Le , à Paris, il épouse[4],[5],[6] Hélène de Zamacoïs, née en 1871 à Louveciennes[7], fille du peintre Eduardo Zamacois y Zabala et sœur de l'homme de lettres Miguel Zamacoïs. Le couple a un fils, Michel (1900-1959)[8], préhistorien[9], et une fille, Catherine (1901-1995)[10] qui se marie en 1927[11]avec Marcel Chanson, avocat à la cour de Paris, et devient célèbre comme illustratrice de journaux de mode[12]
Jean Alfred Marioton meurt à Paris le [13]. La vente de son atelier se déroule à Paris à l'hôtel Drouot, salle 2, le [14],[15]. Sa veuve se remarie avec Gabriel Perney, nom sous lequel elle est inhumée en 1962 au côté de son 1er mari Jean Alfred Marioton, enterré en 1903 à Paris au cimetière du Père-Lachaise, division 93 [16]
En 1905, son frère Claudius fait paraître chez Guérinet un album sous cartonnage contenant soixante-huit héliotypes de son œuvre. Dessins, croquis, études de figures des peintures décoratives de Jean Alfred Marioton (OCLC312716764)
Dessins, croquis, études de figures des peintures décoratives de Jean Alfred Marioton 1905.
Jeune fille parmi les fleurs
Collections publiques
Montpellier, préfecture de l'Hérault : La mort de Thémistocle, 1887, huile sur toile, peinte pour le prix de Rome, achat de l'État[17]
↑ Note : l'employé d'état civil recopiant l'acte de naissance lors du mariage commet une erreur en interprétant le 7bre (abréviation de septembre) comme mois de juillet