Membre du parti politique Les Républicains depuis 2008, il rejoint la direction nationale du parti en 2019, en qualité de secrétaire général adjoint. En 2014, à l'âge de 24 ans, il est élu maire de Wattwiller et devient le plus jeune maire d’Alsace[3].
En , il intègre l’équipe thématique des Républicains au sein de laquelle il est chargé de l’étude des questions d’énergie.
En , il est nommé membre de l’équipe dirigeante et devient secrétaire général adjoint des Républicains chargé de la formation, de l’école des cadres et de l'Alsace.
Élections municipales
En 2014, il remporte les élections municipales dans sa commune natale de Wattwiller, face au sénateur-maire Jacques Muller sortant. À 24 ans, il devient ainsi le plus jeune maire d’Alsace[4].
À la suite de la loi sur le non-cumul de mandat, il cède son fauteuil de maire et devient conseiller municipal délégué.
En , la liste du maire sortant Maurice Busche sur laquelle il figure est battue par la liste de Mathieu Ermel, ne recueillant que 41,40 % des suffrages[5].
Élections départementales
En 2015, il est élu conseiller départemental du canton de Cernay. Au sein de l’institution, il préside le groupe majoritaire. En 2021, il est élu conseiller d'Alsace[6], et représente le canton de Cernay à la Collectivité européenne d'Alsace, avec sa binôme Annick Lutenbacher.
Raphaël Schellenberger est nommé en président de la commission d'enquête parlementaire visant à établir les raisons de la perte de souveraineté et d'indépendance énergétique de la France[10].
Après la dissolution de l'Assemblée nationale le , il se présente aux législatives sous l'étiquette LR. Il considère le ralliement d'Éric Ciotti au RN comme une trahison et souligne qu'il ne s'engagera « jamais dans une alliance avec l'extrême droite »[12].