Le torpilleur N° 4 fait partie des 7 torpilleurs du programme de 1876 de la marine française.
Il avait deux gros défauts : une stabilité et une provision d'eau pour la chaudière insuffisantes.
Défauts :
- le déplacement simultané de plusieurs hommes d'un bord à l'autre risquait de faire chavirer le bâtiment ;
- l'autonomie de la chaudière, pour une vitesse de 13 nœuds, était limitée à 45 min.
Carrière
En , il fut considéré comme « inutilisable » puis transformé en « aviso de flottille ».
Il fut baptisé Djoué et envoyé au Congo comme bâtiment de servitude[1].
Articles connexes
Références
- ↑ Henri Le Masson, Histoire du torpilleur en France, 1872–1940, Paris 7e, académie de Marine, , 377 p.