L'École supérieure de commerce et de management (ou Escem) est une ancienne école de commerce née d'une fusion entre les écoles supérieures de commerce de Tours et Poitiers en 1998, puis de celle d'Orléans en 2012.
L'école supérieure de commerce ESC Poitiers est créée en 1961[1]. L'école supérieure de commerce ESC Tours est créée en 1982 dans le quartier des Fontaines. Elles fusionnent en 1998 pour créer l'ESCEM. La nouvelle école obtient en 2003 le visa de l'État et l’autorisation de délivrer le grade de master pour le programme grande école[réf. souhaitée]. En , l'établissement obtient l'accréditation AACSB International et EQUIS.
En , l'ESCEM obtient le visa de l’État pour le programme bachelor en management. Deux ans après, L'ESCEM fusionne avec l'École de commerce et de gestion d'Orléans[2], puis avec les ESC d'Amiens, de Brest et de Clermont-Ferrand pour former la France Business School (FBS). En , la FBS est dissoute, les écoles de commerce constituantes reprennent leur autonomie.
En 2016, l'ESCEM perd le grade master puis l'accréditation AACSB. Son programme grande école prend fin cette même année[3],[4].
En , le campus historique de Poitiers est fermé définitivement dans le cadre de la réorganisation des formations de l'ESCEM.
En 2019, Sup de La Rochelle propose son programme Master Grande École à l'ESCEM[6].
En 2020[7], l'ESCEM qui était en liquidation amiable depuis 2020[8] intègre le groupe Excelia avec 3 campus principaux à La Rochelle, Tours et Orléans[4].
En 2022, les locaux de l'école du quartier des Fontaines sont détruits, en vue de l'ouverture de nouveaux locaux pour l'école d'Excelia aux Deux-Lions d'ici 2024[9].
Formations
Formation initiale
L'ESCEM propose des bachelors (Bac+3) et des mastères (Bac+5) dans les domaines suivants :
bachelor en management international visé par l'État ;
bachelor en développement commercial visé par l'État ;
mastère en marketing et communication reconnu RNCP I ;
↑Matthieu Villeroy, « L'ECG d'Orléans fusionne avec l'ESCEM », dans La République du Centre, 7 février 2012, article en ligne sur le site de l'ECG Orléans.