Sa scolarité secondaire se déroule d'abord au collège de Thaon-les-Vosges puis au lycée Claude Gellée d'Épinal. Elle obtient la mention « très bien » au bac.[réf. nécessaire]
De 1975 à 1976, elle est conseillère technique de Paul Dijoud, secrétaire d’État auprès du ministre du Travail, chargé des travailleurs immigrés. En 1976, elle est nommée premier secrétaire auprès du Saint-Siège (première femme à occuper ce poste), auprès de l'ambassadeur français Georges Galichon. En 1979, elle travaille auprès du ministre de l'Industrie comme négociatrice avec les pays du Golfe ; elle subit alors les affres de la misogynie encore patente de hauts fonctionnaires : « Voyons ! une femme ne peut négocier avec les Arabes »[5].
Mariée en premières noces à l'écrivain Olivier Bourgois, lui-même frère de l'éditeur Christian Bourgois, elle est mère de deux filles[1]. Elle s'est remariée en 2005 avec Sergio de Minicis[3].
Œuvres
Joëlle Bourgois, La rénovation urbaine à Toulouse, Paris, presses de l'ENA, 1968, 2 volumes