Dinéault A situat a qualques quilomètres al nòrd-oèst de Châteaulin.
Lo bourg de Dinéault, en bretonDineol, se niche en los méandres del Aulne e a protegit pel un de las reünions de la Bretanha : lo Ménez-Òm (330 m).
Dinéault est situé à quelques kilomètres au nord-ouest de Châteaulin.
Le bourg de Dinéault, en bretonDineol, se niche dans les méandres de l'Aulne et est protégé par l'un des sommets de la Bretagne : le Ménez-Hom (330 m).
Dinéault a été classéeModèl:Quand pour quatre années dans le projet LIFE-Nature qui apporte son aide financière pour aider à la protection de la biodiversitéModèl:Refsou. À Dinéault, il s'agit en l'occurrence du site de Rosconec et de ses roselières. Désormais les roselières pourront être entretenues, car elles servent d'étape et de cantine sur le chemin migratoire d'une petite fauvette, le phragmite, qui part des grands marais de Pologne et d'Ukraine vers l'Afrique.
Événements
Le Passage, site naturel au bord de l'Aulne, accueille le festival de jazz Ménez-Hom Jazz et Découvertes le dernier week-end de juin[2] avec l'aide des associations locales et la municipalité.
La glèisa paroissiale Sainte-Marie-Madeleine du sègle XVII, restaurée au sègle XIX.
La chapelle Saint-Exupère (San Dispar en breton) au lieu-dit Loguispar, reconstruite en 1892-1893 tout en conservant le clocher et la façade de 1669.
En 1999, Dinéault a accueilli la première éolienne installée en Finistère, sur le site de Ménez-Braz. Quatre éoliennes fonctionnent actuellement en parc à Dinéault.
En 1913, un agriculteur de la commune découvrit la tête d'une statue gallo-romaine en bronze alors qu'il défrichait un champ, à Kerguilly (en Dinéault), au lieu-dit Gorre Arc'hoad. Le casque, de type celtique, présente des caractéristiques du modèle grec, et la base du cimier représente un oiseau prenant son vol (peut-être une oie sauvage)[3]. Après la Première Guerre mondiale, ce cultivateur entreprit de vérifier si le reste de la statue ne se trouvait pas sur le lieu de sa première découverte. Il trouva alors, dans une cavité creusée dans le sol le corps d'un personnage féminin qui aurait mesuré environ 70 cm, vêtu d'une longue robe à plis sans ceinture, ainsi que deux bras nus encore en place et des pieds chaussés de sandales. Le corps de la statue était malheureusement en mauvais état et se détériora encore davantage pendant la Seconde Guerre mondiale lorsque celle-ci fut enfouie à nouveau pour échapper à la récupération des métaux non ferreux. Le corps ne put au final être conservé. La statue fut acquise en 1972 par le musée de Bretagne (à Rennes) où elle est toujours exposée.
Cette statue, datée de la seconde moitié du sègle I fut surnommée la « Brigitte du Ménez-Hom » ou la « Déesse du Ménez-Hom »[4] par les archéologues.
Une copie de cette statue se trouve dans le hall de la mairie.
Personnalités liées à la commune
Amiral Te'Oar (Amiral Tu Sais), surnom breton du patron de la seule gabarre du « port » du Treiz[5].