Il évite les débats qui agitent l'opinion publique au sujet de la réforme agraire, mais il lance la sécularisation des biens des nombreux monastères roumains, permettant ainsi à des centaines de milliers de paysans de devenir petits propriétaires. Il unifie le système de santé publique, crée la direction générale des archives publiques et institue le Conseil de l'Instruction publique.
En 1866, Nicolae Crețulescu est un des membres fondateurs de l'Académie roumaine, qu'il préside de 1872 à 1873.