La Roque-Esclapon

La Roque-Esclapon
La Roque-Esclapon
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Var
Arrondissement Draguignan
Intercommunalité Dracénie Provence Verdon agglomération ex Communauté d'agglomération dracénoise
Maire
Mandat
Nathalie Perez Leroux
2020-2026
Code postal 83840
Code commune 83109
Démographie
Gentilé Roquois(e)
Population
municipale
245 hab. (2021 en évolution de −13,73 % par rapport à 2015)
Densité 9,1 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 43′ 26″ nord, 6° 37′ 50″ est
Altitude Min. 904 m
Max. 1 700 m
Superficie 26,98 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Flayosc
Législatives Huitième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
La Roque-Esclapon
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
La Roque-Esclapon
Géolocalisation sur la carte : Var
Voir sur la carte topographique du Var
La Roque-Esclapon
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Voir sur la carte administrative de Provence-Alpes-Côte d'Azur
La Roque-Esclapon
Liens
Site web https://laroque-esclapon.fr

La Roque-Esclapon est une commune française située dans le département du Var en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Géographie

Localisation

La Roque-Esclapon est située à équidistance de Draguignan (44 km) et de Grasse.

Communes proches : La Bastide (2 km), Bargème (7 km), La Martre et Mons (8 km).

Géologie et relief

Sa forêt est en grande partie située dans le camp de Canjuers.

La Roque-Esclapon est le deuxième village le plus haut du Var.

Les montagnes entourant le village sont principalement : le Brouis[1], la montagne de Lachens, plus haut sommet du Var appelé le « toit du Var » et Malaye[2].

Cavités :

  • Le Trou des Lys (trou du billet de mille)[3] se situe dans la Forêt Domaniale d'Esclapon, au lieu-dit « Verdillon » ;
  • l'Aven du Villar n°4 (Aven du hibou) est situé dans la forêt domaniale, près de sa limite sud avec le camp de Canjuers[4].

Sismicité

Il existe trois zones de sismicité dans le Var :

  • Zone 0 : Risque négligeable. C'est le cas de bon nombre de communes du littoral varois, ainsi que d'une partie des communes du centre Var. Malgré tout, ces communes ne sont pas à l'abri d'un effet tsunami, lié à un séisme en mer ;
  • Zone Ia : Risque très faible. Concerne essentiellement les communes comprises dans une bande allant de la montagne Sainte-Victoire au massif de l'Esterel ;
  • Zone Ib : Risque faible. Ce risque, le plus élevé du département mais qui n'est pas le plus haut de l'évaluation nationale, concerne 21 communes du nord du département.

La commune de La Roque-Esclapon est en zone sismique de faible risque Ib[5].

Hydrographie et eaux souterraines

Cours d'eau sur la commune ou à son aval[6] :

  • rivière la Bruyère[7] ;
  • vallons des varuins, de grapereau, de ribargiers, de l'araignée, de l'ourtiguet, des termines.

La Roque-Esclapon dispose d'une station d'épuration d'une capacité de 1 400 équivalent-habitants[8].

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (°C) et peu de brouillards[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 041 mm, avec 6,2 jours de précipitations en janvier et 4,3 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Comps-sur-Artuby », sur la commune de Comps-sur-Artuby à 10 km à vol d'oiseau[11], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 010,2 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 37,2 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −12,6 °C, atteinte le [Note 1],[12],[13].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[14]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Voies de communications et transports

Voies routières

  • Accès par la D 955 depuis Draguignan[16], puis D 21 à Comps-sur-Artuby, lui permettant de relier la D4085/D6085 (ex-N85) au Logis-du-Pin via le Col de Clavel. De la D21 se sépare la D625 desservant la commune et la reliant au village voisin de La Bastide.

Transports en commun

Commune desservie par le réseau régional Zou ! (ex Varlib)[17], mais il n'y a qu'une ligne scolaire qui dessert la commune et la relie à ses villages voisins, ainsi qu'à Castellane, la ligne régulière la plus proche étant la ligne 51 Nice-Digne, pouvant être empruntée à l'arrêt de bus du Logis-du-Pin, à 8 km du village. Les bus des Transports en Dracénie relient par contre la commune à Draguignan, au moyen de bus à la demande. La communauté d'agglomération du Pays de Grasse dispose quant à elle de transports à la demande desservant le secteur du Logis-du-Pin, permettant ainsi de rallier Grasse à partir de ce lieu-dit, en plus de la ligne express régulière [18],[19].

Ligne SNCF

Transports aériens

Les aéroports les plus proches sont :

Histoire

Les hospitaliers possédaient le Droit d'albergue en 1252 sur le château de l'ancien village[20] ; le comte de Provence en avait sur celui qui se trouvait à 5 km au nord-est et qui fut détruit durant les guerres de Religion[21].

En 1342, la communauté de La Roque-Esclapon est rattachée à la viguerie de Castellane (actuel département des Alpes-de-Haute-Provence) par le comte de Provence[22]. Fief des Villeneuve jusqu'au XVIIIe siècle, qui passe ensuite à l'ordre de Malte.

Le nom de la commune « La Roque », en 1793, deviendra « La Roque-Esclapon » en 1801[23].

Toponymie

Le nom de la commune évolue au fil du temps :

  • en 1178 : « Rocca de Sclapone » ;
  • vers 1200 : « Rocha » ;
  • au XIIIe siècle : « Sclaponum » ;
  • en 1351 : « Rocha Sclapon ».

En provençal, (oc) « Roucasteroun ». La Roque Esclapon veut dire « la roche éclatée ».

La Roque-Esclapon s'écrit La Ròca Esclapon en provençal selon la norme classique et La Roco-Esclapoun selon la norme mistralienne[24].

Blasonnement

Les armoiries de La Roque-Esclapon se blasonnent ainsi[25] :

De gueules au rocher d'argent accosté de deux sautoirs alaisés d'or.

Politique et administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
    Pierre Eugène Collomp    
mars 2001 mars 2008 Joël Rebuffel    
mars 2008 mars 2014 Guy Guiaud    
mars 2014 mai 2020 Jean-François Ferrachat    
mai 2020 en cours Nathalie Perez-Leroux   Conseillère départementale du Canton de Flayosc[26],[27]

Intercommunalité

Après avoir été rattachée à la communauté de communes Artuby Verdon, La Roque-Esclapon a rejoint la communauté d'agglomération dracénoise[28] aujourd'hui « Dracénie Provence Verdon agglomération » qui regroupe vingt-trois communes du département du Var, dont Draguignan[29], de 110 014 habitants en 2017[30], créée le . Les 23 communes composant la communauté d'agglomération en 2017 sont (par ordre alphabétique) :

Urbanisme

Typologie

Au , La Roque-Esclapon est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[31]. Elle est située hors unité urbaine[32] et hors attraction des villes[33],[34].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (87,2 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (84,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (53,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (24,5 %), zones agricoles hétérogènes (12,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (8,8 %)[35]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Budget et fiscalité 2019

En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[36] :

  • total des produits de fonctionnement : 564 000 , soit 2 028  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 400 000 , soit 1 429  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 190 000 , soit 684  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 191 000 , soit 686  par habitant ;
  • endettement : 120 000 , soit 432  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 9,15 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 5,09 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 43,30 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2018 : médiane en 2018 du revenu disponible, par unité de consommation : 21 500 [37].

Économie

Entreprises et commerces

Agriculture

Tourisme

  • Camping Notre Dame[38].
  • Gîtes ruraux, chambres d'hôtes[39].
  • Restaurants Auberge de La Bruyère, Le Coq en Pâte.

Commerces

  • Commerces de proximité[40] ainsi qu'à La Bastide, La Martre.

Population et société

Démographie

Évolution démographique

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[42].

En 2021, la commune comptait 245 habitants[Note 2], en évolution de −13,73 % par rapport à 2015 (Var : +4,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
334271393296348358347323283
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
316313264504219218200196189
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
19217417013813212010310293
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
100112122136150192231242286
2018 2021 - - - - - - -
259245-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[44].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

Établissements d'enseignements[45] :

  • Écoles maternelles à Séranon, Seillans,
  • Écoles primaires à La Bastide, Mons, Séranon,
  • Collèges à Fayence, Castellane[46].
  • Lycées proches à Grasse[47].

Santé

Professionnels et établissements de santé[48] :

  • Médecins à Seillans, Valderoure,
  • Pharmacies à Seillans, Fayence,
  • Hôpitaux à Castellane (27 km), Faïence (34 km).
  • Le Centre hospitalier de la Dracénie se trouve à Draguignan, à 44 km[49],[50]. Il dispose d'équipes médicales dans la plupart des disciplines[51] : pôles médico-technique ; santé mentale ; cancérologie ; gériatrie ; femme-mère-enfant ; médecine-urgences ; interventionnel.

Cultes

Lieux et monuments

La Roque-Esclapon en 1914.

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Notes

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

  1. La Montagne de Brouis
  2. La Roque Esclapon : Son nom veut dire "La roche éclatée". Le nom de la commune veut dire "La roche éclatée"
  3. Cavités du Var : Le Trou des Lys
  4. l'Aven du Villar
  5. sismicité du Var sur le site de la préfecture
  6. L'eau dans la commune
  7. La Bruyère, Code Sandre : X2420500
  8. Description de la station d'épuration
  9. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre La Roque-Esclapon et Comps-sur-Artuby », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station Météo-France « Comps-sur-Artuby », sur la commune de Comps-sur-Artuby - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Comps-sur-Artuby », sur la commune de Comps-sur-Artuby - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  16. Accès par la D 955 depuis Draguignan
  17. Nouveau réseau des transports en Dracénie. Transports en commun de Draguignan Tedbus. Réseau régional Zou ! (ex Varlib
  18. « Réseau urbain - Sillages - Grasse » (consulté le ).
  19. « Accueil », sur TEDBUS (consulté le ).
  20. « Découvrir », La Roque Esclapon, sur sites.google.com (consulté le ).
  21. Qui connaît la tragédie d’Esclapon ?
  22. Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Histoire de la Sous-Préfecture de Castellane », Préfecture des Alpes de Haute-Provence, consulté le 22 juin 2012
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Cassini », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
  24. Histoire de la commune
  25. Verdon 2 : La Roque-Esclapon, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau
  26. Association Vélo Loisir Provence. Remise du Label national "Accueil vélo"
  27. Découvrez le Luberon et le Verdon à vélo
  28. Rattachement de la commune à la CAD
  29. La Roque-Esclapon en Dracénie
  30. Les Comptes des Groupements à Fiscalité Propre (GFP) : CA Dracénoise – Var
  31. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  32. Insee, « Métadonnées de la commune de La Roque-Esclapon ».
  33. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  34. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  35. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  36. Les comptes de la commune
  37. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  38. Camping Notre Dame
  39. Hébergements, commerces
  40. Commerces et services de proximité
  41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  43. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  45. Établissements d'enseignements
  46. Établissements d'enseignements près de La Roque-Esclapon
  47. Lycées proches à Grasse
  48. Professionnels et établissements de santé
  49. Centre hospitalier de la Dracénie
  50. Professionnels et établissements de santé
  51. « Département de l’Information Médicale », sur ch-dracenie.fr (consulté le ).
  52. paroisse Sainte-Marguerite de La Roque-Esclapon : Histoire
  53. La Roque-Esclapon : église Sainte-Marguerite
  54. Notice no PM83000460, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture cloche de l'église Sainte-Marguerite
  55. Les églises et édifices religieux recensés par l'Observatoire du patrimoine religieux à Roque-Esclapon
  56. Chapelle Notre-Dame
  57. Pénitents en Provence
  58. Chapelle Saint Alexis
  59. Monuments chrétiens de La Roque-Esclapon
  60. Qui connaît la tragédie d’Esclapon ? : Ruine Escalpon, Reportage Yves Frébourg et Robert Pons
  61. Conflits commémorés : guerre 1914-1918
  62. La Roque-Esclapon
  63. Gaffino Emile, Résistance Var - Décembre 2004 - Page 6