Libéral convaincu, il signe en 1847, avec seize autres citoyens, une protestation contre la brutalité avec laquelle la police a réprimé une manifestation réclamant des réformes pour Carlo Alberto (Carlo Alberto di Savoia).
Il est élu député au Parlement subalpin en 1848, battant Camillo Cavour. Il est réélu député en 1863 et dans les législatures suivantes, jusqu'à ce qu'en 1871 il soit nommé sénateur (à vie, comme c'est la coutume dans le royaume d'Italie).
En 1848, il fait partie des partisans de la première guerre d'indépendance et, en 1864, des opposants au transfert de la capitale de Turin à Florence. Il s'engage ensuite pour que l'engagement à faire de Rome la capitale définitive de l'Italie ne faiblisse pas, rejoignant ainsi l'Association libérale permanente (Associazione Liberale Permanente), un courant piémontais de la droite historique, présidé par Gustavo Ponza di San Martino.
Membre de la Commission des finances (1er février 1889-26 janvier 1898. Démission)
Membre de la Commission d'examen du projet de loi "Modifications de la loi sur le Conseil d'Etat" (13 février 1889)
Membre de la Commission de vérification des titres des nouveaux sénateurs (30 mars 1889-17 octobre 1900)
Membre de la Commission des Cinq [pour l'examen des documents soumis au Sénat à la suite de l'inspection gouvernementale des instituts d'émission] (23 décembre 1893-13 janvier 1895).
Membre de la Commission pour l'exécution de la loi sur l'abolition de la monnaie forcée (14 juin 1895)
Commissaire de surveillance de l'administration du fonds des cultes (27 décembre 1888-4 janvier 1889), (23 décembre 1889-27 septembre 1892).
Commissaire à la surveillance de la dette publique (31 janvier 1889-27 septembre 1892)