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Jean Cazelles[1], enseignant et auteur-photographe aveyronnais, déclare en date du 1er juin à la Préfecture de son département, la constitution de l’association Photofolies 12 afin de susciter la création photographique et de promouvoir sa pluralité.
Chaque année, en novembre, des rencontres ont lieu dans un site unique et momentanément désaffecté de la cité ruthénoise (casernes, bibliothèque municipale, hôtel de ville, école…).
Autour de grands noms de la photographie, de jeunes talents ont aussi leur place dans la catégorie Champs multiples.
1992
Sous l’appellation Photofolie, la première fête de la photographie annoncée par le ministère de la Culture et de la Communication voit le jour le . Après quelques tâtonnements, des relations finissent par s’établir entre l’association aveyronnaise née quatre ans plus tôt, et le Centre national de la photographie qui accepte de soutenir la manifestation provinciale par le prêt de grandes expositions.
Au fil des jours, Photofolies & Photofolie ne font plus qu’un, à la suite d'un rapprochement inévitable, pour devenir, avec ou sans « s », un rendez-vous pluriel.
2000
Réunis le en mairie de Rodez, les responsables interpellent les autorités culturelles partenaires publiques et privées pour leur suggérer une forme de manifestation moins contraignante.
Dès lors, déchargés des plus lourdes responsabilités administratives et logistiques, les membres de l’association Photofolies 12 s’orientent vers un éclatement des rencontres, intra-muros et extra-muros. À chaque structure appartient d’organiser sur son propre site une nouvelle exposition automnale conforme à une orientation thématique et culturelle proposée par l’initiateur de l’événement, toujours chargé de la coordination artistique.