Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Lamonzie-Saint-Martin est située dans le quatrième gradin à partir du nord-est, un plateau formé de dépôts siliceux-gréseux et de calcaires lacustres de l'ère tertiaire[3].
Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire et de roches sédimentaires datant du Cénozoïque. La formation la plus ancienne, notée e6b, se compose de molasses inférieures (faciès argileux dominant) (Bartonien supérieur continental). La formation la plus récente, notée CF, fait partie des formations superficielles de type colluvions indifférenciées sablo-argileuses et argilo-sableuses. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 805 - Sainte-Foy-la-Grande » et « no 806 - Bergerac » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[4],[5] et leurs notices associées[6],[7].
Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (478 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais) au sud-ouest (2 m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 12 m[8] à l'extrême ouest, là où la Dordogne conflue avec la Gardonnette, quitte la commune et sert de limite entre celles de Gardonne et Saint-Pierre-d'Eyraud, et 59 m[8] au sud-est, près du lieu-dit la Cassaigne, en limite de Pomport[9].
La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 20,64 km2[8],[14],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 20,63 km2[5].
La Gardonnette, d'une longueur totale de 24,6 km, prend sa source dans la commune de Bouniagues et se jette dans la Dordogne en rive gauche en limite de Gardonne et de Lamonzie-Saint-Martin, face à Saint-Pierre-d'Eyraud[21],[22]. Elle marque la limite territoriale à l'ouest sur quatre kilomètres, face à Gardonne.
Affluent de rive droite de la Gardonnette, le ruisseau de la Peyronnette arrose le sud ouest de la commune sur un kilomètre et demi.
La Gardonnette en crue en 2012, en limites de Gardonne et Lamonzie-Saint-Martin.
Réseaux hydrographique et routier de Lamonzie-Saint-Martin.
Gestion et qualité des eaux
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Dordogne Atlantique ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au sous‐bassin le plus aval du bassin versant de la Dordogne (aval de la confluence Dordogne - Vézère)., d'une superficie de 2 700 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[23]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [24].
Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[25].
En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[26].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 779 mm, avec 10 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[27]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bergerac à 8 km à vol d'oiseau[28], est de 13,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 792,9 mm[29],[30]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[31].
Milieux naturels et biodiversité
Natura 2000
La Dordogne est un site du réseau Natura 2000 limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Lamonzie-Saint-Martin[32],[33]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[34].
ZNIEFF
Lamonzie-Saint-Martin fait partie des 102 communes concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[35],[36], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[37].
Urbanisme
Typologie
Au , Lamonzie-Saint-Martin est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[38].
Elle appartient à l'unité urbaine de Bergerac, une agglomération inter-départementale dont elle est une commune de la banlieue[39],[40]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bergerac, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[40]. Cette aire, qui regroupe 73 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[41],[42].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de donnéeseuropéenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (91 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante :
zones agricoles hétérogènes (40,3 %), cultures permanentes (22 %), terres arables (19,1 %), zones urbanisées (8,2 %), prairies (5,9 %), eaux continentales[Note 5] (3,2 %), forêts (1,4 %)[43]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Bergerac, regroupant les 22 communes (15 en Dordogne et 7 en Gironde) concernées par un risque de débordement de la Dordogne, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[46]. Les événements significatifs antérieurs à 2014 sont la crue de 1843 (4 100 m3/s à Bergerac, la crue de référence historique de période de retour au moins centennale), les crues de 1912, 1944 et 1952 (période de retour de 50 ans) et les crues de 1982 et 1994 (période de retour de 20 ans). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[47]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1996, 1999 et 2018[48],[44]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « vallée de la Dordogne - Bergeracois », couvrant 5 communes et approuvé le , pour les crues de la Dordogne[49],[50].
Lamonzie-Saint-Martin est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[51]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[52],[53].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[54]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[55]. 99 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 6],[56].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[44].
Risque technologique
La commune est en outre située en aval du barrage de Bort-les-Orgues, un ouvrage de classe A[Note 7] situé dans le département de la Corrèze et faisant l'objet d'un PPI depuis 2009. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[58].
Toponymie
En occitan, la commune porte le nom de La Móngia e Sent Martin[59].
Histoire
En 866, Wlgrin de Taillefer, comte d'Angoulême et de Périgord, a fait construire des forts dans la province, et, en particulier, le long de la Dordogne pour résister aux raids normands. Il subsiste une motte féodale dans le parc du château de Saint-Martin. Une autre a donné son nom à « La Mouthe », près du Monteil[60]. Des bourgs vont se construire à l'abri de ces forts.
Le comte Boson le Vieux a fondé au Xe siècle le prieuré Saint-Sylvain[61] à l'ouest de Bergerac, sur la rive gauche de la Dordogne, et l'a donné à des religieuses. Il est incendié au XIe siècle par le seigneur de Gardonne à la suite d'une contestation sur les limites des biens du prieuré. Il est reconstruit par les petits-fils de Boson le Vieux, Hélie II de Périgord et son frère Boson. L'église est consacrée en 1047. Le prieuré est donné en 1067 aux bénédictines de l'abbaye royale de Saintes par Boson III et son fils Aldebert II (tous les deux morts en 1072) d'après l'abbé Audierne.
Un bourg s'est formé à côté du prieuré de moniales (religieuses). Il s'est appelé « La Mongia » au XIe siècle, devenu au fil des années « La Mongie », puis « La Monzie »[62]. Pour assurer la protection de ses terres près du prieuré, un château est construit sur le tertre de Montcuq, au nord, sur la paroisse de Pomport, par les comtes de Périgord au XIIe siècle, probablement par Hélie V Talleyrand. Le château a appartenu aux d'Albret en 1334 et au XVIe siècle[63],[64],[65], aux d'Aydie dans les années 1560. Il a été plusieurs fois assiégé. En 1628, Richelieu a ordonné son démantèlement. Il est occupé par les croquants. Sa destruction a été achevée par un incendie. La châtellenie de Montcuq est vendue en 1775 par les héritiers du duc de Biron. Les ruines du château ne sont pas mentionnées. En 1900, il subsistait encore quelques pans de murs mais qui ont disparu depuis[66].
Dès son origine, la châtellenie de Montcuq regroupait douze paroisses : Pomport, Rouffignac, Saint-Mayme, Saint-Laurent-des-Vignes, Saint-Sernin-de-Gabanelle, Saint-Sylvain (Lamonzie), Le Monteil, Saint-Martin, Rouillas, Colombier, Monbazillac et Saint-Christophe[67],[68]. La châtellenie a disparu au moment de la Révolution.
Historiquement, la commune est composée de quatre hameaux importants : le Monteil, la Bourgatie, Saint-Martin et le Rieu-de-Laysse, appelé plus communément Lamonzie.
Une des particularités de cette commune est qu'elle est le fruit de la fusion de trois paroisses devenues des communes (Lamonzie, Le Monteil, et Saint Martin de Gardonne). Dans un premier temps, la commune de Lamonzie fusionna avec Le Monteil en 1794, puis avec celle de Saint-Martin-de-Gardonne pour devenir ainsi en 1795 la commune de Lamonzie-Saint-Martin.
Au début du XXIe siècle, la commune possède toujours ses trois églises, Notre-Dame-de-l'Assomption (qui a remplacé Saint-Sylvain) à Lamonzie, Saint-Roch au Monteil, et Saint-Martin[69].
La population de la commune étant comprise entre 2 500 et 3 499 habitants au recensement de 2017, vingt-trois conseillers municipaux ont été élus en 2020[70],[71].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[79]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[80].
En 2021, la commune comptait 2 741 habitants[Note 8], en évolution de +11,24 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
« Fête de la rivière » sur trois jours fin août-début septembre[82].
Sports
En avril, la Ronde des Vignes propose deux parcours de trails de 12 et 20 km, ainsi qu'une randonnée (17e édition en 2024)[83].
Organisée par l'association Le Monteil/Lamonzie-SaintMartin/Saint-Laurent-des-Vignes, la « Rando 24 Pourpre » est une randonnée en marche, trail ou VTT qui se tient au mois de septembre (19e édition en 2024)[84].
Économie
Emploi
L'emploi est analysé ci-dessous selon qu'il affecte les habitants de Lamonzie-Saint-Martin ou qu'il est proposé sur le territoire de la commune.
L'emploi des habitants
En 2018[85], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 1 129 personnes, soit 44,0 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (149) a fortement augmenté par rapport à 2013 (107) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 13,2 %.
L'emploi sur la commune
En 2018, la commune offre 491 emplois pour une population de 2 656 habitants[86]. Le secteur tertiaire prédomine avec 26,8 % des emplois mais l'industrie est également très présente avec 24,0 %.
Au , la commune compte 178 établissements[87], dont 87 au niveau des commerces, transports ou services, quarante-quatre dans la construction, dix-neuf dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, seize dans l'industrie, et douze relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale[88].
Entreprises
Dans le secteur industriel, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, la société « Bio inox » (fabrication de réservoirs, citernes et conteneurs métalliques) implantée à Lamonzie-Saint-Martin se classe en 33e position quant au chiffre d'affaireshors taxes en 2015-2016, avec 8 149 k€[89].
Église Notre-Dame-de-l'Assomption de Lamonzie[69], ancienne église Saint-Sylvain[91].
Église Saint-Martin (de Saint-Martin de Gardonne) citée dans un pouillé en 1648[69], en cours de rénovation en 2014[92].
Église Saint-Roch du Monteil, reconstruite à la place d'une église Saint-Front[69]. À la suite de la détérioration du clocher, l'édifice fermé en 2022 fait l'objet de réparations en 2023[93].
Temple protestant devenu propriété privée, le long de la route départementale 936[94]. Édifié en 1820, il a servi jusqu'en 2000 lors de baptêmes ou de mariages de « la communauté protestante du Bergeracois »[95].
L'église Notre-Dame-de-l'Assomption.
L'ancien temple protestant.
Personnalités liées à la commune
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Tiercé en pal : au 1er d'azur à trois étoiles d'or rangées en pal, au 2e d'argent à la crosse d'abbesse d'azur chargée d'un besant d'argent lui-même chargé d'un losange d'azur surchargé d'un clocher d'argent, le besant bordé d'azur, au 3e de gueules à trois tours d'argent, ouvertes et ajourées du champ, rangées en pal[96].
François Jouannet, « Note sur des tombeaux découverts l'été dernier à La Mongie-Saint-Martin, arrondissement de Bergerac, canton de Sigoulès, et sur les forges antiques de la Dordogne », dans Bulletin monumental, 1834, tome 1, p. 135-142(lire en ligne)
↑Une unité paysagère est un pan de territoire qui présente des caractéristiques paysagères propres.
↑La superficie publiée par l’Insee est la superficie évaluée en 1975 par le service du cadastre de la Direction Générale des Impôts, corrigée des modifications communales intervenues depuis 1975. Elle comprend toutes les surfaces du domaine public et privé, cadastrées ou non cadastrées, à l'exception des lacs, étangs et glaciers de plus d'un kilomètre carré ainsi que des estuaires et ne correspond pas obligatoirement à la surface géographique[15],[16]
↑Contrairement à ce qu'indique le Sandre, la Gouyne, affluent de rive droite de la Dordogne, n'arrose pas la commune de Lamonzie-Saint-Martin située entièrement en rive gauche.
↑Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
↑Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
↑Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[57].
↑Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
↑Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
↑Carte du site « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
↑Carte de la ZNIEFF « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
↑ abc et dAbbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN2-87624-125-0), p. 195-196, 293.
↑Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 5 septembre 2020.