Il devient vicaire à Rouans (1945-1948) puis professeur et directeur spirituel à l'externat des enfants nantais (1948-1963), aumônier des étudiants et enseignants catholiques au Mali (1963-1968), secrétaire du comité épiscopal pour les missions à l'extérieur (1966-1972), chapelain de la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre à Paris (1972), curé de la paroisse Saint-François-Xavier à Paris (1973-1985) puis vicaire épiscopal (1981-1985)[1].
Adolphe-Marie Hardy, Dimensions personnelle et communautaire du sacrement de pénitence et de réconciliation, Paris, Association sacerdotale "Lumen gentium", , 16 p. (BNF34737375)[5]
Adolphe-Marie Hardy, La grâce d'un synode diocésain, Paris, Éditions Beauchesne, , 156 p. (ISBN2-7010-1232-5, BNF35465637)[6]
Adolphe-Marie Hardy, Tonton Ernest : missionnaire du Sacré-Cœur d'Issoudun en Papousie, Nouvelle-Guinée, 9 juin 1870-15 mars 1937, Mouzillon, A.M.Hardy, , 31 p. (ISBN978-2550254126, BNF36153662)[7]
Jean-Marie Jouaret, Petite histoire partielle et partiale de la Fédération sportive et culturelle de France (1948-1998), t. 1, Paris, FSCF (à compte d’auteur, imp. Déja-Glmc), (ISBN2-9528387-0-4).