Un nouveau découpage territorial de la Drôme entre en vigueur en mars 2015, défini par le décret du 20février 2014[2]. Dans la Drôme, le nombre de cantons passe ainsi de 36 à 19. La composition du canton de Valence-1 est remaniée.
Représentation
Représentation avant 1973
Conseillers d'arrondissement (de 1833 à 1940)
Liste des conseillers d'arrondissement successifs du canton de Valence
À l'issue du 1er tour des élections départementales de 2015, deux binômes sont en ballottage : Françoise Casalino et Wilfrid Pailhes (Union de la Gauche, 32,56 %) et Aurélien Esprit et Béatrice Teyssot (Union de la Droite, 31,17 %). Le taux de participation est de 51,12 % (10 899 votants sur 21 320 inscrits)[18] contre 53,14 % au niveau départemental[19]et 50,17 % au niveau national[20].
Au second tour, Aurélien Esprit et Béatrice Teyssot (Union de la Droite) sont élus avec 51,59 % des suffrages exprimés et un taux de participation de 52,54 % (5 393 voix pour 11 203 votants et 21 321 inscrits)[21].
Le premier tour des élections départementales de 2021 est marqué par un très faible taux de participation (33,26 % au niveau national)[22]. Dans le canton de Valence-1, ce taux de participation est de 31,3 % (6 859 votants sur 21 915 inscrits)[23] contre 34,1 % au niveau départemental[24]. À l'issue de ce premier tour, deux binômes sont en ballottage : Aurélie Alléon et Aurélien Esprit (Union à droite, 37,34 %) et Denis Cluzel et Marie Montmagnon (Union à gauche avec des écologistes, 23,81 %)[23].
Le second tour des élections est marqué une nouvelle fois par une abstention massive équivalente au premier tour. Les taux de participation sont de 34,3 % au niveau national[25], 34,41 % dans le département[24] et 33,12 % dans le canton de Valence-1[23]. Aurélie Alléon et Aurélien Esprit (Union à droite) sont élus avec 58,2 % des suffrages exprimés (3 965 voix pour 7 259 votants et 21 917 inscrits)[23],[26],[27].
Composition
Composition de 1973 à 2015
Lors de sa création, le canton de Valence-I se composait de la portion de territoire de la ville de Valence déterminée par l'axe des voies ci-après : à l'ouest, le Rhône, au sud, l'avenue Gambetta, place de la République, boulevard Général-de-Gaulle, rue des Alpes, rue de Mulhouse, place Lamartine, rue La Pérouse, rue de l'Armée-Belge, place Gardon, rue de Coulmiers, rue du 4-Septembre, à l'est, rue Jean-Jaurès, avenue de Chabeuil, rue Montplaisir, au nord-est, avenue de Romans, route nationale no 92 et, au nord, limites des communes de Valence et Bourg-lès-Valence (jusqu'au Rhône)[1].
Son territoire est réduit par décret du ; il est alors composé de la portion de territoire de la ville de Valence délimitée par le Rhône, la limite de la commune de Bourg-lès-Valence (entre le Rhône et l'avenue de la Marne) et l'axe des voies ci-après : avenue de la Marne, avenue de Romans, rue Montplaisir, avenue de Chabeuil, rue Jean-Jaurès, rue du Pont-du-Gât, rue Dérodon, chemin du Ruisseau, rue des Moulins (de l'intersection du chemin du Ruisseau à l'intersection du cours Voltaire), cours Voltaire, place de la Paix, rue Genissieu, avenue de l'École-Normale, rue Paul-Bert (jusqu'à la rue de la Cécile), pont de la Cécile (sur la voie S.N.C.F.), rue de la Cécile, avenue Victor-Hugo, rue Rabelais, avenue Maurice-Faure, avenue de Valensolles, allée de l'Epervière (jusqu'au croisement de l'allée des Petits-Champs), allée des Prés et ruisseau de l'Epervière jusqu'au Rhône[3].
la partie de la commune de Valence située à l'est d'une ligne définie par l'axe des voies et limites suivantes : depuis la limite territoriale de la commune de Bourg-lès-Valence, rue de la Belle-Meunière, route de Romans, route nationale 532, boulevard John-Fitzgerald-Kennedy, boulevard Winston-Churchill, rue Wolfgang-Amadeus-Mozart, chemin des Huguenots, chemin de Thabor, rue Emmanuel-Chabrier, route de Montélier (route départementale 119), jusqu'à la limite territoriale de la commune de Chabeuil.
(Sources : Base Insee, population municipale à partir de 2013[30].)
Notes et références
Notes
↑Pour éviter une trop forte concentration des scrutins, la loi du 22 février 2021 a reporté les élections régionales et départementales de juin 2027 à mars 2028[17].
↑Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
↑https://maitron.fr/spip.php?article122526, notice MOCH Jules, Salvador par Justinien Raymond, version mise en ligne le 30 novembre 2010, dernière modification le 19 septembre 2017.
↑Loi du 22 février 2021 portant report, de mars à juin 2021, du renouvellement général des conseils départementaux, des conseils régionaux et des assemblées de Corse, de Guyane et de Martinique.