Une première fois approché par Bernard Laporte, alors entraîneur du Stade français, il préfère rejoindre en 2000 le Stade montois, privilégiant alors une approche plus familiale qui lui permet également de travailler et s'assurer un métier.
C'est un joueur à l'état brut qui rejoint en 2000 le Stade français. Sous la direction de Nick Mallett, Il progresse techniquement mais il franchit encore un nouveau stade sous la conduite du nouvel entraîneur Fabien Galthié. Celui-ci associe à ses qualités de coureur et de plaqueur des qualités techniques qui lui permettent de perforer et de rester debout à l'impact, ce qui assure un déblayage plus rapide et permet d'accélérer le jeu.
En , il est invité avec les Barbarians français pour jouer un match contre le XV du président, sélection de joueurs étrangers évoluant en France, au Stade Ernest-Wallon à Toulouse[2]. Les Baa-Baas s'inclinent 26 à 33[3].
Il a honoré sa première cape internationale en équipe de France le contre l'équipe d'Angleterre. Il n'a cependant jamais réussi à s'imposer durablement en équipe de France, malgré quelques grands matchs (victoire en Afrique du Sud). Son erreur lors du match d'ouverture de la coupe du monde 2007 face à l'Argentine (interception argentine sur une de ses passes ayant entraîné l'essai argentin) lui coûte sa place de titulaire pour le reste de la compétition.
Il est rappelé par Marc Lièvremont en 2009 pour la tournée d'été à la suite du forfait du capitaine Nallet. Il est donc désormais considéré comme un deuxième ligne par ce staff du XV de France.