Katharina Renn semble avoir commencé sa carrière française au cabaret d'Agnès Capri en . Elle apparaissait sur scène vêtue d'un imperméable et présentait un petit répertoire composé de chansons de Brecht et Kurt Weil, Michel Vaucaire, Georges Van Parys, Charles Morellet, Henri Cliquet-Pleyel ou d'Agnès Capri (Il m'a toujours dit : à demain). Elle avait une allure et une présence qui dérangeait un peu le public, ce qui n'était pas pour déplaire à Agnès Capri. Elle chantait accompagnée par Ole Jacobsen, le pianiste attitré de la directrice du lieu.
Après la fermeture du célèbre cabaret, fin 1958, elle se dirige vers le théâtre, puis le cinéma.
1967 : L'Arme blanche de Victor Haîm, Théâtre de L'Athénée, à partir du (mise en scène de François Darbon)
1969 : L'Assassinat de Sister George, d'après Franck Marcus, adaptation de Jean Cau, Théâtre Edouard VII, à partir du (mise en scène d'Andréas Voutsinas)
1972 : Les Veuves, « tapisserie lyrique », conçue, écrite et réalisée par François Billetdoux, Espace Pierre Cardin le (mise en scène de François Billetdoux et Michel-Jean Robin)
1973 : Faust de Goethe, adaptation de Jean Launay, Théâtre de Nice, à partir du (mise en scène de Jean Launay)