Il entre le à la commission exécutive de l'UGT, étant élu par 93 % des voix au cours du XXXIVe congrès[3]. Chargé des relations institutionnelles, il remet sa démission le dans le cadre du conflit opposant l'UGT au PSOE à propos de la loi de finances pour 1988 : à l'inverse de deux autres cadres, il choisit donc de quitter la direction du syndicat pour conserver son mandat parlementaire[4].
Il est nommé en conseil des ministres le secrétaire d'État à l'Administration publique, en remplacement de Teófilo Serrano(es), devenu secrétaire général du PSOE régional de Madrid[5]. Ayant échoué à renouveler son mandat de député aux élections de 1993, il est relevé de ses fonctions par le ministre des Administrations publiques Jerónimo Saavedra au profit de Constantino Méndez le de manière totalement inattendue, officiellement en raison de l'absence de résultat dans la réforme de l'administration publique, un sujet en souffrance depuis l'accession des socialistes au pouvoir en 1982[6].
Proche de José Bono
Il finit par retrouver son mandat parlementaire le , après la démission de Virgilio Zapatero. Il démissionne moins d'un an plus tard, le , afin de devenir conseiller[b] à l'Éducation et à la Culture de la Junte des communautés de Castille-La Manche dans le nouveau gouvernement de José Bono[7]. Après les élections de 1999, Bono le désigne conseiller aux Administrations publiques. Il démissionne de l'exécutif en 2000, pour rejoindre le cabinet de la présidence. En , il prend la présidence du conseil économique et social de la communauté autonome[1].
↑(es) « Perfil: Justo Zambrana », La Nueva España, (lire en ligne, consulté le ).
↑(es) « Nicolás Redondo, reelegido por unanimidad secretario general de UGT », El País, (lire en ligne, consulté le ).
↑(es) « Zambrana deja la ejecutiva de la Unión General de Trabajadores », El País, (lire en ligne, consulté le ).
↑(es) « Un ex dirigente de UGT, nuevo responsable de la función pública », El País, (lire en ligne, consulté le ).
↑(es) « Saavedra destituye fulminantemente a Zambrana como secretario de Estado de Administraciones Públicas », El País, (lire en ligne, consulté le ).
↑(es) « Bono renueva su Gobierno para "no caer la rutina" », El País, (lire en ligne, consulté le ).
↑(es) « Relevos en la dirección del CNI y el Consejo de Estado », El País, (lire en ligne, consulté le ).
↑(es) « Rubalcaba nombra subsecretario de Interior a Justo Zambrana, quien ocupaba ese cargo con Bono en Defensa », Europa Press, (lire en ligne, consulté le ).
↑(es) « Justo Zambrana, nuevo secretario de Estado de Seguridad », El País, (lire en ligne, consulté le ).