Issu dune famille très aisée, il ne torée que par pur plaisir et choisit volontairement de ne participer qu'à un très petit nombre de corridas[3].
Il a repris en 1985 la ganadería familiale, Jódar y Ruchena, dont la devise est issue d'un élevage du XVIIIe siècle et dont l'ancienneté à Madrid remonte à 1967[4].
Bibliographie
Robert Bérard (dir.), Histoire et dictionnaire de la Tauromachie, Paris, Bouquins Laffont, , 1056 p. (ISBN2-221-09246-5)