Alain Cognard a étudié et travaillé en Droit et Économie. Il a participé avec Georges Lapassade à l’analyse de l’université du Québec à Montréal, lors de sa création, ainsi qu’à la rédaction de deux ouvrages connexes. Observateur des groupes humains et des nations, il s'est particulièrement intéressé à l'expression sociale des exclus et de la dissidence de général. Il est fasciné par l'incapacité des sociétés à reconnaître les capacités de certaines classes de citoyens (femmes, défavorisés, étranger).
Il s’est intéressé à la photographie (Paris les 30×40), visant particulièrement à faire ressortir l’expression des personnages et à les situer dans leur époque : « Les parapluies 1966 », « Johnny à la Nation 1965 », « Les Gitans 1966 », « Référent d’homme, 1967 », « rue de la Verrerie 1993 », « Élise, 1997 », « Couleurs, 2004 ».
Œuvres
Nouvelles
Les saisons littéraires, Guérin, 1996
ITI, Quebecor, 1996
Essais
Alain Cognard, La belle province des satisfaits, Montréal, VLB, (ISBN9782890058385)
Alain Cognard, Un petit pas pour la femme, un grand pas pour l’humanité, Montréal, Michel Brûle, (ISBN9782894854426)
Alain Cognard, Misère de la démocratie, pour une réingénierie de la politique, Paris, L'Harmattan, 2014 (ISBN9782343041711)[1]
Références
↑Alain Cognard, Misère de la démocratie, pour une réingénierie de la politique, Paris, L'Harmattan, , 227 p. (ISBN9782343041711)