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Pendant ses vacances, le vétérinaire William Chaminade est amené à soigner une femme délaissée, qui a tenté de se suicider. Il a alors l'idée de créer un centre où l'« Étalon », être sans malice, sain et de haute moralité, assouvira la fièvre des sens des ménagères malheureuses en amour.
L'Étalon marque la quatrième, mais également la dernière collaboration entre Jean-Pierre Mocky et Bourvil. Bourvil se fait raser le crâne, soi-disant pour le rôle, mais en réalité parce que la chimiothérapie de son cancer lui fait perdre ses cheveux. Il est affaibli et souffrant, mais il continue. Il meurt finalement le 23 septembre 1970 après une longue agonie[1].
Jean-Noël Grando, 100 ans de cinéma en Pyrénées-Orientales : Histoires et secrets de tournages, Perpignan, Mare nostrum, , 197 p. (ISBN978-2-908476-96-5, BNF42318117)
↑Jean-Noël Grando, 100 ans de cinéma en Pyrénées-Orientales : Histoires et secrets de tournages, Perpignan, Mare nostrum, , 197 p. (ISBN978-2-908476-96-5, BNF42318117)