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Il éditait des cahiers bimensuels, jeune photographie, qui suppléaient à l'absence de photographie (c'était une publication ronéotypée 21×27) par la qualité des textes.
Le club organisait régulièrement des expositions dans le lobby du Studio 28, un cinéma situé au 28, rue Tholozé à Paris.
Le nom du club, « Les 30×40 », provenait des dimensions minimales en centimètres des tirages admis à la discussion et à l'exposition. Il se réunissait tous les jeudis dans les salons du Club alpin, 10 rue La Boétie, 75008 Paris, puis à la Maison pour Tous (rue Mouffetard) et au Centre international de séjour de Paris.
Après une discussion sur les expositions photographiques (voire artistiques), les membres du club suivi de leurs invités présentaient leurs travaux et recevaient une critique toujours stimulante en particulier de la part de Daniel Masclet, vieux photographe chevronné, présent à toutes les séances et assis dans « son » fauteuil, au premier rang.
La réputation du club était telle qu'il recevait les grands photographes américains, européens ou autres, de passage à Paris. Rares étaient les semaines où la photographie étrangère et internationale n'était pas au rendez-vous du jeudi.
Ces réunions et les expositions organisées par des membres du club ont été à l'origine de la vocation de certains photographes professionnels[réf. nécessaire].