La liste des évêques de Maurienne — que l'on trouve parfois sous la forme évêque de Saint-Jean-de-Maurienne — présente la liste épiscopale des titulaires du diocèse de Maurienne.
Le diocèse de Maurienne est fondé, probablement vers 579[1], par le roi de BourgogneGontran, qui fait élever une cathédrale dédiée à Jean le Baptiste dans la ville de Maurienne, future Saint-Jean-de-Maurienne[2]. Depuis saint Felmase (v. 579), premier titulaire, ce sont soixante-dix évêques qui se succèdent sur le siège de Maurienne[3]. Certains auteurs anciens, comme Guichenon (XVIIe siècle), Besson (XVIIIe siècle) ou encore les chanoines Angley et Truchet (2e président de la S.H.A.M.) au XIXe siècle, ont pu placer, selon la tradition, des évêques non confirmés par les travaux plus contemporains, notamment ceux du chanoine Gros (4e président de la S.H.A.M.) ou encore l'historien Lovie (cf. section « Bibliographie »).
Les évêques de Maurienne sont considérés, au cours de la période médiévale, comme les « Légats Pontificaux pour la Savoie », ayant un rôle diplomatique notamment auprès des comtes de Savoie[3]. Au cours de la période d'occupation révolutionnaire, de 1803 à 1825, l’évêché est réuni à celui de Chambéry. Le diocèse est restauré en 1825 et depuis 1866, l'archevêque de Chambéry porte également les titres d'évêque de Maurienne et d'évêque de Tarentaise.
Les évêques de Maurienne
Premiers évêques
Joseph-Antoine Besson mentionne en 341 un premier évêque Lucien (Lucianus, episcopus Maurianensis), qui aurait participé à un concile de Rome[4] (repris dans la Gallia Christiana auquel Besson participe). Toutefois, certains auteurs mettent en doute cette affirmation[5], notant pour Dominique Roget de Belloguet (1796-1872), « Marianensi peut désigner un archevêque de Calabre, et Maranensi un évêque de Dalmatie » alors que dans les Travaux de la Société d'histoire et d'archéologie de Maurienne, il est rappelé l'erreur commise par Besson et d'autres qui ont inscrit « au catalogue de nos évêques un certain Lucianus, qui occupait le siège épiscopal de Mariana (Corse) en 337 »[6]. Par ailleurs, le « concile auquel assista ce Lucien est fort douteux », notamment pour l'année 341[7].
Trois autres évêques — Ruffus, Voconius et Boson — sont également avancés par Besson et Angley à sa suite, sans preuves véritables[4],[dm 1]. Le diocèse ayant été créé v. 579, Felmase en serait le premier titulaire[3].
Qualifié de bienheureux[20]. Cependant Prieur et Vulliez indiquent les différentes formes qu'a prises son nom et précisent que « certains auteurs, à tort, en ont fait deux personnages distincts »[20].
Besson[17] ; Angley précisant qu'il ne le fait qu'en citant Besson[dm 8]
Cité dans deux chartes (726 et 739) du patrice Abbon[11],[10]. La Gallia Christiana le désigne comme son oncle, tandis que certains érudits le considèrent comme le fils du duc Mero[21].
Toutefois, comme le souligne Truchet « L'histoire ne nous apprend aucune particularité de la vie de saint Emilien »[22],[23]. Le chanoine Gros observe une similarité entre sa tradition et celle d'un autre évêque, Émilien de Nantes, populaire en Bourgogne qui s'est également opposé aux Sarrasins, concluant qu'il « rejoint la liste des nombreux saints qui n'ont jamais existé »[23].
Présent aux conciles de Châlons en 915 et de Charlieu en 926[dm 19]
Angley indique un Saint Odilard qui le précède et qui aurait été tué avec l’archevêque d’Embrun, saint Benoît Ier par les Sarrasins lors d'un sac, mais dont il n'existe aucune trace dans les sources[dm 19],[28]. Martyr.
Besson indique à sa suite, un saint sans nom, tué à Embrun[17].
Placé dans ce siècle avant Eberard par Besson[dm 22], alors qu'il est précisé que le document servant de preuve, sans date, « n'est pas plus tard que les dix premières années de l'onzième siècle ». Ce placement est également corrigé par Mgr Billiet (1861)[30]
Participe en 1037 à l'assemblée de Romans[33], à une donation de Léger, archevêque de Vienne, puis une donation aux chanoines en 1040[30]. Donation[34].
Des auteurs ont pu le désigner, comme frère du comte Humbert[35], à l'origine de la dynastie des Humbertiens puis de la Maison de Savoie[32]. Donation commune des deux personnages, le [35],[36]. À propos de cette donation, Georges de Manteyer (1899) indiquait que « le premier [le comte Humbert] en avait le haut domaine, le second [Thibaud] en avait la propriété directe. Par conséquent, l'évêque les tenait en fief du comte qui, à ce titre, était son suzerain. »[33]
Des auteurs, comme le curé Esprit Combet, dans son Histoire chronologique des évêques de Maurienne (1633-1636), ont pu le désigner, sans preuves, comme fils du même comte Humbert[32].
Issu d'une riche famille de Genève, peut être des comtes de Genève puisqu'un acte le donne comme oncle du comte Aymon Ier[dm 27]. Impose son autorité à l'ensemble de la Maurienne par un acte de 1098[38].
Plusieurs évêques ont porté le nom Airald (Ayrald) apportant des confusions quant à la caractérisation des uns et des autres, ainsi qu'à la période de leur épiscopat. Joseph-Antoine Besson (1759) en mentionnera quatre[39],[44]. L'auteur précise pour les deux premiers « On le confond avec le précédent, ce que je n'oserais nier absolument »[39]. Le chanoine Angley en mentionne trois[dm 30],[dm 32],[dm 33]. Les auteurs de Saints et saintes de Savoie (1999) n'en mentionnent que deux[42]. Les notices d'autorité de la BNF ou VIAF donnent pour saint Airald III[45].
Besson précise « On le confond avec le précédent, ce que je n'oserois nier absolument »[39], tandis que Mugnier (1884) indique que Ayrald II et Ayrald III ne font qu'un[48]
Il peut être confondu avec Bienheureux Bernard Ier de Portes, chartreux et évêque de Belley. L’Histoire hagiologique de Belley rappelle que « Tous les auteurs n'admettent pas que notre B. Bernard ait été évêque de Maurienne », mais que d'autres donnent plusieurs raisons démontrant qu'ils sont les mêmes, car il est nommé dans la chronique de la Grande-Chartreuse comme successeur d'Ayrald ; que malgré sa démission du siège de Belley, il consent à devenir évêque de Maurienne par obéissance au Pape et que l'évêque de Maurienne est dit sortir, tout comme B. Ayrald, de la chartreuse de Portes[49].
v. 1158
Hugues Gui
Besson[44] ; Angley mais qui remet en cause son existence[48],[dm 35]
Originaire de Genève, fils du comte Guillaume Ier de Genève[55]. Certains auteurs anciens ont confondu parfois avec Amédée de Miribel[56], Amédée II de Miribel, originaire de Genève ou sa région (Besson)[52].
En 1221, un Jean, membre du chapitre de la cathédrale de Maurienne[57], est élu mais non confirmé par le pape.
Besson indique « placé après Amédée dans une ancienne chartre (...). J'ai hésité si je ne le supprimerois point, il n'aura siégé que peu de temps »[58]. Angley de son côté indique qu'il « est très probable qu'il n'a point pris possession de l'Evèché », puisqu'il n'existe, malgré les nombreuses sources sur la période, « aucun acte de son administration »[dm 42].
Il y a une confusion au sujet de cet Amédée. Joseph-Antoine Besson donnait un seul personnage[61], tandis que le chanoine Ambroise Angley distingue deux personnages, Amédée (III) de Savoie[dm 44] et à sa suite, entre v. 1250 et v. 1255, Amédée (IV) de Miribel[dm 45]. Le comte Amédée de Foras, dans un article sur le sujet, donne uniquement Amédée III de Savoie, fils du comte Thomas Ier de Savoie, mentionnant le fait que certains auteurs ont avancé Amédée (IV) de Miribel[62].
Vaudois d'origine, ami du pape Clément VII, il fut prieur de Balmes, Payerne, puis Romainmôtiers avant de passer par Saint-Jean. Il est rapidement transféré à l'évêché de Rodez en 1385.
Depuis l'Indult de 1451, les évêques de Maurienne sont choisis par le duc de Savoie et ce choix doit être validé par la Curie romaine[2],[75].
À partir du , les évêques portent le titre honorifique de « Prince d'Aiguebelle » créé par le roi Charles-Emmanuel III en faveur de MgrGrisella de Rosignan, tout en perdant leur pouvoir temporel sur la vallée[76].
Archidiacre de Villaviciosa en Espagne, cardinal du titre de Saint-Calixte (1441), mais destitué (1449). Il obtient alors l'évêché de Saint-Paul-Trois-Châteaux, puis celui de Maurienne, mais il doit le quitter (1452) pour devenir prieur d'Aiton. Devint archevêque de Césarée(de)in partibus infidelium (1452). Il est aussi connu sous le nom de Bienheureux Calis[74],[78].
Issu de la famille Trotti, originaire de Ferrare. Prévôt de la cathédrale de Ferrare[dm 54]. Désigné en 1560 et meurt sur le trajet qui l'amène pour la première fois dans son diocèse[dm 54].
Se réfugie à Turin pendant le conflit franco-savoyard. Il résilie son évêché en 1618, devient archevêque de Turin jusqu'à sa mort en 1624. Neveu et coadjuteur du précédent[95].
Originaire d'une famille noble de Montferrat (Piémont)[95]. Frère d'Ascagne Bobbaz, marquis de Graye, chevalier de l'Ordre de l'Annonciade et grand Chambellan de Savoie.
Abbé de Saint-Pierre de la ville de Chalon par Louis XIV avant d'être appelé à la cour de Savoie. Coadjuteur de l'archevêque de Turin, il est désigné évêque de Maurienne par Victor-Amédée II de Savoie. Il est fait commandeur des Saints-Maurice-et-Lazare[95].
Comte de Martiniana. Fait prince d'Aiguebelle en 1768 par le roi Charles-Emmanuel[76], titre qui reviendra à ses successeurs au siège épiscopal de Maurienne.
Prince d’Aiguebelle, Assistant au trône pontifical, Noble et Comte romain. Chanoine et chancelier de l’archevêché de Chambéry, ensuite grand-vicaire et enfin évêque de Maurienne. Membre de l’Académie de Savoie.
Le , un décret du Saint-Siège unit les diocèses de Chambéry, Moûtiers et Saint-Jean-de-Maurienne. Ce décret indique que les diocèses de Tarentaise et de Maurienne sont réunis « aeque principaliter » à l'archidiocèse de Chambéry « de telle sorte qu'il y ait un seul et même évêque à la tête des trois diocèses et qu'il soit en même temps archevêque de Chambéry, évêque de Maurienne et de Tarentaise »[106].
↑Paul Lullin et Charles Le Fort, Régeste genevois : Répertoire chronologique et analytique des documents imprimés relatifs à l'histoire de la ville et du diocèse de Genève avant l'année 1312, Société d'histoire et d'archéologie de Genève, , 542 p. (lire en ligne), p. 24, note n°74.
↑Acte du publié dans Paul Lullin et Charles Le Fort, Régeste genevois : Répertoire chronologique et analytique des documents imprimés relatifs à l'histoire de la ville et du diocèse de Genève avant l'année 1312, Société d'histoire et d'archéologie de Genève, , 542 p. (lire en ligne), p. 71, note n°256.
↑Acte du publié dans Paul Lullin et Charles Le Fort, Régeste genevois : Répertoire chronologique et analytique des documents imprimés relatifs à l'histoire de la ville et du diocèse de Genève avant l'année 1312, Société d'histoire et d'archéologie de Genève, , 542 p. (lire en ligne), p. 89, note n°315.
Autres références
↑Florian Mazel, L'Evêque et le Territoire. L'invention médiévale de l'espace (Ve – XIIIe siècle) : L'invention médiévale de l'espace (Ve – XIIIe siècle), Le Seuil, coll. « L'Univers historique », , 544 p. (ISBN978-2-02-118312-2, lire en ligne), p. 212-216.
↑ ab et cJean Bellet, La cathédrale de Saint-Jean-de-Maurienne et ses dépendances : étude historique et archéologique, Jean Bellet (1899-1978), , 169 p. (lire en ligne), p. 84
↑De Clercq, C [Auteur], trad. et notes par Jean Gaudemet et Brigitte Basdevant, Les Canons des conciles mérovingiens (VIe – VIIe siècles), coll. « Sources chrétiennes », 636 p. (ISBN978-2-204-03185-1), chap. 354, p. 483.
↑De Clercq, C [Auteur], trad. et notes par Jean Gaudemet et Brigitte Basdevant, Les Canons des conciles mérovingiens (VIe – VIIe siècles), coll. « Sources chrétiennes », 636 p. (ISBN978-2-204-03185-1), chap. 354, p. 563.
↑François Demotz, La Bourgogne, dernier des royaumes carolingiens : 855-1056 : roi, pouvoirs et élites autour du Léman, Lausanne, Volume 9 de Mémoires et documents publiés par la Société d'histoire de la Suisse romande, , 764 p. (ISBN978-2-940066-06-3), p. 408.
↑ a et bGeorges de Manteyer, « Les origines de la maison de Savoie en Bourgogne (910-1060) », dans Mélanges de l'école française de Rome, (lire en ligne), chap. 19, p. 401-403.
↑ a et b(en) Charles Cawley, « Humbert », sur Foundation for Medieval Genealogy (consulté en )
↑Bernard Demotz, François Loridon, 1000 ans d'histoire de la Savoie : La Maurienne, vol. 2, Cléopas, , 845 p. (ISBN978-2-9522459-7-5, mai 2020), p. 262.
↑ abcdef et gFlorian Mazel, L'Evêque et le Territoire. L'invention médiévale de l'espace (Ve – XIIIe siècle) : L'invention médiévale de l'espace (Ve – XIIIe siècle), Le Seuil, coll. « L'Univers historique », , 544 p. (ISBN978-2-02-118312-2, lire en ligne), p. 215 (à vérifier).
↑Jean-Irénée Depéry, Histoire hagiologique de Belley ou recueil des vies des saints et des bienheureux nés dans ce diocèse, édition Bottier, 1834, p. 34-35 (Google livres).
↑Pierre Duparc, Le comté de Genève, (IXe – XVe siècles), t. XXXIX, Genève, Société d’histoire et d’archéologie de Genève, coll. « Mémoires et documents » (réimpr. 1978) (1re éd. 1955), 621 p. (lire en ligne), p. 144-145.
↑Gallia Christiana, 1771, volume 16, provinces de Vienne, Ecclesia Maurianensis, « XXXII Amedeus II » p. 630.
↑Joseph-Antoine Besson, Mémoires pour l'histoire ecclésiastiques des diocèses de Genève, Tarantaise, Aoste et Maurienne, et du décanat de Savoye, Nancy, S. Henault, , 506 p. (lire en ligne), p. 89, 328
↑Rubrique « Histoire et géographie » du site www.catholique-savoie.fr (lire en ligne).
Annexes
Bibliographie
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
Ouvrages généraux
Archevêque Alexis Billiet, « Mémoire sur les premiers évêques du diocèse de Maurienne », Mémoires de l'Académie impériale de Savoie, 2e série, t. 4, , p. 277-340 (lire en ligne)
Michèle Brocard, Maurice Messiez-Poche, Pierre Dompnier, Histoire des communes savoyardes : La Maurienne - Chamoux - La Rochette (vol. 3), Roanne, Éditions Horvath, , 558 p. (ISBN978-2-7171-0289-5), p. 306-335. (lire en ligne)
Réjane Brondy, Bernard Demotz, Jean-Pierre Leguay, Histoire de Savoie : La Savoie de l'an mil à la Réforme, XIe-début XVIe siècle, Ouest France Université, , 626 p. (ISBN2-85882-536-X)., notamment les tableaux de synthèse, reprenant les travaux du chanoine Gros (ci-après).
Jean Prieur, Aimé Bocquet, Michelle Colardelle, Jean-Pierre Leguay, jean Loup, Jean Fontanelle, Histoire de la Savoie : La Savoie des origines à l'an mil : Histoire et archéologie, Rennes, Ouest France Université, , 442 p. (ISBN2-85882-495-9)..
Ouvrages sur le diocèse
Annuaire historique 1850 (année 1851), p. 142-144
Gallia Christiana — t.XVI, « Provinces de Vienne », Impr. valentinoise, (lire en ligne), p. 613-634, « Ecclesia Maurianensis »
Ambroise Angley, Histoire du diocèse de Maurienne, Saint-Jean-de-Maurienne, impr. de J.-B. Héritier, , 500 p. (lire en ligne)
Ambroise Angley (1789-1852), historien et prêtre (Chanoine).
Joseph-Antoine Besson, Mémoires pour l'histoire ecclésiastique des diocèses de Genève, Tarentaise, Aoste et Maurienne et du décanat de Savoye, S. Hénault, 1759 (copie de l'exemplaire bibliotheque cant. et univ. lausanne), 506 p. (lire en ligne)
Alexis Billiet, Mémoires sur les premiers évêques du diocèse de Maurienne tiré des mémoires de l'académie de Savoie, Puthod, , 340 p. (lire en ligne)
Otkritie Arena LokasiLokasiTushino, MoskwaKoordinat55°49′4.3″N 37°26′24.9″E / 55.817861°N 37.440250°E / 55.817861; 37.440250Koordinat: 55°49′4.3″N 37°26′24.9″E / 55.817861°N 37.440250°E / 55.817861; 37.440250KonstruksiMulai pembangunanOktober 2010Dibuka5 September 2014[1]Biaya pembuatan14 milyar RUB (430 juta USD)[2]Data teknisKapasitas45.360PemakaiFC Spartak Moskwa Tim nasional sepak bola RusiaSunting kot...
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