Cette voie, ouverte par un décret du , prend sa dénomination actuelle par un autre décret du [1].
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
No 2 bis : sous-station Auteuil. Immeuble qui abrite un transformateur électrique convertissant le courant électrique pour les besoins du métro de Paris.
No 19 : le cycliste André Leducq y vécut ; une plaque lui rend hommage.
No 23 : le sociologue Georges Sorel y a habité quelques années jusqu'en 1895.
Nos 25-27 : l'historien de Paris Jacques Hillairet mentionne dans les années 1960 la présence de deux hôtels particuliers de style néo-Renaissance érigés en 1880. Le no 25 a disparu, remplacé par un immeuble moderne, mais le no 27 existe toujours. L'historien notait par ailleurs la présence du couvent des religieuses Marie-Réparatrice au no 27[1], désormais aux nos 29-33, dans un ensemble de bâtiments plus récent.
No 28 : le journaliste et économiste russe Dimitri Navachine y a logé.
Nos 29-33 : couvent Marie-Réparatrice. Dans les années 1970, Jacques Hillairet situait au no 31 une église russe, catholique, de la Sainte-Trinité[4].
No 38, à l'angle de la rue Molitor : immeuble construit en 1968-1969 par l'architecte Jean Ginsberg.
No 51 : école élémentaire publique d'application.
No 65 : Jacques Hillairet mentionne dans les années 1960 la présence de l'église orthodoxe française de l'Apparition-de-la-Sainte-Vierge[1]. De nos jours un immeuble moderne.