impératrice Marie-Louise), huile sur toile, 59 × 46 cm, 1810 (?), legs Courtois (no 484, photogravure planche IV)[Langlois 11] ;
Portrait de Joséphine-Hortense Borghèse et son fils, toile, 40 × 31 cm ;
Portrait d'Hortense Beauharnais, toile, 40 × 32 cm, « semblable à celui du Louvre » ;
Psyché enlevée par les zéphyrs, bois, 29 × 22 cm, « réplique du magnifique dessin faisant partie de la collection Marcille » ;
Zéphyr prisonnier, bois, 24 × 16 cm, « Tantale au milieu des eaux, collection Jacquinot de Pampelune - Fait à Dijon, par Paul Prud'hon, le 17 octobre 1776 » ;
La Tribu indienne, esquisse, toile, 16 × 13 cm, « Le roman, la Tribu indienne, par Luc Bonaparte ».
L'Été, 350 × 507 cm, 1873 (inv. no 110)[Bellier 1875 50],[Langlois 12] ; affecté au musée de Chartres de 1874 à 1985, puis au musée d'Orsay par le musée du Louvre[48]
Site solitaire pris aux environs de la Grande Chartreuse de Grenoble ; effets du soir (Vue des environs de la Grande Chartreuse) (Site sauvage ; souvenir des alentours de la Grande Chartreuse de Grenoble), huile sur toile 117,3 × 197,7 cm, don de l’État (inv. 3554)[49],[Bellier 1875 51],[11].
Judith, toile, 102 × 132 cm, « copie italienne du tableau du Guide, provenant du Louvre, donnée par l'administration des Beaux-Arts en 1872 » ;
Apollon et les Muses, toile, 58 × 124 cm, « copie ancienne d'un plafond du Guide qui se trouve au palais Rospogliosi », don de Mme Massot-Delaunay en 1871 ;
Apollon et les Muses, toile, 106 × 155 cm, « copie ancienne du même plafond du palais Rospogliosi », acquisition du musée en 1854.
Une ferme à Ouerray, 1844, huile sur toile 33 × 46 cm[13] ;
Roches de Piégut (Côtes-du-Nord), toile, 78 × 120 cm, exposé à Chartres en 1869, acquisition à la même date[Bellier 1875 60] ;
Les chênes de Kertrégonnec, Salon de 1870, huile sur toile 135 × 204 cm, transfert de propriété par l’État à la ville de Chartres, arrêté du (inv. 11532 ; RF 555)[4] ;
Les Ajoncs en fleurs. Côtes du Nord, huile sur toile 195 × 202 cm, Salon de 1876, dépôt du musée du Louvre, 1946 (inv. RF 556)[4] ;
Portrait à la chandelle d'Émira Marceau, 1779, pastel acquis par le musée grâce à Jules Belleudy, « l'érudit historien de Baléchou, qui lui assura la possession, de ce pastel, convoité par le Musée Carnavalet »[54] ;
Convois des Abus, aquatinte, avril 1789[55],[13] ;
Chartres, vue des Petits Près, gouache 28,5 × 41,3 cm[13].
Le retour du marché, huile sur toile, 97,5 × 131 cm, vers 1855, dépôt du musée du Louvre en 1976, puis affecté au musée d'Orsay (inv. RF.1899)[Vallès-Bled 10],[58],[59] ;
Moutons (Étude de moutons, La Rentrée à la ferme), huile sur toile, 36 × 26 cm, collection Courtois, « tableau de Troyon actuellement au Louvre » (inv. 5621)[Bellier 1893 61] ;
Marine, huile sur toile, legs Mme Chasles, 1988 (inv. 88.4.98) ;
Marine (Paysage rocheux avec rivière), huile sur toile, 62 × 97 cm, « le pendant de ce tableau est au Musée d'Orléans », don de M. le marquis de La Rochejaquelein en 1839, (inv. 439)[Bellier 1875 62],[Vallès-Bled 27] ;
Marine, toile, 30 × 47 cm, collection Courtois, « tableau inachevé attribué à Vernet »[Bellier 1893 33].
Sainte Lucie, huile sur toile, 116 × 68,5 cm, vers 1635-1640, fait pendant à un autre tableau de Zurbaran, Sancta Polonia (Louvre), provenant tous deux du couvent San José de la Merced Descalza de Séville, acheté à la vente Marcille de 1876 (inv. 3807)[Bellier 1893 65],[Vallès-Bled 29],[Commons 33] ;
Un Franciscain, toile, 67 × 55 cm, acquisition en 1859 à la vente David de Thiais, à Chartres[Bellier 1875 64].
Notes et références
Notes
↑Les œuvres mentionnant un numéro d'inventaire ont été exposées depuis 2014 : ce numéro est celui figurant sur les cartels décrivant les œuvres.
↑Sébastien Bourdon est également l'auteur de deux toiles qui ornaient le maitre-autel de la collégiale Saint-André de Chartres, éléments dispersés lors de la fermeture au culte en 1791 : Le Christ entouré d'anges et Le Martyre de saint André (voir l'article sur Sébastien Bourdon).
↑Tableau présenté à la chapelle expiatoire de Paris du 24 avril au 17 septembre 2023 lors de l'exposition « Le seul homme de la famille. La duchesse et le duc d'Angoulême ».
↑Peut-être le suivant ou le peintre de la Marine brestois Pierre-Julien Gilbert (1783-1860).
↑Ces trois peintures font partie de la donation en 1991 de Florence Marinot, fille de Maurice Marinot, qui comprend onze peintures et dix-neuf dessins et aquarelles.
↑Un second tableau portant le même titre est présenté au musée de l'Ermitage à Saint-Pétersbourg (Russie).
↑Titré par Langlois en 1906 « Portrait de La Quintinie et de sa femme (no 121) » (vue 43/122).
↑ abcdefghijklmnopqrs et tGuy Briolet, Martine Dumortier, Françoise Lécuyer-Champagne, Jean-Pierre Pierre-Ivan, Maïté Vallès-Bled (préf. Martial Taugourdeau), L'Eure-et-Loir et les peintres, Chartres, Jean Legué, , 169 p. (ISBN9782950074539), p. 163 à 165.
↑Musée du Louvre, « Paysage d'Italie », sur collections.louvre.fr, .
Musée des Beaux-Arts de Chartres, Notice des peintures, dessins, sculptures, antiquités et curiosités qui composent le musée de Chartres (3e édition), Chartres, imprimerie Édouard Garnier, , 172 p. (BNF40372226, lire en ligne) ;
Philippe Bellier de La Chavignerie, Notice des peintures, dessins, sculptures, antiquités et curiosités exposés dans le musée de Chartres. 4e édition, Chartres, impr. de Garnier, , 212 p. (BNF30080668, lire en ligne) ;
Marcel Langlois, Le Musée de Chartres - 28 gravures : Antiquité, moyen âge, renaissance, temps modernes ; peinture, sculpture, dessin, histoire naturelle, Chartres, Société archéologique d'Eure-et-Loir, , 122 p. (BNF30735918, lire en ligne) ;
Maïthé Vallès-Bled (conservateur du musée de Chartres) (préf. Georges Lemoine), Guide du Musée, Chartres, musée de Chartres, , 157 p. (ISBN2-902549-08-3), p. 61-91 ;
Hervé Joubeaux (conservateur du musée de Chartres) (préf. Georges Lemoine), Avant Après, restaurations récentes dans les collections du musée, exposition du 3 juillet au 29 septembre 1997, Chartres, Musée des Beaux-Arts, , 131 p. (ISBN2-902549-17-2), p. 11-33.