Au XVIIIe siècle, l'évêque-comte d'Agde importe des barbarines à la laine rouge et à queue grasse qui connaissent un grand succès et une diffusion rapide. En 1936, des moutons algériens à toison rouge et à queue fine, sont importés à Port-Vendres. Ce sont le mouton oranais et le Beni M'guild. Ces deux populations ont pu se croiser[1]. Dans les années 1950, le déclin de l'élevage dans les régions littorales de la Méditerranée entraîne la quasi-disparition de la race jusqu'au plan de sauvegarde de 1981 qui fusionne les deux troupeaux (queue fine et queue grasse)[2].
Description
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Rustique, la race est appréciée pour sa fécondité et sa valeur laitière (croissance des agneaux)[3]. En 2005, ses effectifs étaient estimés à 5 200 têtes dont 6 700 reproductrices[4].
Galerie
Notes et références
↑Hubert Germain, Anne Rouquette, Olivier Gravas, « Sur les traces de la Rouge du Roussillon », sur brebisrougeduroussillon.fr, L'Association des éleveurs de brebis rouge des Pyrénées-Orientales (consulté le ).