Les complexes de fer(0) avec des diènesconjugués ont fait l'objet de nombreuses études. Dans la série du butadiène, on a pu cristalliser (η2-C4H6)Fe(CO)4 et (η2:η2-C4H6)(Fe(CO)4)2[5]. On connaît des complexes impliquant des butadiènes substitués ainsi que des espèces apparentées. Le (η4-isoprène)fer tricarbonyle est chiral[6].
↑(en) Dietmar Seyferth, « (Cyclobutadiene)iron Tricarbonyl — A Case of Theory before Experiment », Organometallics, vol. 22, no 1, , p. 2-20 (DOI10.1021/om020946c, lire en ligne).
↑(de) Hans Reihlen, A. Gruhl, G. v. Heßling et O. Pfrengle, « Über Carbonyle und Nitrosyle. IV », Justus Liebigs Annalen der Chemie, vol. 482, no 1, , p. 161-182 (DOI10.1002/jlac.19304820111, lire en ligne).
↑(de) H. D. Murdoch et E. Weiss, « Butadien-Eisencarbonyl-Verbindungen », Helvetica Chimica Acta, vol. 45, no 4, , p. 1156-1161 (DOI10.1002/hlca.19620450412, lire en ligne).
↑(en) René Grée, « Acyclic Butadiene-Iron Tricarbonyl Complexes in Organic Synthesis », Synthesis, vol. 1989, no 5, , p. 341-355 (DOI10.1055/s-1989-27250, lire en ligne).