Julien Carette , souvent crédité comme Carette , est un acteur français , né le 24 décembre 1897 à Paris 17e [ 1] et mort le 20 juillet 1966 à Saint-Germain-en-Laye .
Il a joué dans plus d'une centaine de films qu'il a marqués par sa forte personnalité et son accent parisien.
Biographie
Premiers pas dans le métier
Julien Henri Carette est né dans le 17e arrondissement de Paris , fils de Félix Carette (né en 1870) et de Valentine Oursel (1875-1949).
Ajourné en 1916, 1917 et 1918 pour sa petite taille et une "faiblesse générale"[ 2] , il ne participe pas à la première guerre mondiale . Il quitte l'école sans obtenir son brevet, et accumule les emplois les plus divers : camelot, représentant, machiniste de théâtre, souffleur, et employé des chemins de fer où il aurait renforcé sa gouaille.
Il s'inscrit aux Arts Décos , où il rencontre Claude Autant-Lara , avec le secret espoir de devenir peintre. Sentant que sa vocation n'est pas là, il se dirige vers le théâtre. Après un échec au concours d'entrée au Conservatoire , il se fait engager comme figurant au théâtre de l'Odéon .
Dans les années 1920 , il monte sur les planches et participe à des créations comme celles du théâtre du Vieux-Colombier , où il joue sous la direction de Jacques Copeau , L'Oeuvre des Athlètes (1920) de Georges Duhamel avec Louis Jouvet , et Les Plaisirs du hasard (1922) de René Benjamin .
Il joue des opérettes dans des petits théâtres, mais aussi du théâtre de boulevard . En 1931 , il joue dans Le roi masqué de Jules Romains , mis en scène par Louis Jouvet au Théâtre Pigalle [ 3] . Au fil de sa carrière, il jouera pour d'autres auteurs reconnus comme Luigi Pirandello , Henri Bernstein , Jacques Deval , les opérettes d'André Messager et d'Oberfeld [ 4] .
Après un premier rôle dans un film, où il joue Gavrilo Princip , l'assassin de l'Archiduc François-Ferdinand (un film perdu ), Julien Carette fait ses premières armes dans des films mineurs du cinéma muet .
Titi parisien et grand second rôle
Malicieux, gouailleur, œil de braise : Carette n'a jamais laissé indifférents les spectateurs et les réalisateurs. L'avènement du parlant révèle un accent parisien bien trempé. Son phrasé reconnaissable entre tous, sa bonne humeur communicative, ses mimiques et ses reparties assurent sa forte popularité auprès du public.
En 1931, on le voit dans L'Amour à l'américaine , de Claude Heymann , et dans Attaque nocturne , de Marc Allégret . Les frères Prévert lui donnent sa chance avec un rôle en vue dans L'Affaire est dans le sac .
Il participe ensuite aux adaptations filmiques des pièces qu'il jouait dans les années 1920, comme Passionnément (1932), La Pouponnière (1933), et Les Soeurs Hortensia (1934)[ 5] . Entre 1932 et 1937, il joue dans une trentaine de films, dont Fanfare d'amour avec Fernand Gravey , qui inspira à Billy Wilder son film Some Like It Hot .
Jean Renoir lui offre alors des rôles à sa mesure. Il est à nouveau un titi parisien dans La Grande Illusion (1937), un volontaire dans La Marseillaise , Pecqueux, le chauffeur du mécanicien Lantier dans La Bête humaine (1938), et Marceau, le braconnier magnifique, qui se joue du garde-chasse Schumacher, dans La Règle du jeu (1939). En 1943, c'est Pierre Prévert qui lui confie le rôle principal dans Adieu Léonard , puis dans Bonsoir mesdames, bonsoir messieurs de Roland Tual , sur des dialogues de Robert Desnos .
À partir de 1942, il devient le comédien fétiche de Claude Autant-Lara . Dans Lettres d'amour (1942), il apparaît en maître à danser trépidant et diabolique. Dans Occupe-toi d'Amélie (1949), Autant-Lara exploite sa veine comique. Dans L'Auberge rouge (1951), aux côtés de Fernandel et Françoise Rosay , il campe avec conviction l'inquiétant patron assassin de l'auberge de Peyrebeille. Dans La Jument verte , il incarne le maire mourant.
Sa longue carrière (il a tourné dans plus d'une centaine de films) est aussi associée à d'autres grands réalisateurs français : Henri Decoin , Marcel Carné , Yves Allégret , Jean Grémillon , Sacha Guitry , Julien Duvivier , Henri Verneuil , Georges Lampin , André Cayatte ...
En 1964, il tourne dans son dernier film, Les Aventures de Salavin de Pierre Granier-Deferre . En 1965, il est costumier pour la pièce Les enchaînés de Eugene O'Neill au Théâtre Récamier avec Maria Casarès [ 6] .
Fin de vie
Atteint par l'arthrose , il prend sa retraite au milieu des années 1960. À la suite d'un incendie domestique dans son appartement du Vésinet , il meurt de ses brûlures, le 20 juillet 1966 , à l'hôpital de Saint-Germain-en-Laye [ 7] .
Il avait épousé Eugénie Garnier (1895-1980) le 26 mai 1931, après un premier mariage avec Gabrielle Lambert (1900-1976) le 21 juin 1924.
Il est inhumé au Vésinet (Yvelines ).
Citation
« Je me souviens que Carette est mort parce qu'il portait une chemise en nylon et qu'il s'était endormi avec une cigarette. »
— Georges Perec , Je me souviens , 164.
Filmographie
1930 : Au coin perdu court métrage de Robert Péguy
1931 : Attaque nocturne court métrage de Marc Allégret - le commissaire
1931 : L'Amour à l'américaine de Claude Heymann - M. Lepape
1931 : Le Collier court métrage de Marc Allégret
1931 : Les Quatre Jambes court métrage de Marc Allégret
1932 : L'affaire est dans le sac moyen métrage de Pierre Prévert - Clovis
1932 : Baby de Carl Lamac et Pierre Billon - Pat
1932 : Les Gaietés de l'escadron de Maurice Tourneur - un cavalier
1932 : Moi et l'Impératrice de Paul Martin et Friedrich Hollaender - le médecin major
1932 : Passionnément de René Guissart et Louis Mercanton - Auguste
1932 : La Pouponnière de Jean Boyer - le domestique
1932 : Seul court métrage de Jean Tarride - Michel
1933 : Adieu les beaux jours de Johannes Meyer et André Beucler - Fred
1933 : Georges et Georgette de Reinhold Schünzel et Roger Le Bon - Georges
1933 : Gonzague ou l'accordeur court métrage de Jean Grémillon
1933 : Gudule court métrage de Pierre-Jean Ducis
1933 : Je te confie ma femme de René Guissart - Nicou
1934 : Le Billet de mille de Marc Didier - un inspecteur
1934 : Ferdinand le noceur de René Sti - M. farjol
1934 : Le Greluchon délicat de Jean Choux - Émile
1934 : Mon cœur t'appelle de Carmine Gallone et Serge Véber
1934 : Turandot, princesse de Chine de Gerhard Lamprecht et Serge Véber
1934 : Ces messieurs de la noce court métrage de Germain Fried
1934 : Les Chevaliers de la cloche court métrage de René Le Hénaff - Picolard
1934 : L'École des resquilleurs court métrage de Germain Fried
1934 : Un petit trou pas cher court métrage de Pierre-Jean Ducis
1935 : Dora Nelson de René Guissart - M. Fouchard
1935 : Et moi, j'te dis qu'elle t'a fait de l'œil de Jack Forrester - Auguste
1935 : Fanfare d'amour de Richard Pottier - Pierre
1935 : Gangster malgré lui d'André Hugon
1935 : L'Heureuse Aventure de Jean Georgesco
1935 : La Marraine de Charley de Pierre Colombier
1935 : Paris Camargue de Jack Forrester
1935 : Parlez-moi d'amour de René Guissart - Wolff
1935 : Les Sœurs Hortensias de René Guissart - M. mazareaud
1935 : Une nuit de noces de Maurice Kéroul et Georges Monca - M. Duvallier
1935 : La Clef des champs court métrage de Pierre-Jean Ducis
1935 : La Grande Vie court métrage de Henri Diamant-Berger
1935 : Aventure à Paris de Marc Allégret - le chasseur
1936 : Marinella de Pierre Caron - M. Trombert
1936 : La Reine des resquilleuses de Marco de Gastyne et Max Glass - Richard
1936 : 27, rue de la Paix de Richard Pottier - Jules
1937 : La Fessée de Pierre Caron - le valet de chambre
1937 : La Grande Illusion de Jean Renoir - Cartier, l'acteur chanteur
1937 : Gribouille de Marc Allégret - Lurette
1937 : Les Rois du sport de Pierre Colombier - Vachette
1938 : La Marseillaise de Jean Renoir - un volontaire
1938 : L'Accroche-cœur de Pierre Caron - le barman
1938 : La Bête humaine de Jean Renoir - Pecqueux, le second du chef mécanicien
1938 : Café de Paris d'Yves Mirande et Georges Lacombe - le journaliste
1938 : Derrière la façade de Georges Lacombe et Yves Mirande - le soldat
1938 : Entrée des artistes de Marc Allégret - Lurette le journaliste
1938 : Les Gaietés de l'exposition d'Ernest Hajos - le premier détective
1938 : Je chante de Christian Stengel - Julien Lorette
1938 : Lumières de Paris de Richard Pottier - le vendeur de postes
1938 : Le Monsieur de cinq heures de Pierre Caron - Amédée
1938 : Le Récif de corail de Maurice Gleize - Havelock, le cuistot du bateau
1938 : La Route enchantée de Pierre Caron - Cosaque
1939 : La Famille Duraton de Christian Stengel - Paradis
1939 : Le Monde tremblera - La Révolte des vivants de Richard Pottier - Julien Bartaz
1939 : Le Paradis des voleurs de Lucien-Charles Marsoudet
1939 : La Règle du jeu de Jean Renoir - Marceau, le braconnier
1939 : Tempête de Dominique Bernard-Deschamps - l'épicier
1939 : Battement de cœur d'Henri Decoin - Yves Calubert
1940 : Soyez les bienvenus de Jacques de Baroncelli
1941 : Sixième étage de Maurice Cloche - Max Lescalier
1941 : Parade en sept nuits de Marc Allégret - l'aide du gardien
1941 : Croisières sidérales d'André Zwobada - Lucien Marchand
1941 : Fromont jeune et Risler aîné de Léon Mathot - Achille
1941 : La Prière aux étoiles de Marcel Pagnol - Film resté inachevé - Frédéric
1942 : À la belle frégate d'Albert Valentin - Pierre
1942 : La Bonne Étoile de Jean Boyer - le Parisien
1942 : Fou d'amour de Paul Mesnier - L'homme aux mouches
1942 : Lettres d'amour de Claude Autant-Lara - Loriquet, le maître à danser
1942 : Une étoile au soleil d'André Zwobada - M. Plessis
1943 : Monsieur des Lourdines de Pierre de Hérain - Albert
1943 : Adieu Léonard de Pierre Prévert - Félicien Léonard, fabricant de farces et attrapes
1943 : Bonsoir mesdames, bonsoir messieurs de Roland Tual - M. Sullivan
1943 : Service de nuit de Jean Faurez - Georges Masson
1944 : Le Merle blanc de Jacques Houssin - Hyacinthe Camusset
1945 : Vingt-quatre Heures de perm' de Maurice Cloche - Gaston Boran
1945 : Enquête du 58 court métrage de Jean Tedesco
1945 : Impasse de Pierre Dard - Michel
1945 : Messieurs Ludovic de Jean-Paul Le Chanois - Julien
1946 : Sylvie et le Fantôme de Claude Autant-Lara - Hector, le majordome
1946 : L'Amour autour de la maison de Pierre de Hérain - le père Jus
1946 : Le Château de la dernière chance de Jean-Paul Paulin - Faustin
1946 : Histoire de chanter de Gilles Grangier : Robert, livreur dans une épicerie
1946 : Les Portes de la nuit de Marcel Carné : M. Quinquina, vendeur ambulant
1947 : Le Mannequin assassiné de Pierre de Hérain : Léonisse
1947 : La Fleur de l'âge de Marcel Carné (resté inachevé)
1947 : Histoire de chanter de Gilles Grangier
1948 : Une si jolie petite plage d'Yves Allégret : le voyageur de commerce
1948 : Entre onze heures et minuit d'Henri Decoin : le veilleur de nuit
1949 : Amédée de Gilles Grangier : Ange Louis
1949 : Branquignol de Robert Dhéry lui-même en majordome et machiniste de théâtre
1949 : La Marie du port de Marcel Carné : Thomas Viau le pêcheur alcoolique
1949 : Occupe-toi d'Amélie de Claude Autant-Lara : M. Pochet
1949 : Premières Armes de René Wheeler : Simon
1949 : Ronde de nuit de François Campaux : M. Trinquet
1949 : Vedettes en liberté court métrage de Jacques Guillon : lui-même
1950 : Sans laisser d'adresse de Jean-Paul Le Chanois : le tapissier
1950 : Pour l'amour du ciel (E' più facile che un cammello... ) de Luigi Zampa : Amédéo Santini
1950 : Bertrand cœur de lion de Robert Dhéry (commentaire)
1951 : Agence matrimoniale de Jean-Paul Le Chanois : Jérôme
1951 : L'Auberge rouge de Claude Autant-Lara : Martin, l'aubergiste assassin
1951 : Drôle de noce de Léo Joannon : Julien Barbezat, le concierge
1951 : Rome-Paris-Rome (Signori, in carrozza! ) de Luigi Zampa
1952 : Au diable la vertu de Jean Laviron : M. Tellier
1952 : La Fête à Henriette de Julien Duvivier : Arthur
1953 : L'Amour d'une femme de Jean Grémillon M. Le Quellec
1953 : Le Bon Dieu sans confession de Claude Autant-Lara : Eugène
1953 : Gli uomini, che mascalzoni! de Glauco Pellegrini : le père
1954 : La Maison du souvenir (Casa Ricordi ) de Carmine Gallone : Félix
1954 : Pas de coup dur pour Johnny d'Émile Roussel : Mimile
1954 : Sur le banc de Robert Vernay : Sosthène, l'ami de Carmen et La Hurlette
1955 : Ces sacrées vacances de Robert Vernay : un campeur
1955 : Coup dur chez les mous de Jean Loubignac
1955 : La Môme Pigalle d'Alfred Rode : le portier
1955 : Rencontre à Paris de Georges Lampin : l'encaisseur qui veut saisir la machine à écrire
1955 : Si Paris nous était conté de Sacha Guitry : un cocher
1956 : Crime et Châtiment de Georges Lampin - Pierre Marcelin, le père alcoolique
1956 : Je reviendrai à Kandara de Victor Vicas - M. Grindel, le gardien de prison
1956 : Pardonnez nos offenses de Robert Hossein - le père Rapine
1956 : Paris, Palace Hôtel d'Henri Verneuil - Bébert
1957 : La Belle et le Tzigane de Jean Dréville et Marton Keleti - le grand Robert
1957 : Le Temps des œufs durs de Norbert Carbonnaux - M. Grillot, le garagiste
1957 : Les trois font la paire de Sacha Guitry et Clément Duhour - Léon, le patron du bistrot
1958 : Le Joueur de Claude Autant-Lara - Bagdovitch
1958 : Le Miroir à deux faces d'André Cayatte - Albert Benoît
1959 : Archimède le clochard de Gilles Grangier - Félix, le clochard aux chiens
1959 : La Jument verte de Claude Autant-Lara - Philibert
1959 : La Millième Fenêtre de Robert Ménégoz - le grand-père Billois
1959 : Pantalaskas de Paul Paviot - Zuwalski
1960 : Vive Henri IV, vive l'amour de Claude Autant-Lara - M. Epernon
1962 : Mon oncle du Texas de Robert Guez - Dédé Girofle
1963 : La Foire aux cancres de Louis Daquin - le cheminot
1964 : Les Aventures de Salavin de Pierre Granier-Deferre - Lhuillier, un clochard
1964 : Les Pieds nickelés de Jean-Claude Chambon - Merluche
Théâtre
1917 : L'Affaire des poisons de Victorien Sardou , Théâtre de l'Odéon
1920 : Cromedeyre-le-Vieil de Jules Romains , mise en scène Jacques Copeau , Théâtre du Vieux-Colombier
1921 : La Dauphine de François Porché , Théâtre du Vieux-Colombier
1922 : Les Plaisirs du hasard de René Benjamin , mise en scène Jacques Copeau , Théâtre du Vieux-Colombier
1925 : L'Infidèle éperdue de Jacques Natanson , Théâtre de la Michodière
1925 : Le Greluchon délicat de Jacques Natanson, Théâtre de la Michodière
1927 : Knock Out de Jacques Natanson et Jacques Théry , Théâtre Edouard VII
1930 : Cœur d'Henri Duvernois , Théâtre des Nouveautés
1930 : Langrevin père et fils de Tristan Bernard , mise en scène Jacques Baumer , Théâtre des Nouveautés
1931 : Le Roi masqué de Jules Romains , mise en scène Louis Jouvet , Théâtre Pigalle
1933 : Lundi 8 heures de George S. Kaufman et Edna Ferber , mise en scène Jacques Baumer , Théâtre des Ambassadeurs
1934 : Liberté provisoire de Michel Duran , mise en scène Jacques Baumer , Théâtre Saint-Georges
1934 : L'Été de Jacques Natanson , mise en scène Marcel André , Nouvelle Comédie
Mars 1938 : Cavalier seul de Jean Nohain et Maurice Diamant-Berger , Théâtre du Gymnase
1940 : Elvire de Henry Bernstein , Théâtre des Ambassadeurs
1953 : Faites-moi confiance de Michel Duran , mise en scène Jean Meyer , Théâtre du Gymnase
Bibliographie
Carette tourne Carette , article d'Anne Manson paru dans l'hebdomadaire Concorde du 22 mars 1947[ 8] .
Les Grands seconds rôles du cinéma français , par Jacques Mazeau et Didier Thouart, Paris, éditions PAC, 1984 (ISBN 2853362191 et 978-2853362191 ) .
Notes et références
↑ Acte de naissance n° 3323 (vue 16/25). Archives en ligne de la Ville de Paris, état-civil du 17e arrondissement, registre des naissances de 1897, avec mentions marginales des mariages et du décès.
↑ « Registre matricule classe 1917, département de la Seine D4R1 2012 » (consulté le 17 mars 2024 ) .
↑ « Le roi masqué - Spectacle - 1931 », sur data.bnf.fr (consulté le 21 mars 2024 ) .
↑ « Julien Carette » , sur premiere.fr (consulté le 17 mars 2024 ) .
↑ Jacques GANA, « Encyclopédie multimédia de la comédie musicale théâtrale en France. Les Interprètes : CARETTE (Julien) », sur comedie-musicale.jgana.fr (consulté le 17 mars 2024 ) .
↑ « Les enchaînés - Spectacle - 1965 », sur data.bnf.fr (consulté le 21 mars 2024 ) .
↑ Jérôme Dupuis, « Les morts les plus stupides de l'Histoire », L'Express, 31 octobre 2012 (consulté le 1er novembre 2012 ) .
↑ Depuis dix-sept ans, Carette tourne Carette à l'écran. Concorde , 22 mars 1947, p. 5, à lire en ligne sur Gallica .
Liens externes