Elle forme des ingénieurs en TIC en formation initiale et en formation continue. Elle a aussi des activités de recherche et développement. Son prédécesseur, l'ESPTT, avait pour vocation la formation des cadres travaillant dans le secteur des télécommunications et plus précisément la Poste tunisienne.
Sup'com est habilitée à délivrer les diplômes suivants :
Diplôme national d'ingénieur en télécommunications : études sur trois ans durant lesquelles le futur ingénieur apprend ce qui est nécessaire pour entamer sa carrière dans une entreprise de télecommunications[6] ;
Master en télécommunications : études en tronc commun sur trois semestres à l'issue desquels les étudiants ont le choix entre les options « Réseaux », « Contenu multimédia », « Circuits et systèmes des réseaux télécom » et « Système de transmission à haut débit » [8],[9] ;
Diplôme de doctorat en technologies de l'information et de la communication[10] ;
L'admission à Sup'com se fait par l'intermédiaire d'un concours national d'entrée en écoles d'ingénieurs mais aussi via un processus de sélection sur dossier des meilleurs étudiants issus de licences d'un établissement d'enseignement supérieur tunisien[15].
↑ a et bAnne-Marie Planel, Maghreb, dimensions de la complexité, Tunis, Institut de recherche sur le Maghreb contemporain, , 372 p. (ISBN978-2-821850-48-4, lire en ligne), p. 7.
↑Éric Gobe, Jalons pour une sociologie des ingénieurs au Maghreb, Aix-en-Provence, Institut de recherches et d’études sur le monde arabe et musulman, , 186 p. (ISBN978-2-906809-00-0, lire en ligne), p. 39.
↑Blandine Laperche, L'innovation pour le développement : enjeux globaux et opportunités locales, Paris, Karthala, , 250 p. (ISBN9782811100308, lire en ligne), p. 104.