Hélène Boschi a interprété la musique dans deux films très différents, mais qui ont en commun le rôle qu'y joue la musique : La Maison aux images, court-métrage de Jean Grémillon (1955), sur une musique du réalisateur, interprétée par Hélène Boschi et Nadine Desouches et Monsieur Satie, court-métrage d'Alain Jomy (1963), sur une musique d'Erik Satie.
En 1975, Hélène Boschi reçoit le Prix Robert-Schumann, honorant ses interprétations du compositeur né à Zwickau.
Robert Schumann, Pièces pour petits et grands enfants, op. 85 ; Images d'Orient (Bilder aus Osten), op. 66 / Hélène Boschi et Nadine Desouches, piano 4 mains (1958, BAM LD031)
Clara Schumann, Pièces pour piano : Préludes et fugues op. 16, romances op. 11 et 21 ; Romances op. 22 pour violon et piano - Annie Jodry, violon (1984, Calliope CAL 6211)[11] (OCLC70463543)
Chopin, Sonate pour piano et violoncelle en sol mineur, op. 65 - Miloš Sádlo, violoncelle ; Hélène Boschi, piano (1956, LP Le Chant du Monde LD-M 8188)
Janáček, Pohádka (« Un conte ») - Miloš Sádlo, violoncelle ; Hélène Boschi, piano (LP Le Chant du Monde LD-M-8152)
Schumann, Musique pour violon et piano (Intégrale[14]), Wilhelm Meister's Lieder op. 98a - Peter Rybar, violon ; Irène Joachim et Basia Retchitzka, sopranos ; André Vessières, baryton ; Hélène Boschi, piano (1984, Rééd. 2 LP Le Chant du Monde LDX 78746/7) (BNF38107975)
Mélodies et lieder
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Chabrier ; Duparc, Debussy, Mélodies - Christiane Castelli, soprano (vers 1950, Le Chant du Monde) (OCLC756326320)
Chansons de France, mélodies de Canteloube, Emmanuel, Durey, Ravel, Gounod, Koechlin, Roussel - Irène Joachim, soprano ; Xavier Depraz, basse ; Hélène Boschi, piano (années 1950, LP Le Chant du Monde coll. « Série nouvelle populaire » LD-M-8151)[15] (OCLC38910157)
↑ ab et cAlain Pâris, Dictionnaire des interprètes et de l'interprétation musicale, Paris, Laffont, coll. « Bouquins », , 4e éd., 1278 p. (ISBN2221080645, OCLC901287624), p. 103.
↑Antoine Goléa écrivait dans la revue Disques no 46 de mars 1952 : « De tous les grands prix décernés par l’Académie Charles Cros, voilà celui dont je suis personnellement le plus heureux… Nous ne devons pas négliger d’encourager des artistes moins connus, mais excellents, chaque fois que l’occasion se présente. Pour Hélène Boschi, nous avons pu le faire sans même tenir compte du fait qu’elle est moins connue que Schnabel ou Kempff ; son disque est de tout premier ordre, sur le triple plan des œuvres interprétées, de l’interprétation elle-même, et de la gravure. […] Son piano sonne magnifiquement ; c’est un des plus beaux enregistrements de clavier que je connaisse. Et quelle respiration, dans la phrase musicale, quelle splendide et jeune musicalité ! Cela sert à quelque chose de jouer, comme le fait habituellement Hélène Boschi, surtout des œuvres modernes, des compositeurs peu ou pas connus ; cela permet d’attaquer ensuite les œuvres classiques comme les œuvres modernes, c’est-à-dire décrassées de toute convention et de tout cliché. »